✘ Nom :Wingstelle
✘ Prénom : Maëlly
✘ Surnom : Maé
✘ Âge : 17 ans
✘ Groupe : Wyrms - Isolationniste
✘ Nation d'origine :Aeria
✘ Métier : Boulangère
✘ Arme :Casseroles, cuillère en bois et parfois quelques couteau qui passe sous sa main.

Pas très grande, Maëlly possède de fin cheveux noir bouclé et des traits fort bien que féminin, ce qui affiche parfois sur sa mine lunatique un air sérieux qui ne concorde pas tellement avec sa véritable nature. Bien formé, elle semble maintenant davantage être une femme qu’une adolescente, ce qui fait qu’on le croit parfois plus vieilles que ses 17 ans. Lunatique, légèrement maladroite et surtout insouciante, Maëlly est une jeune femme qui à beaucoup de difficulté à accorder sa concentration à une seule chose ou a avoir de grande préoccupation. Elle préfère les choses simples et ne possède pas une once de méchanceté. Elle est par contre d’une curiosité très enfantine qui laisserait pensée qu’elle n’est toujours pas sortie de sa phase ‘’pourquoi’’ bien qu’elle exprime maintenant cette question avec des mots plus élaboré.
Maëlly est quelqu’un qui adore regarder le ciel et qui adore pensée, elle ne pense pas nécessairement à de grands scénarios ni n’élabore de grandes stratégie, mais elle élabore néanmoins des théories farfelues qui laisse montré qu’elle a un bon sens de l’imagination et qu’elle ne s’attarde pas à donné à la vie un sens trop sérieux. Le seul drame qu’elle n’ait pas surpassé aisément est celui de son lié pour qui elle se sent toujours coupable, bien qu’il affirme qu’elle ne devrait pas s’en faire et qu’il est parfaitement heureux. Lorsqu’elle repense à cet évènement, elle a la fâcheuse habitude de prendre entre ses doigts une mèche de ses cheveux, de la tourner et éventuellement de commencer à la mâchouiller.
Tout comme elle se fiche de bon nombre de sujet dans la vie, elle se fiche généralement aussi de son apparence. Il n’est pas rare de la voir en jean, elle aime beaucoup le fait que ce tissu soit robuste, soit tâché, déchiré ou délavé accompagné d’un t-shirt ne mettant pas ses formes en valeurs ainsi qu’un sweat-shirt bleu marine qui aurait forcément du appartenir à un garçon. D’ailleurs ses manches commencent à devenir franchement usées. Lorsqu’elle travaille, elle attache ses cheveux à l’aide d’un bandana et porte un tablier qui autrefois devait avoir une blague ou une petite citation d’écrit à l’avant, mais le lavage l’ayant tellement usé, il s’agit maintenant de vestige illisible. Néanmoins l’utilité première est encore tout à fait comblée. Et justement parce que les lettres son manquantes, cela est devenue avec le temps l’un de ses sujets de divagation favoris. Elle garde d’ailleurs un petit carnet où elle inscrit ses hypothèses, parfois drôle, parfois touchante, mais toujours à son gout et à celui de son lié.
Pour ce qui est des hommes, elle ne leur laisse pas de place dans sa vie pour le moment, trop préoccupé dans son rôle dans cette nouvelle culture et à sa réalité avec son lié pour se permettre même d’y penser.

- MAËLLY WINGSTELLE !
- Oh oh… le nom complet c’est jamais bon signe…
Et comme de raison, cette petite phrase innocente était une bien juste vérité. Elle s’approcha de sa mère qui tenait entre ses mains un rouleau à pâte quelle pointa dans sa direction d’un air menaçant. Son tablier habituellement plein de farine blanche et d’épice rougeâtre ou brunes était étrangement beaucoup trop noire suie pour que la réprimande qu’elle allait recevoir soit injuste.
- Tu sais tout à l’heure quand je t’ai demander de mettre les brioches dans le four ?
- Oui…
- Je t’ai aussi demandé de les surveillées non ?
- Oui…
- Et qu’est-ce que j’ai dit ensuite ?
- De les retirées lorsqu’elles serait dorée…
La bonne dame qui comme toute bonne cuisinière avait un léger embonpoint saisi brusquement un plateau qui reposait sur un comptoir non loin. Une petite douzaine de tas de cendre de ce qui devait autrefois être d’appétissantes brioches reposaient dans un état lamentable.
- Dis moi c’est quelle couleur ça Maëlly ?
- Ce n’est pas doré ? La petite gamine qui devait avoir alors peut-être douze and tenta de prendre son air le plus innocent pour tenter d’amadouer l’être qui l’avait mis au monde. Cette dernière poussa d’ailleurs un soupir désolé et sans un mot de plus se retourna pour continuer à pétrir une pâte. Faute d’avoir des brioches, elle savait au moins qu’elle n’allais pas confier cette tarte aux cassis à sa plus jeune fille. Celle-ci recula discrètement jusqu’à disparaitre du champ de vision de sa mère pour retourner jouer.

Depuis toute petite, Maëlly avait toujours été une petite enfant douée, sans avoir besoin d’être attentive. Elle en était d’ailleurs tout le contraire. Lunatique. Perdue dans ses rêveries, ou dans ce que d’autres aurait pu appelé les nuages. Toutefois la vérité était tout autre et beaucoup plus proche de l’énoncé premier. Maëlly était dans la lune. Dans la lune, les étoiles, les aurores boréales, les planètes. Épuisée de jour, elle veillait la nuit et se laissait portée dans l’océan sans fin qui berçait tant de diamants lumineux.

Sa vie changea alors qu’elle avait tout juste 14 ans. Elle s’était enfuie de son diner d’anniversaire, incapable de manger une part de plus du gâteau beaucoup trop délicieux de sa mère. Depuis le temps, elle aussi était devenue une petite experte en pâtisserie, mais elle doutait beaucoup qu’un jour elle aurait l’assiduité nécessaire pour reprendre la petite entreprise familiale. Sa maison étant sur l’une des îles flottante, elle avait parfois l’impression d’être sur un bateau et de voguer, se guidant des lumières hypnotisantes qui baignaient le ciel. À ce moment, une lumière fendit le ciel et quelque chose sembla atterrir non loin, dans un vacarme un peu maladroit. Se doutant bien qu’il devait s’agir d’un dragon, une étrange curiosité l’anima et elle décida d’aller à sa rencontre, se sentant aventureuse.

Sautant du toit, qui n’était pas bien haut, l’adolescente se rendit à la course pour observer la majestueuse créature. Le dragon avait atterrir sur un petit plateau rocheux ou un arbre tordu poussait tant bien que mal. La petite eut un froncement de sourcil. Tout à la fois lui rappelait un dragon d’air, mais néanmoins il y avait quelque chose de différent. Quelque chose d’étrangement lumineux. Comprenant qu’il s’agissait probablement d’un dragon stellaire, Maëlly émit un petit hoquêtement de surprise et elle plaqua aussitôt ses mains sur sa bouche en regrettant d’être aussi impressionnable et d’avoir aussi peu de contenu comme dirait sa mère.

L’exclamation ne manqua pas d’attirer l’attention du dragon qui, bien qu’un instant auparavant semblait sur le point du décoller, tourna sa tête dans sa direction et s’approcha. Maëlly retira ses mains de sa bouche et les serras derrière son dos. Elle mima une petite révérence alors que le dragon continuait de s’approcher. Il lui sembla un instant l’entendre rire, mais elle se convainquit que cela devait surement être son imagination lorsqu’elle se risqua à le saluer;

- Bonsoir. Le dragon était plus petit que ce qu’elle avait imaginée
- Bonsoir petite.

Et la conversation s’entama, partant du fait que Maëlly avait autant de question sur les dragons stellaires qu’il y avait d’étoile dans le ciel. Et fasciné par le curiosité innocence de la jeune fille, le dragon nommé Orescent se faisait un plaisir de lui répondre. Ainsi lui expliqua-t-il, qu’il testait une théorie en tentant de volé le plus près des étoiles possible dans l’espoir que son corps se transforme un jour en lumière pure et que plutôt que de simplement volé près des étoiles et d’écouter leur ravissant chant, il puisse un jour en être une. Maëlly était intarissable, enchainant question par-dessus question, voulant savoir si les étoiles scintillantes ressemblait aux perles ou aux diamants ou si elles n’étaient pas plutôt de divins esprits dansants et chantants.

Puis elle voulut le voir voler parmi les étoiles, prenant plaisir à voire entre ses ailes un pan de la voute céleste qui lui semblait alors plus proche, plus accessible. Lorsqu’il atterrît de nouveau, ce fut à son tour de poser des questions, voulant connaitre la jeune fille et pourquoi le ciel d’Aeria ne lui suffisait pas, pourquoi elle souhaitait avoir l’inatteignable plutôt que l’inaccessible du commun des mortels. Mais bientôt la mère de la gamine se rendit compte de son absence et elle dut rentrer. Orescent lui adressa un signe de tête et décolla de nouveau.

Le soir suivant, Maëlly passa la tête par la fenêtre, scrutant le ciel pour voir si une nouvelle étoile ne serait pas apparut. Puis elle se demanda, et si toutes ces étoiles n’étaient pas le rêve accompli de milliards et de milliards de dragons stellaires, ce qu’ils ne soient pas si nombreux qui expliqueraient qu’ils ne soient pas si nombreux ? Si Orescent revenait, elle le lui demanderait. Et il revint mais celle fois-ci en plein jour

Elle qui pendant la nuit l’avait trouvé lumineux, elle comprenant maintenant davantage pourquoi. Si certaines de ses écailles étaient réfléchissantes d’autres en revanches étaient d’une couleur perlé blanche et avait la capacité particulière d’absorber la lumière du jour et de continuer à la diffuser pendant la nuit.

Intrigué, elle parla ainsi du haut de sa fenêtre avec lui pendant encore un long moment avant de lui poser la question. Orescent lui répondit que non, toutes les étoiles n’étaient pas jadis des dragons puisque s’il existe quelque chose de plus ancien que les dragons, il s’agit des étoiles.

Le temps passa, ils devinrent amis. Maëlly allait avoir ses quinze ans et, bien que cela ne soit pas avant encore un an, elle se demandait si le dragon l’appréciait suffisamment pour vouloir devenir son allié. Elle l’appréciait énormément, il était ce qu’il y avait le plus proche de ce à quoi elle avait toujours aspiré, plus que le ciel : l’univers. Mais à dire vrais, ni elle, ni lui ne s’était jamais sentis concerné par toute cette politique et ces guerres. Ils étaient amis, pourquoi vouloir encadré cela et s’infliger des cours barbants?

Lorsque ses quinze ans sonnèrent, il lui proposa de grimper sur son dos et, sans aller trop en altitude non plus puisqu’il s’agissait avant tout d’une débutante. Dès cet instant, dès la première poussé d’aile dès que la terre ferme ne fut plus qu’un souvenir, Maëlly tomba amoureuse. C’était tout ce qui avait de meilleure. Bien meilleur que les brioches confites de sa mère qui était qualifié par les plus vieux comme ‘’meilleure que les jeux de chambres’’.
Elle aimait tout, mais particulière cette sensation qu’elle n’appartenait plus à la gravité et que pendant un instant elle quittait la terre pour faire partie de quelque chose de plus grand. Mais plus important encore, elle le faisait avec Orescent. C’était quelque chose d’incroyablement intime, comme si non seulement ce moment, non seulement le monde, mais la vie toute entière pendant un instant étaient eux et ils étaient ce tout incroyable et indéfinissable qui englobe la réalité.

Elle tomba un amour une seconde fois lorsqu’Orescent lui offrit son premier vol de nuit. Elle avait alors acquit un peu d’expérience sous le regard désapprobateur de sa mère qui aurait voulut lui rappeler une énième fois que laisser reposer le pain ne signifiait pas abandonner les ingrédients sur le comptoir jusqu’au lendemain matin. Mais Maëlly ne voulait pas de lendemain matin, elle voulait volé vers les étoiles jusqu’à les caresser. Et Orescent grimpait et grimpait et cette fois-là étrangement, plus il grimpait, plus il s’illuminait.
Encouragé il voulu poursuivre son ascension, mais si lui était fait pour la haute altitude, ce n’était pas cas de Maëlly. La petite semblait prise d’un malaise et Orescent se rendit vite compte qu’il avait un sacrifice à faire. Soit il sacrifiait la jeune fille et il aurait alors la chance de vivre éternellement parmi les astres, soit il sacrifiait son rêve pour sauver cette petite qui se laissait emporté dans l’inconscience du à la raréfaction de l’oxygène. Alors que la petite tombait de son dos, le choix fut clair alors qu’il faisait demi tour pour la rattraper dans sa chute. Il l’agrippa avec ses serres et malheureusement lui entailla la peau. Son atterrissage ne fut pas des plus glorieux non plus puisque sans toutes ses pattes et déséquilibré par le poids de son amie, il tomba sur son aile et un sinistre son retentit. Orescent lâcha un fort cri de douleur avant de sombrer lui aussi dans l’inconscience.

Lorsque Maëlly s’éveilla, elle était entourée d’adultes dans une pièce qu’elle ne connaissait pas. Des rumeurs qu’elles ne comprenaient pas allaient jusqu’à ses oreilles, elle entendait des mots tels qu’aberration, déshonneur et souillure, sans comprendre ce qui se passait réellement. Encore sonnées, elle tenta de se frayer un chemin dehors et juste avant de franchir la porte elle entendit deux bonnes femmes discuter :
- À ce qu’on dit, il aurait mutilé une enfant en croyant que l’alliance par le sang le guérirait !
- Quelle honte ! Bafouiller des siècles de traditions pour un usage aussi malsain !

Sans trop comprendre, elle franchit la porte, et c’est dans ce crépuscule naissant qu’elle vit son plus grand ami avec une tristesse qu’elle ne lui connaissait pas. Elle s’approcha lentement et murmura son nom.

- Maëlly c’est toi ?

Il se retourna dans sa direction et la gamine sentit un étrange picotement en elle, quelque chose avait changé entre eux, il existait un lien plus profond que leur amitié qui semblait d’être installé. Elle observa son ami alors qu’il faisait de même, mesurant lui aussi l’étendue des changements qui s’étaient opérés. Alors que leurs yeux formaient un pont, il sembla un instant que leur âmes en formèrent une également, et Maëlly eut une image très précise des émotions et du choix qu’Orescent avait fait en la sauvant plutôt qu’en réalisant son rêve. Puis c’est à ce moment qu’elle remarqua. L’aile de son compagnon n’était pas dans position normale, elle était fermée certes, mais elle était plus élevée et tordue que l’autre.

Maëlly tomba à genoux, portant ses mains à son visage et laissa les larmes envahir son visage innocent.
- Pardonne moi, tu as tellement perdu à cause de moi… Sa voix n’était qu’un sanglot étouffé, néanmoins Orescent entendit parfaitement et lui répondit d’une voix émue mais douce.
- Au contraire Maëlly, j’ai enfin trouvé mon étoile.
Elle redoubla de sanglot dans un mélange confus d’émotion et parvint finalement à passer ses bras autour du cou de son dragon avant que sa mère ne sorte de la bâtisse.

- MAËLLY WINGSTELLE. Écarte toi tout de suite de ce dragon, il est hors de question que tu le revois, liés ou pas !

Lié, cette réalité semblait étrange mais pourtant si vrais à la fois… Des souvenirs brumeux lui revinrent de lorsqu’elle était amorphe entre les pattes d’Orescent, l’entaille de ses serres avait fait couler son sang et lui sa blessure à l’épaule avait également répandu le sien. Leur sang s’était mélangé dans ce sacrifice et les avaient liés. La décharge magique qu’elle avait eu à ce moment lui parut très clair dans ses souvenirs, mais elle s’était évanouit presqu’aussitôt ensuite.

Évidemment Maëlly n’avait pas dans l’idée d’obéir à sa mère. Elle n’avait que cette liaison soit précoce, et visiblement il en était de même pour Orescent. La pression sociale étant malgré tout contre eux, l’exil leur sembla être un bien meilleur choix à un certains points. Et aussi bien que cela pouvait se faire, avait un dragon qui ne pouvait pas volé, ils se dirigèrent là où les Wyrms vivaient, s’informant au bouche-à-oreille. Par chance, Maëlly pouvait passé pour plus vieille que son âge et éventuellement il trouvèrent un marin assez compatissant pour bien vouloir la transporter elle et le dragon, à l’un des port du monde inconnu.

Elle a maintenant 17 ans, et fait sa part dans le monde Inconnu sans pour autant se mêler au conflit. Une pâtissière était bien évidemment le bienvenue, elle arrive à faire du bon travail puisqu’Orescent est là pour l’aider à garder son attention. Sa vie va bon train sans que personne ne la juge pour sa liaison avec le dragon stellaire bien qu’elle ne soit inhabituelle. Depuis l’accident, elle s’abstient de regarder le ciel étoilé, par respect pour Orescent qui ne peut plus y voler. Nombre de fois lui a t’il dit qu’elle pouvait laisser son regard s’y égarer, il s’en remettrait, mais jamais n’a t’elle trahie sa conviction même si au fond d’elle-même, elle caresse le rêve de trouver un jour un guérisseur qui saurait lui permettre de voler à nouveau. Qu’elle puisse tomber amoureuse une troisième fois, cette-fois-ci en volant avec son lié.

✘ Pseudo Internet : Pantoufle ou Anora
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Topsite
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom :
✘ Surnom : Ores
✘ Âge : Jeune-Adulte? (Je n'ai pas trouvé la durée de vie d'un dragon :( )
✘ Type : Stellaire
✘ Don qu'il vous a légué : Chant-de-Lune : Lorsque Maëlly chante la nuit, une torpeur envahit les gens qui entendent le son de sa voix. Ce don varie en fonction des phases lunaires, lors de a nouvelle lune, cela n'a qu'un très faible effet les gens sont tout simplement distrait de leur occupations, toutefois lors de la pleine lune les gens sont pratiquement en train de rêver au son de sa voix.
✘ Nation d'origine :Aeria

Né de la taille d'une poule maigrelette, Orescent s'est toujours senti petit vis-à-vis des autres dragons. Au moins s'encourage-t'il en voyant que sa croissance semble être loin d'être terminé. Lors de sa rencontre avec Maëlly, Orescent devait avoir la taille d'un cheval. Aujourd'hui, il se rapproche davantage de celle d'un éléphant. Il est encore loin d'avoir l'air d'une montagne, mais il ne se déplaît pas d'être un peu plus imposant. Comme les dragons d'air, son corps appelle au vol dans une grande aérodynamique de forme et de musculature, toutefois un peu à la manière des oiseaux, ses os creux lui donne un poids moindre. Néanmoins il se différencie des dragons dragon d'air par sa forme plus taillé pour une altitude démesurée et surtout prolongée. Il a hérité de son parent lumineux une particularité particulière qui se transmet de deux façons particulières dans ses écailles, une partie d'entre elles réfléchisse la lumière tel un miroir mal polie et une autre partie quant à elles absorbe une partie de la lumière du jour pour la réfléchir de nuit. Lorsqu'il vole dans le ciel étoilé, il est alors étonnamment bien camouflé, sauf s'il vole trop près du reflet de la lune, à ce me moment il semble être principalement blanc. Mais les soirs de nouvelle lune, il est pratiquement indétectable. Certains dragon stellaire avait l'apparences de galaxies, de nébuleuses ou encore de lunes, lui était un pan de ciel de nuit.

Aujourd'hui, il se distingue des autres dragon par son aile brisée qui l'empêche de volé.

Pendant longtemps, il testait la théorie qu'en volant le plus près possible des étoiles, il emmagasinerait dans ses écailles suffisamment de lumière céleste pour un jour en devenir une, ayant une curiosité certaine à observer le phénomène particulier de ses écailles, apportant des variantes à sa théories pour voir si cela changeait quelque chose. Néanmoins un soir, alors qu'il se posait suite à un long vol, il rencontra Maëlly, une jeune fille rêveuse, débordant de curiosité et de question et qui semblait vouloir vivre parmis les étoiles autant que lui, sinon plus. Charmé et intrigué par cette petite bipède, il se lia d'amitié avec cette humaine. Il avait entendu des bribes de ce qui se passait avec les humains dans leur vie et cela ne l'avait jamais réellement intéressé, mais cette petite était différente et lui donna foi un instant dans cette espèce. D'ami, il devint protecteur. il ne portait pas une grande attention aux autres humains, mais il avait suffisamment entendu d'histoire sur l'alliance qu'il se demandait si la petite ne caresserait pas un jour se rêve. Lui être lié lui semblait être une idée enchanteresse, néanmoins la procedure par laquelle les humains forçaient ce lien ne lui plaisait guère. Il avait bien entendu parlé des Wyrms, mais jamais ne serait-il allé à contraindre Maëlly à quitter sa vie de boulangère paisible.

Lorsque malgré eux le lien se créa, il se sentit entier, son aile brisé ne l'importunait pas bien que la douleur de ne plus voler était une épine continuellement présente dans sa coeur, mais jamais ne portera-t'il le blâme sur Maëlly. C'était son choix, son sacrifice, et pour avoir trouvé son étoile dans cette petite, il ne regrettait rien.

Toutefois la réaction des autres lorsqu'il découvrir le dragon et l'adolescent baignant dans leur sang mêlé le rendit amer et il accorde désormais moins bien sa confiance aux humains. Il évite aussi la majorité des autres dragons puisque ceux-ci ne peuvent pas s'empêcher de regarder avec pitié son ailes estropier. Il commence cette nouvelle vie loin de ce qu'il a connu par le passé avec Maëlly qui fait ce qu'elle sait faire de mieux, rêvasser et pétrir le pain aussi bien que sa mère, même s'il doit parfois lui rappeler de rester concentré.