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Orléane, la douceur faite femme

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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 12:52


Orléane Gallagher
"Quand tu rencontres la douceur, sois prudent, n'en abuse pas, prends garde de ne pas démasquer la violence."
Nom : Gallagher
Prénom : Orléane
Surnom : aucun de sa connaissance
Âge : 19 ans
Groupe : Civils
Nation d'origine : Aeria
Métier : Cultivatrice. Elle possède une petite ferme qu'elle entretient seule depuis la mort de son père.
Arme : aucune (à part ses fourches et ses râteaux '_')
Ce qu'on dit de Moi
Orléane est un tout petit brin de femme pourtant bien plus résistant qu’on pourrait le penser au premier abord. Elle a de longs cheveux dorés et de grands yeux vert bleuté selon ses humeurs et le temps qu’il fit. Elle mesure à peine 1,60m et ne pèse pas plus de 50 kg. Ses gestes sont emplis de douceur et son regard d’amour, lorsqu’elle le porte sur les gens qu’elle croise. Sa voix, calme et posée, est relativement grave mais féminine et apaisante.

La douceur et l’amour sont ce qui la caractérise en premier lieu, mais de terribles épreuves lui ont révélé qu’elle pouvait ressentir colère et haine en certains moments, et cela la terrifie tout à la fois. Orpheline de mère depuis son enfance, perdre son père récemment fut pour elle plus terrible encore, au vue des circonstances. Mais cet évènement tragique lui permit également de faire la connaissance de celui pour lequel son cœur bat à l’heure actuel et de qui elle prend soin depuis plusieurs mois. Car elle est ainsi, Orléane. Douce et gentille malgré les épreuves, tendre et charitable, comme l’était sa mère, offrant au monde ce que l’humain a de meilleur en lui. Et dans les bras de Candel, elle oublie la douleur et le chagrin, pour ne plus penser qu’à lui et l’amour qu’elle ressent.

Depuis la mort de sa mère, Orléane aidait son père aux différents travaux de la ferme, se levant tôt tous les matins, et se couchant tard le soir. Travailleuse et courageuse, elle ne demande jamais l’aide de personne, s’organisant pour ne jamais être débordée, ni surpassée par le travail, même si cela arrive inévitablement parfois. Il lui arrive même souvent d’en faire plus pour les autres que pour elle-même, comme elle l’a toujours été, comme l’était sa mère.
Écoutez mon Histoire
Elle réajusta son fichu retenant sa longue chevelure dorée, évitant à ses cheveux de venir dans son visage et gêner son travail. Se relevant, elle essuya son front de quelques gouttes de sueurs dû à la chaleur de la journée, et de son labeur depuis plusieurs heures. Se faisant, elle fit craquer quelques vertèbres au passage et grimaça avant de se retourner vers la maison où se reposait l’être auquel elle tenait le plus : son père. Il avait terminé son repas du midi et Orléane était repartie travailler dans les champs, alors que le bûcheron faisait une sieste bien méritée avant de retourner fendre les bûches qu’il avait coupées le matin-même. La jeune femme de dix-huit ans n’avait plus que son père qu’elle aidait à la ferme, sa mère les ayant quittés bien des années auparavant quand Orléane était enfant, emportée par une maladie incurable. Elle gardait de sa mère un souvenir de douceur et d’amour sans borne, dont elle se faisait fort de reproduire le mode de pensée au quotidien, en son hommage. La femme lui avait raconté un jour que son prénom était un rappel de leur nation d’origine, Keven, d’où ils avaient tous les deux étaient chassés, elle et son mari. Orléane lui avait demandé pourquoi et la mère avait sourit à sa fille en lui caressant les cheveux avec douceur. Les mots n’avaient pas été faciles à trouver car comment expliquer à une enfant toutes les subtilités des adultes ? Elle lui avait raconté qu’elle était issue d’une famille influente de la capitale kevii et que son père n’était qu’un bûcheron sans avenir. Ils étaient tombés amoureux et on ne peut rien contre l’amour. Mais sa famille à elle ne l’avait pas vu de cet œil là, car elle devait épouser le fils d’un noble qui convenait plus à sa condition. Elle avait refusé de se plier aux exigences de sa famille et avait épousé cet homme grand, beau et fort. Alors sa famille l’avait déshéritée et pour construire une nouvelle vie, le tout jeune couple était parti de Keven pour recommencer ailleurs. Epris de liberté, Aeria avait été leur destination de prédilection pour s’installer et fonder une famille, vivre leur amour comme ils l’entendaient. Alors Orléane était née. C’était peu de temps après ces révélations sur ses origines que la petite fille avait perdue sa mère.

De jour en jour, Orléane avait vu son père se refermer et travailler plus longtemps, plus durement pour faire tourner la ferme. Il avait toujours refusé que des voisins viennent l’aider si bien qu’Orléane insista pour l’aider, alors qu’elle n’avait pas dix ans. Au début le père refusa, mais croulant sous la tonne de travail à abattre dans la journée, il n’avait pas pu résister longtemps. La petite fille s’occupa alors des poules et du bétail très tôt le matin, tandis que son père allait en forêt. Dans le courant de la matinée elle allait voir les récoltes et semait ou récoltait quand il le fallait, une bonne partie de la journée. L’après-midi, elle accompagnait son père pour livrer les différentes familles et quand ils rentraient le soir, ou le lendemain, ils faisaient les comptes jusque tard dans la nuit. La routine s’installa, le temps passa, guérissant les blessures de l’âme, estompant la douleur d’avoir perdu un être cher. Mais la douleur, elle ne s’estompe jamais tout à fait…

La ferme des Gallagher est située près de Carabas, sur l’île du même nom, une ville où Orléane n’aimait pas spécialement se rendre à cause de la famille dirigeante de l’île, les Gorgo. Son père avait une attitude étrange depuis quelques temps quand ils devaient se rendre là-bas pour livrer leurs produits, mais Orléane n’avait jamais réussi à obtenir de réponse à ses questions, alors, elle avait préféré laisser tomber. Elle avait décidé que cette fois, il lui dirait ce qui le tracassait. Elle ôta son fichu, libérant ses cheveux blonds qui lui tombaient en cascade dans le dos, et s’avança vers la maison pour aller réveiller son père et préparer la charrette. A peine quelques heures plus tard, ils étaient en ville et la jeune femme patientait dans une petite pièce éclairée par une fenêtre aux vitraux colorées, que son père ait terminé les négociations, sans se douter que c’était elle, l’objet des négociations…

Soudain, la porte s’ouvrit sur un homme de grande taille à la chevelure de jais et au regard aussi sombre. Orléane, rompue aux bonnes manières et à l’étiquette, s’inclina en lui souriant alors qu’il s’avançait vers elle. Il lui attrapa violemment le bras et elle n’eut que le temps de voir son père à genoux sur le tapis qui se tenait le ventre et sanglotait. Ses cris pour appeler son père furent étouffés par une main aussi grande que sa tête, et se débattre était inutile. Levant les yeux vers l’homme gigantesque, Orléane compris qu’il se jouait là un tournant de sa vie et sentit son cœur s’affoler. Elle ne pouvait rien faire d’autre que se laisser mener dans les couloirs de l’inquiétante bâtisse, impuissante, sans comprendre ce qui lui arrivait. Elle ne comprit pas plus quand on l’enferma dans une pièce sombre, avec pour seul mobilier un lit aux draps de satins sur lequel reposait une robe blanche au tissu tellement fin qu’il en était transparent. Tremblante, elle était restée là au milieu de la pièce, attendant que les choses se passent. La porte s’était ouverte et une femme douce et silencieuse l’avait aidé à se dévêtir, l’avait lavée, puis l’avait aidée à passer la robe blanche. Avec des signes de la main, elle lui avait dit de rester là, et plaquant un index sur sa propre bouche, lui signifiait de rester silencieuse. Etait-ce à cause de sa frayeur ou non, Orléane avait cru voir des larmes dans les yeux de la femme qui s’en allait, la laissant de nouveau là, seule, dans cette pièce froide. Mais elle n’avait pas eu à attendre longtemps. Un homme était arrivé et l’avait scrutée de son regard inquisiteur. Ce qui s’était passé ensuite, elle aurait préféré ne pas s’en rappeler. Elle enviait les traumatisés qui ne gardait aucun souvenir de leur passé, ni de ce qui les avait rendus amnésiques.

Apathique, allongée sur le lit, vidée de ses forces, au bord de la conscience, elle sentit une main rugueuse sur sa joue et une voix grave et apaisante à ses oreilles. Son père, elle ne saura jamais par quel miracle, avait réussi à échapper à ses gardes, et l’avait retrouvé. Sans doute un esclave ou un domestique souhaitant faire quelque chose de bien, l’avait guidé le bûcheron jusqu’à sa fille. Il avait attrapé ses vêtements, l’avait habillée en hâte et aidé à se lever mais au moment de franchir la porte, un rire sadique avait raisonné dans la pièce. Orléane avait entendu des coups sourds, des coups de poings, et des gémissements, ses jambes refusant de la porter plus longtemps. Elle s’écroula au sol, sans force et la dernière chose dont elle se souvient de ce moment-là, est le visage ensanglanté de son père.

Un rayon de soleil traversa la pièce et vint frapper la jeune femme au visage. Elle se réveilla et la douleur avec elle. L’homme se tenait debout à son chevet. Elle aurait pu le trouver beau en d’autres circonstances, mais pour l’heure, elle le pensait l’homme le plus hideux que le monde ait pu porter. D’une voix suave, il l’invita à se rendre à la fenêtre pour y assister à un spectacle inoubliable. Hésitante, tant à cause de la douleur, que de la méfiance, Orléane se leva sans un mot, sans un regard pour lui et s’approcha effectivement de la fenêtre. Mais quand elle vit le corps de son père se balançant au bout d’une corde, s’en fut trop pour son esprit déjà torturé. L’homme la rattrapa avant que sa tête ne heurte un montant du lit et demanda à ce qu’une esclave prenne soin d’elle. Quand elle revint à elle plusieurs heures après cet incident, elle trouva sur le chevet une enveloppe à son nom posé sur un petit coffret d’ébène. Ouvrant l’enveloppe avec peine, Orléane trouva un mot à son intention.

"Votre père, redevable d’une dette envers la famille Gorgo, a payé de sa vie ce qu’il n’avait en orbes. Non content de leur devoir de l’argent, il leur a en plus volé ce qui leur appartenait en tentant de leur vendre vos produits au double du prix habituel. Il vous a vendue pour tenter d’éponger sa dette mais au regard de vos faibles performances, vous êtes libres de rentrer chez vous. Un coffre d’orbes vous est offert en compensation de vos pertes. Votre cheval et votre charrette vous attendent dans les écuries de la résidence Gorgo. Je ne saurais trop que vous conseiller d’être partie avant le retour du Maître."

Orléane sentit une vague de colère l’envahir, un sentiment qu’elle n’avait jusque là jamais ressenti et se fit la promesse silencieuse qu’un jour, elle ne sait ni quand, ni comment, elle prendrait sa revanche et vengerait son père. Car elle savait, elle, que son père était innocent et qu’il n’était coupable que de s’être interposé pour la sauver. Elle remit la lettre dans l’enveloppe et la dissimula sous ses vêtements, puis sortit de la pièce, délaissant le coffret rempli de suffisamment d’orbes pour ne plus avoir à s’occuper de sa ferme jusqu’à la fin de ses jours, et se rendit aux écuries récupérer sa charrette pour rentrer chez elle. Mais avant de partir, elle avait quelque chose à faire…

La fosse commune était située loin de la ville en bordure de falaise, lisière de forêt, là où rebus de la société et sans famille étaient jetés comme des malpropres, ne méritant ni tombe ni funérailles. Orléane savait que le corps de son père y avait été jeté après la pendaison, et que c’est là qu’elle le trouverait pour pouvoir le ramener chez eux, à la ferme, et lui offrir la cérémonie qu’il méritait. Le banc en bois dur de la charrette lui faisait mal alors qu’elle subissait les chaos du chemin mal balisé, et elle grimaçait à chaque sursaut. Pourquoi souffrir autant pour si peu ? Qu’allait-elle faire maintenant qu’elle était seule face au monde, avec une ferme sur les bras à faire tourner, des terres et des animaux à ne plus savoir qu’en faire ? Elle laissait les larmes couler, se demandant si elle ne devrait pas se jeter dans la fosse aux côtés de son père et attendre la fin, inéluctable, pour que toutes ces horreurs s’arrêtent enfin ? L’odeur putride était insupportable et le cheval refusa d’avancer alors qu’ils n’étaient plus qu’à une centaine de mètres de l’horrible endroit. Il faudrait bien qu’il avance pourtant, car elle ne pourrait porter le corps de son père sur une si longue distance. Et comme sentant son désarroi, son cheval refit un pas, puis un autre et encore jusqu’à s’approcher suffisamment de la fosse et s’arrêta, nerveux. Il ne baissa même pas l’encolure pour brouter, mais attendit, patiemment, les ordres de la jeune femme. Orléane poussa un profond soupire en ravalant ses larmes et descendit, grimaçant, sur le sol dur à ses pieds.

Le premier regard qu’elle porta sur les corps en putréfaction lui souleva le cœur et elle rendit la bile contenue dans son estomac. Elle n’avait rien mangé depuis la veille, elle n’avait donc rien à vomir et c’était encore plus douloureux. Les larmes lui montèrent de nouveau sans pouvoir les contrôler et tomba à genoux quand elle le vit, les marques bleues autour du cou, la nuque brisée. Elle resta là pendant plusieurs minutes, plusieurs heures, sans s’inquiéter du temps qui passait, jusqu’à ce que son corps n’ait plus assez d’eau pour pleurer et que le chagrin ce soit mu en haine. Haine pour cet endroit, pour ce moment, pour sa faiblesse et pour les Gorgo. Alors elle se leva, mit un pied devant l’autre et descendu la pente abrupte qui la séparait du corps de son père. Auparavant, elle avait détaché le cheval de l’attelage et lui avait laissé seulement une partie du harnachement. Elle y avait attachée une corde et s’en servait pour ne pas déraper sur les corps et surtout, pouvoir remonter son père une fois atteint. Mais arrivée près de lui, ses forces et sa volonté la quittèrent de nouveau et elle se remit à pleurer sans retenue, sanglotant tout ce qu’elle pouvait, couchée sur le torse de son père, aveuglée par les larmes salées de la douleur et du chagrin. C’est là qu’elle le vit. Le soulèvement imperceptible d’un torse juste à côté.

Il était aussi pâle que la mort, blanc et maigre, ses cheveux noirs en travers de son visage abimé. Lentement, Orléane se redressa et alla vers lui, pour s’assurer qu’elle n’avait pas rêvé. Il était froid, presque glacial, et son souffle tellement faible qu’on aurait pu le penser mort, mais elle savait qu’il existait encore une étincelle de vie en cet homme. Elle jeta alors un regard à son père et fut pris d’un dilemme. Elle n’aurait pas la force de remonter son père et de revenir chercher cet homme. Elle devait choisir : ou tout donner pour soulever le corps lourd du bûcheron pour l’enterrer chez eux, dans leur ferme, ou tenter de sauver une vie, même une presque vie, mais une vie quand même, et faire ce qu’on lui avait toujours appris : le bien. De nouveau, elle fut prise de sanglot et se maudit elle-même de n’être pas plus forte. Elle retourna près de son père et lui embrassa le front, adressant une prière au seul dieu qu’elle connaissait, l’Unique, lui recommandant de prendre soin de son âme, promettant qu’un jour ils se retrouveraient et qu’ils vivraient une éternité de bonheur ensemble. Puis elle alla entourer le corps du jeune homme de la corde et ordonna au cheval patient de marcher. L’animal obéit aussitôt et avança. Le corps du jeune homme se souleva et Orléane s’aida de la corde pour remonter en même temps, lui tenant avec précaution la tête et éviter qu’il ne se fasse plus mal. Une fois sortie de la fosse, elle installa le corps faible et émacié sur la charrette non sans mal, et repartie sans se retourner en direction de la ferme. Des larmes coulaient de nouveau sur ses joues, mais des larmes de colère cette fois, les dernières qu’elle verserait avant longtemps.

Deux mois durant, Orléane passa ses journées entre la ferme et l’inconnu sauvé de la fosse commune des Gorgo, à panser ses blessures et veiller sur son sommeil trop calme à son goût. Il restait malgré tout ses efforts très pâle et parfois, elle se demandait s’il survivrait à ses blessures somme toute plus grave que ce qu’elle avait bien voulu le reconnaître au début. Elle passait beaucoup de temps à son chevet, à lui parler tandis qu’il restait entre la vie et la mort, se prenant à s’attacher à lui, alors qu’elle ne savait rien de lui. Elle avait toujours refusé l’aide que des voisins avaient voulu lui apporter, mais souvent elle retrouvait du pain, des tartes et des œufs frais sur la table de la cuisine. Parfois, alors qu’elle s’était levée tôt pour aller nourrir les animaux, elle les trouvait déjà repus et n’avait plus qu’à retourner s’occuper de l’inconnu. C’est un de ces jours-là qu’elle le trouva éveillé, les yeux ouverts. Commença alors de nouveaux jours, une nouvelle vie, un nouveau but. Il lui fallut du temps mais le jeune homme lui révéla son prénom, Candel, tout ce dont il se souvenait. Il se souvenait aussi avoir été dragonnier, et avoir perdu son dragon et son don associé. Orléane se surprit plusieurs fois à vouloir en savoir plus sur son nouvel ami et en même temps, à ne rien savoir qu’il ne veuille lui révéler, comme pour préserver ce qui avait fait de lui ce qu’il était avant. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, parlant peu, Orléane parlant plus que Candel, pour meubler les silences qui s’installaient souvent. Elle surprenait les regards qu’il lui lançait et souriait en retour, retrouvant une nouvelle vocation à ses journées. Son cœur se gonflait chaque fois qu’elle le voyait, et mourrait un peu plus chaque fois qu’elle devait partir. Elle sentait que Candel n’était pas tranquille quand elle était loin de lui et revenait dès qu’elle le pouvait, mais elle devait bien continuer à faire tourner sa ferme.

Elle l’entendait gémir dans son sommeil qu’il avait agité de cauchemars torturés dont elle n’osait imaginer le contenu. Elle le rejoignait parfois quand le savoir souffrir était intenable et il lui ouvrait ses bras dans ces moments-là. Il leur arrivait parfois d’échanger des baisers salvateurs, comme un baume sur leur âme brisée à tous les deux. Si elle avait trouvé le courage de continuer à avancer c’était grâce à lui, et elle voulait en retour l’aider à aller mieux. Elle voulait continuer à prendre soin de lui, qu’il retrouve ses souvenirs, et le chemin de sa vie, en espérant l’accompagner encore longtemps. Orléane ne voulait plus être séparé de Candel parce qu’il était devenu sa raison de continuer à vivre.
Et Vous ?
Pseudo Internet : Rebelz
Comment avez-vous connu Lindorm ? pfff toujours pareil, encore et toujours la même question, pour la 5ème fois ! zut !
Le Code : validé.


Dernière édition par Orléane Gallagher le Ven 12 Sep - 18:15, édité 14 fois
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 12:53

Hiiiiiii ma chiwie d'amour en mieeeeel o/
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 12:59

C'est mwaaaaaaaaaaaaa :19:

(enfin les persos hein '_' je tiens pas à avoir des problèmes :24: )
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Aqua
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Ludvig Brax
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:05

Chooo Cute <3

Bienvenue ! !
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Wyrm Progressiste
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1 flacon de "mémoire parasitée"

Ryan Shrewsbury
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:05

Bienvenue ^^
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:09

Huhu merci, c'est moi mes biquets, votre admin adorée :19: *se lance des fleurs*
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Wyrm Progressiste
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Ryan Shrewsbury
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:15

Lol je me disais bien aussi que c'était certainement un DC XD Mais j'ai quand même failli me faire avoir j'avoue *lui lance des fleurs aussi*
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:17

huuu des fleuuuuurs :21:
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Aqua
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:18

Tu me cherches '_'
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 13:21

Hm :57:
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Je n'ai pas encore de Rang !
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Candel Harfang
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 18:19

Je te valide avec ce compte pour la peine !
J'adore ta fiche, tout est parfait ! *-* Ma belle blonde !
Vous êtes Validée !
Félicitations, vous obtenez 100 orbes !

En tant que nouvelle venue, pensez à remplir vos champs de profil (sous votre avatar). Vous pouvez dès à présent aller créer vos liens ici, votre répertoire de sujets ici et voir nos demandes de RP ici si jamais vous n'osez pas vous lancer seule. Et n'oubliez pas de recenser votre avatar sur ce sujet : Recensement des Avatars, et celui de votre dragon sur celui-ci : Dragons et Dons répertoriés.

Vous êtes également vivement invitée dans le flood ! Vous verrez, nous ne mordons que sur demande.

Amusez-vous bien parmi nous !
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Message Orléane, la douceur faite femme I_icon_minitimeVen 12 Sep - 18:22

Hiiiii merci mon Candel d'amûûûr :20:
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