✘ Nom :Savoureux
✘ Prénom :Katherine
✘ Surnom : Hime, Sa Seigneurie, Maîtresse, Son Excellence
✘ Âge : 27 ans
✘ Groupe :Civile.
✘ Nation d'origine :Wuweishu
✘ Métier : Maître restaurateur, cuisinière d'exception...A son compte. Elle possède son restaurant, L'Opalescence restaurants chic et sélect de Prima.
✘ Arme: Hachoir renforcé avec manche en malachite. Le fil du hachoir est aiguisé. Son équipe de cuisinier semblable a une armée de fanatique peut également être considérée comme mortelle

Se tourne en vous laissant admirer sa beauté.
Ca ne vous suffit pas? Bien, je vais décrire ma beauté aux personnes trop aveugle pour voir cet évidence!
Mon visage comporte des traits fins et affirmés avec mes yeux acajous légèrement en amandes et mes lèvres douces qui appelle au baiser, mon petit nez est mutin. Ce visage , mon visage, est si exceptionnel que mon père a fait venir les meilleurs peintres esclaves de Bianca pour pouvoir le reproduire. J'ai une chevelure longue et soyeuse d'un beau châtain clair que je n'attache que rarement, les laissant ainsi virevoltés autour de moi tel une parure naturel. Ma beauté n'a pas besoin de bijou ou d'artifice pour être remarqué et un rien m'habille.

Ma silhouette est élancée, gracile, toute en courbe; la beauté du corps se cultive et rien ne fera faner ma prestance gracieuse. Je suis belle dans le regard des hommes et des femmes qui m'admirent lorsque je sublime de ma présence les rues de Wuweishu, et j'empli de joie ceux sur qui mon regard se pose.

Selon mon père, Le Grand et Magnifique Gaspard Savoureux, je ne suis rien de moins que la perfection faite femme. Vous vous dites peut être que j'exagère. Mais admirer moi, moi la Magnifique et Sublime Katherine, et vous ne pourrez plus quitter des yeux celle pour qui des nobles de tous les territoires veulent la main.

Son excellence Gaspard Savoureux, a le plaisir de vous convier à son mariage avec la délicieuse Akimi Kazehiro.

C'est le début de mon histoire, du mariage entre mon père Le Magnifique et Talentueux Gaspard Savoureux et la Noble et Douce Akimi Kazehiro. Autant vous le dire, ce fut un mariage arrangé, purement commercial, mais contre toute attente ils se plurent. Leur amour de la cuisine les a réunis. Au-delà du nom prestigieux de mon Père et sa situation de nouveau riche, et celui de femme attentionnée de ma Noble Mère, ce fut une union heureuse qui donna naissance au plus parfait des enfants. Moi.

Katherine Savoureux. Fille bien-aimée du Clan Kazehiro et du prestigieux Maître restaurateur Savoureux. Mélange entre la noblesse Wuweishu et la capacité créative Lostreg.

Loin de me sentir comme un animal en cage, j'ai évolué dans le luxe et la maîtrise de mon image. L'apprentissage et la rigueur me furent enseigner avant même l'âge de raison. Comment marcher, me tenir, parler, tout me fut appris sous la houlette bienveillante de mes parents et de mes précepteurs. Je suis une enfant qu'on dit touchée par la grâce de l'Unique, magnifique et intelligente.
Je fus amené à paraître parfaite à bien des réceptions, faisant grandir une foule d'admirateurs à mesure que ma féminité s'épanouissait telle une fleur immortelle.

J'ai également des passions. L'une, légué par ma Mère est l'écriture, manier les mots, savoir toucher ses lecteurs. Pouvoir se relire sans honte même plusieurs années après est le plaisir que mes professeurs particuliers et que ma Noble Mère m'ont inculqué. L'autre, légué par mon Père, est l'amour de la cuisine, du gout nouveau, de la saveur unique qui fait que l'on se souvienne d'être venu à ma table et d'en être ressorti bouleversé; la saveur du plat encore en bouche, rêvant déjà de notre prochaine rencontre et de notre prochaine tablée. Père me dit souvent:" Katherine, ma chère fille, ravir le cœur d'un homme est simple mais cela peut être éphémère, mais ravis lui ses papilles, enchante ses sens et il sera tiens à jamais.
Suis mes conseils car après tout, ne suis-je pas Gaspard Savoureux?"

Dès treize ans, je voulus faire la fierté de mes parents, de leur montrer que j’étais digne de mes origines et je cherchai un moyen de leur prouver ma reconnaissance envers l'amour filial dont j'étais entouré.
Un an. Cela me prit une année entière de recherche, d'exploration et un jour l'inspiration me vint, et, comme le plat le plus alléchant qui soit, je le découvris à l'extérieur de la maison. Ici. Voyez! Des hommes et des femmes qui mangent tous les jours la même chose, lassés de la vie, ne connaissant pas les goûts subtils d'un restaurant et de plat dépassant les plat les plus communs du Wuweishu. Ce fut "La" révélation.

Exaltée par mon idée, je passai plusieurs jours sous la houlette de mes professeurs à perfectionner mon inspiration, noircissant des mètres de parchemin de ma calligraphie.
Heureuse, fière et déterminée, j'offris en toute humilité la somme de mes efforts à mes parents.
Ma joie fut immense lorsqu'un sourire illumina leurs visages, preuve d'une fierté sans bornes qui ne connue pas de limite à ses simples mots.

- Je suis si fière de toi ma fille.

Mon ouvrage a plu au plus terrible critique gastronomique de tous les territoires, celui qui n'a pas hésité à franchir des limites culinaires les plus improbable, celui qui a imposé des règles dans les cuisines Lostreg (!). Le titre du livre fut sobre, la lecture, facile.
À 14 ans, je devins célèbre grâce à mes volumes de
"La cuisine pour les nuls".
En ces temps troubles, mes livres firent la joie de tous. Ce succès devient ma première marque de fabrique avec la sortie des 12 autres tomes, tous sur les gammes de plats simple qui évolue sur du plus compliqué.Je leur ai ouvert la voie vers des goûts nouveaux, et facile d'accès.
Ma Mère pleura de joie devant mon succès, mon Père dit que le destin de sa fille Katherine était tout tracé. J'acquis mon premier titre de la bouche même de mon père: L'excellence Katherine.

De nombreuses personnes me nommèrent ainsi et je devins rapidement un excellent parti avec mon suucès, sans compter le nom de mes parents. De nombreuses personnes demandèrent ma main mais tous sans exception furent repoussés: aucun n'a mon sens du gout et la précipitation n'est pas l'apanage des Savoureux. Mon père me dit qu'il me trouveras un parti convenable si je le souhaitais. Les gens m’intéressant moins que ma cuisine, j'accepta son offre dans un sourire en lui faisant promettre de ne pas me marier à un homme plus âgé que moi. Ma condition acceptée, je laissa cette histoire de coté. Après tout, la Sublime Katherine a moins peur des hommes que de rater la cuisson de ses plats ..!

Par la suite, mon Père m'offrit un défi, celui de gagner l’Opalescence, à la condition que je découvre un nouveau goût, unique, comme moi. L'opalescence est LE restaurant de Prima. Le défi est de taille, mais à la mesure de mon ambition. Et l'ennui gustatif n'est pas envisageable lorsqu'on s'appelle Savoureux.

Décidée, j'ai parcouru le monde à la recherche de ce met précieux mais souvent je fus déçue, ma patience fut mise à l'épreuve bien des fois, mais il est hors de question que je rentre sans obtenir satisfaction et que je déçoive Père! Beaucoup de personnes voulurent me suivre dans ma quête mais peu restèrent à mes cotés.
Dans ma quête de l'ingrédient parfait, je fus accompagné d'une bande de mercenaires et de garde, qui apprirent à me connaitre, à esquiver les colères de celle qui arrive à viser avec un hachoir si le cœur lui dit et ainsi à obtenir plus que simplement de l'attachement mais du respect et une confiance en mes choix. Mon père a tellement raison: offre un gout unique et personne ne te résistera. Mieux, tu gagneras leur respect sans paraître faible.

Mes recherches me rendirent près des terres fertiles des volcans, où je découvrit plus qu'un goût mais un lien. Un compagnon qui me jura respect et loyauté au-delà des mots. Mon lien avec Kare Raisu fut le dernier pas de mon épanouissement en tant que fille pour devenir une femme. Mes années à l'Académie me permirent de développer mes plats, d'apprendre à cuisiner de manière saine dans la nature, de reconnaitre les aliments des poisons. De cuisiner de rien pour donner la joie à mes compagnons de route. De faire confiance en leur jugement également. De savourer la vie. Ce fut une école sur une lecon de vie qui m'apprit a composé de nouveaux gout non avec les ingrédients mais avec des gens et leur sentiments.

À ma sortie de l'Académie, j'ai demandé un entretien avec Père. Armée de ma patience, et de mon équipe de cuisine, composé de mercenaires, de soldat heureux de montrer leur expérience culinaire. je m'attelais à ma tâche, le regard du Grand et Puissant Gaspard Savoureux sur notre équipe, aussi intransigeant que d'habitude dans son yukata.
Je voulais tellement lui montrer le résultat de mes recherches, l'aboutissement de mon sens du gout! Le stress fut pire que celui des examens, pire que le test d'alliance avec Kare Raisu! Tel un chef d'orchestre, je dirige, j'ordonne, et vins enfin le moment tant attendu.
Je lui offris mon lapin à la royale. Des années à peaufiner ce plat, en ajoutant ce gout nouveau que m'a demandé mon Seigneur et Père.
La truffe. Ma surprise, mon nouveau gout unique. Celui pour qui j'ai creusé à même la terre! La truffe, le bijou des profondeurs au gout si exquis si Savoureux !
J'ai pleuré de joie quand mon père, après s'être levé, me pris dans ses bras, les larmes de fierté brillants dans ses yeux, dissipant tou mes doute:

"Tu es le nouveau Seigneur de la cuisine Katherine ! Moi, Gaspard Savoureux, te le dis : aucun plat n'est plus digne que toi que celui-ci. Tu es prête. Ton restaurant t'attend. Je n'ai pas les mots pour exprimer la fierté et la joie que tu procures à ton père! Tu es une Savoureux! L'excellence parmi l'excellence. La perle rare que chaque parent rêverait de connaitre. Ton restaurant t'attend ma fille, les meilleurs cuisiniers de tout Lostreg rêvent de travailler pour toi! Tu es digne d'être mon héritière au-delà des liens du sang."

Mon service militaire fut reposant, personne n'ose s'approcher de trop près de la flamme de mon existence et de Kare Raisu, qui bien que petit est extrêmement dangereux. il y eu beaucoup de brulure du coté d'homme et de femme concupiscents, et j'obtins rapidement une chambre à part ou je pus exercer mon Don à loisir. Lorsque plusieurs homme osèrent se plaindre d'avoir perdu l'usage de leur membres, moi L'excellence Katherine, en plein conseil de discipline leur admonesta cette vérité:

-Seul ceux capable d'amadouer Karai Raisu peuvent s'estimer digne de m'approcher. Seul les idiots sont capable de contrarier volontairement un dragon de lave qui pourrait reduire toutes cette installation en cendre juste en se déplacant. Moi Katherine, ai fait en sorte qu'il puisse encore se servir de leur autres membres.
Tenez vos hommes, je n'ai pas à gérer et à subir votre incompétence en manière de discipline.

Quel plaisir de pouvoir remettre cette bande de pervers à leur place. Mon statut me protège, mes gardes furent envoyé par ma Mère après avoir"doucement et gentiment" expliqué au chef de l'escadron que:
"Si jamais il arrivait quoique ce soit à sa fille, n'importe quoi, il pourra dire adieu à sa carrière militaire, à sa retraite et au prestige d'avoir commandé à de puissants dragonniers. Qu'il sera lapidé publiquement, son nom traîné dans la boue car personne ne commande les Savoureux, sauf les gens important et qu'un vulgaire gratte papier ne pourrait jamais s'extraire de sa fange pour arriver à la hauteur de sa Noble Fille.

Ma paix retrouvé, je termina cette année improductive rapidement, ayant hâte de retrouver mon restaurant, prête à tuer si la réputation de MON restaurant s'était dégradé.

Enfin il est devant moi, mon restaurant, mon bijou et écrin, mon Opalescence.

Mes joues sont rouges et mes yeux brillent à se souvenir. je suis maintenant la Maîtresse de l'Opalescence; Katherine Savoureux à troquer ses habits de femme de guerre pour prendre celui de femme conquérante. Personne ne me résistera! Et un nouveau défi m'attend. Mais laissons-le venir à nous, regardons sa valeur.

S'il me déçoit sa vie sera un enfer!

✘ Pseudo Internet : Vishthra
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? DC
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom :Kare Raisu
✘ Surnom : Le fourneau
✘ Âge : Vieux. Très vieux.
✘ Type : Lave
✘ Don qu'il vous a légué : Cottura a vapore: Katherine génère des boules de feu qui déshydrate la partie de la cible qui est touché. Plus la cible est proche, plus l'effet est puissant. A pleine puissance, la cible est totalement momifié mais laisse Katherine totalement vulnérable.
✘ Nation d'origine : Narthan

Kare Raisu est un dragon qu'on peut qualifié " de poche". C'est un dragon d'une vingtaine de centimètre de hauteur et d'une soixantaine de centimètre en longueur. Sa couleur est celle du charbon, rehaussé de braise. Ses yeux sont invisibles, et sa gueule est jonché de petits dents pointus capable de perforé n'importe quel roche, minerai métal ou os. Il ne parle pas.
Son corps peut se propulser rapidement sur une proie, un humain, un ennemi, une pierre brillante. La charge est son attaque; sa chaleur: son arme la plus redoutable. Personne d'autre que son excellence Katherine et son chamallo M'chawek, le chercheur de truffe ne peuvent le toucher sans avoir les chair fondus.


Solitude.


Le petit dragon avait senti sa fin venir, et l'attente était devenu insupportable. Sa longue vie de silence et de solitude dans la lave ne suffisait plus a réchauffer son âme. Le gout des pierres fondamentale n'arrivait plus à aiguiser son appétit.
En un mot, l'agonie du dévoreur de pierre était venu et pire que tout, l'attente qu'il sentait dans son corps depuis des années, des siècles ne sera jamais comblé.

Ennui.

Le dragon de lave sortit du volcan, perforant la roche, et allant vers la surface si froide du monde du dessus pour faire la dernière chose de sa vie. Choisir son lieu de mort et de repos.
Alors même que son feu était en train de s'éteindre doucement, que la résolution de sa mort semblait si inéluctable, une pluie s’abattit sur lui, le remplissant de froid, hâtant sa fin. Lui qui voulait mourir dans ce ruisseau n'arriva jamais à destination.

Mouvement.

Du bruit. Son corps fut déplacé par des mains douce et il fut recouvert de chose sentant la terre et la nouveauté. C'est curieux , lui qui voulait mettre fin a ses jours ressent la couleur d'un sentiments qu'il n'avait pas expérimenté depuis longtemps: la curiosité.

Vie.

Il dévora l'offrande que les mains douce avait laissé sur lui, dévora tout, même la chose verte qui était de la malachite lui expliqua-t'elle plus tard.
Un bruit sourd. Un animal étrange au poil long venait de s'effondrer en le voyant. Le sentiment d'unité le pris par surprise et il s'enfuit, laissant les autres créatures récupéré celle au sol; l'emmenant loin. Si loin...

Désespoir.

Il l'avait trouvé et c'était parti. Il resta dans les environs, son feu intérieur ravivé par le fol espoir de revoir et de retouché la créature si semblable et si différente.


Joie.

Elle est de retour! Elle creuse, elle cherche comme lui les pierres succulentes? Plus loin une autre créature rôde. Le mal qui en émane est piquant. Nocif. Ma créature au long poil commence à courir. Un éclat attire mon regard et je l'entends enfin en pensée.


Par l'Unique, pas ça , non !!! Pitié!


RAGE! PEUR!

Je me rue sur l'intrus. je mords j'allume mon feu, je dévore de la chair rance. Je fais fondre les chairs et la roche en dessous. Plus tard on m'expliqua que l'homme n'avait plus l'usage de ses jambes et que plus jamais il ne fera de mal à une femme. On m'expliqua également la valeur de la vieet les commandements du Père dragon. Un vague souvenir,
mais trop fugace pour être reconnu.

Curiosité.

La créature est femelle.

M’insérant dans ses pensées, fixant la créature aux yeux couleur terre je lui transmis ceci:
Toi qui a sauvé mon existence, moi Mriiiiige graiiiiiiidferz fiiii, te remercie.
J'écrase en brûlant un peu de mou sous mes pattes , diminuant mon feu; les balafres qui reste sur l'intrus sont une preuve de mon existence. Je prends un air plus doux, moins effrayant.

Tu es comme moi. Tu cherches la terre. Tu trouveras. Plongeant mes pattes dans le sol, je ressortis un bout de pierre molle finissant de sortir l'objet de convoitise de la chose femelle-dragon-sans-l'être-tout-à-fait.
Mange.

Elle s'était approché et a pris mon cadeau, doucement, comme en ayant peur de ma réaction.
Ridicule, elle est la raison de mon attente. Cette pierre que les chamallos aime chercher dans le sol fut porté à sa bouche et je remarqua ses dents.

Révélation. Sourire, félicité. JOIE.

Je l'ai trouvé, elle est venue. Jamais je ne la quitterais elle est ma destinée.Je souris en retour, porté par la joie de sentir une raison de vivre.


Plus tard, bien plus tard, je dus montrer que personne ne m’enlèvera ma Katherine. La Sauveuse Katherine. Ma vie: Katherine.

L'épreuve.

La glace, le froid, la faim.
Je fus considéré comme une proie et j'eu mal. Silence, hurlement de rage, carnage et sang. Présence rassurante près de moi. Ma Katherine est forte. Son feu m'aveugle parfois et je me tais devant sa prestance.

Partage et félicité.

La gamme de ses sentiments entre en moi, en retour j'offris un peu de moi à ce feu dévorant. cette âme vive doit se protéger! Jamais le froid ne pénétrera son âme! Présence nouvelle et chaleureuse. Elle est enfin à moi, cette existence éphémère et moi sommes lié.

Soulagement et chaleur.

Le feu ronflant du fourneau dans lequel je suis installé me berce.
Nous sommes maintenant loin de l'agitation des autres créatures. Seuls ceux que Son Excellence tolèrent peuvent entrer dans cette pièce et tous lui obéissent.

Avec amour, j'observe celle qui est ma vie. Mon aimée. Mon destin.

Mon nom me fut donné tel un nouveau départ, une nouvelle vie. Pour elle je serais Kare Raisu. Son bien aimée a jamais, son épice précieuse.


Pour moi, elle est tout.