AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 
Le Deal du moment :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – ...
Voir le deal

Partagez

Opaline Lynch

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AnonymousInvité
Opaline Lynch Empty
Message Opaline Lynch I_icon_minitimeLun 14 Jan - 18:55



Opaline Lynch
« Je me complais dans ma crédulité. »


NomLynch | PrénomOpaline | SurnomAucun à l'heure actuelle | Age17 | Nation d'origineWaterfield

Classe fréquentéeAqua | Année d'étudeSeconde | Type de dragonDragon d'eau, sans jumeau | Nom du dragonMjrn (prononcez Mirne)

Sa Description
Spoiler:

Mjrn est un dragon d'eau au corps élancé et de corpulence faible, recouvert d'écailles bleu de cobalt. Si son corps lui offre des compétences incroyables en ce qu'il s'agit de la nage, il est moins adapté en ce qu'il s'agit de la vie sur terre et du vol, ses ailes étant trop petites et ses pattes courtes. De chaque côté de ses maxilliaires se trouvent deux petites piques en ivoire pointant vers le haut, longues d'une vingtaine de centimètres, et deux cornes de soixante centimètres épousent parfaitement la ligne de son crâne. Le long de ses vertèbres poussent des écailles de calcaire, aussi solide que des coquilles de bénitiers, et de chacune d'entre elle s'échappe une protubérance épineuse. Le bas de son corps et son abdomen sont recouverts d'écailles en nacre, aux reflets irisiés et légèrement violacés. La pointe de sa queue est en forme du pétale d'une fleur de lotus.

Le don qu'il t'a léguéCelui de pouvoir rester de longues minutes, voire quelques heures sous l'eau sans ressentir le besoin de respirer.
Ton arme de prédilectionOpaline se sert d'un kris à l'extrémité hameçonnée et dont la poignée, relativement simple, est entourée d'une lanière de cuir perméable, pour être facile à agripper en milieu marin.



Parle-moi de toi


Physique// Journal d'un jeune pêcheur //

Au vu de mon maigre butin au soir, j'aurais peut-être mieux fait ce jour là de chercher l'hourite, mais je ne pouvais m'empêcher de l'observer, assise sur une bitte d'amarrage sur la jetée. Elle regardait de ses yeux cærulum au loin, comme intriguée par ce qui pouvais se passer par delà l'horizon, ses cheveux citrouille aux reflets d'abricot virevoltant au gré du vent. Elle n'était pas bien grande, ni n'était-elle petite : elle se situait dans la moyenne de taille des femmes de l'ile, avoisinnant le mètre soixante-cinq. Elle avait sur son giron un bol de riz, qu'elle s'évertuait à trier depuis la matinée, jetant aux poissons les vieux grains qui seraient indigestes à la cuisson. Ses doigts habiles, d'envergure et de circonférence légèrement supérieure à la normale, fouillaient machinalement le bol. Elle devait probablement s'ennuyer, attendant le retour de son dragon qui devait certainement avoir plongé dans les profondeurs pour se nourrir de poissons que nous pêcheurs ne réussissions pas à nous emparer. Lorsque vint une petite brise, son chapeau de paille, superficiellement posé sur son chef s'envola et, si ce n'eut été grâce à mon aide, se serait abimé en mer. En moins de temps qu'il ne me fallut pour réfléchir, je me trouvais devant elle, tendant la main pour lui rendre son couvre-chef. D'aussi près, elle était encore plus belle, sa peau aussi lise que la surface de la mer une journée calme d'été, ses vêtements azurin se confondant avec l'immensité de l'océan derrière elle et laissant deviner l'ensemble de ses formes courbes et généreuses, sa peau rappelait la couleur des bancs de sable, d'un grain ambré. À la sensation étrange qui picotait mes joues et son petit rire, je devais probablement être devenu aussi rouge qu'un piment mûr et immédiatement, j'enfouis mon visage sous mon propre chapeau. Si je n'avais pas été aussi timide, j'aurais très certainement engagé la conversation, mais dans ma lâcheté je suis reparti, cependant heureux des remerciements qu'elle m'adressa.


PersonnalitéIl m'est arrivé, par la suite, de la rencontrer et de faire sa connaissance lors d'une fête de village. Nous célébrions la Déesse Waterune et lui adressions nos prières pour que l'année soit fertile et qu'aucun marin ne perde sa vie en mer. Elle se trouvait assise à la table d'à côté, sa chaise adossée à la mienne. Nos pieds trempaient dans l'eau tiède des nuits d'été et un vent doux soufflait de l'est. Je ne sais comment, mais elle en est venue à me parler, me remerciant encore une fois d'avoir sauvé son chapeau, bien que cet évènement remontait à plus d'un an. Elle souriait énormément et ponctuait chacune de ses phrases avec une intonnation qui rappelait les jours heureux de l'enfance. Le temps aurait pu être à l'averse, sa seule voix aurait suffi à me transporter là où brillait le soleil. Nous parlions de tout et de rien, de pêche et de cueillette, elle m'a d'ailleurs avouée que petite elle était effrayée des hourites et de leurs bras tentaculaires. J'ai bêtement rigolé. Opaline, c'était là son nom, était une fille très légère, qui ne semblait pas vouloir considérer le fait que les malheurs pouvaient arriver et que le cœur de certains hommes était corrompu; non, elle croyait en le bonheur et en la bonté des gens et en cela je la trouvais tristement crédule. Un jour, cette confiance lui reviendrait au visage comme une fronde que l'on manierait mal, et elle le regrettera certainement amèrement. Elle avait ses peurs et ses rêves et ma mémoire se voit insuffisante pour vous reciter l'ensemble des choses qu'elle m'a dites, mais je me souviens qu'elle a parlé de l'académie de Lindorm comme étant le but ultime de sa vie, mais aussi qu'elle souhaitait plus que tout ne jamais devoir se séparer de Mjrn car elle en aurait le cœur brisé. Et d'ailleurs, lorsque plus tard dans la soirée j'ai tenté de glisser mes lèvres jusqu'aux siennes, elle a poliment refusé, m'expliquant que Mjrn ne serait pas contente qu'elle la délaisse pour un garçon. Aaaah! J'étais dégoûté!



Il était une fois

Biographie ♦ Par dessus eux, les éclairs zébraient les cieux couverts d'un manteau aussi épais et sombre qu'un nuage volcanique. Par dessous eux la mer était indomptable, comme enragée suite à la perte qu'elle venait d'essuyer. Encapuchonné dans un manteau de peau, un homme ne dépassant guère la trentaine d'années, malgré une moustache qui lui en donnait quarante, tenait dans le creux de ses bras le fruit d'une épuisante journée en mer s'étant à la fois soldée par de la malchance et une chance inouïe. Quelques heures auparavant, la houle avait fait chavirer la petite embarcation qu'ils utilisaient pour débarquer à terre et l'avait entrainé à des lieues du point d'amarrage du vaisseau de pêche dans lequel il servait. Et c'est là, sur un banc de sable perdu quelque part au milieu de l'océan déchaîné, qu'il échoua. De forme circulaire, le banc de sable présentait une circonférence suffisamment étendue pour faire barrage aux vagues. Malgré sa survie, le trentenaire ne gardait pas bon espoir : lui qui fréquentait la mer tous les jours, il savait qu'il se trouvait hors limite des routes maritimes et que, dans l'hypothèse où la tempête se calmerait, il ne survivrait pas à l'hypothermie dont les premiers signes ne devraient pas tarder à apparaître, faute de bateau pour venir le secourir. C'est pourtant à cet instant, alors que le sort semblait s'acharner sur sa personne que la Providence sembla enfin se placer à ses côtés. Apres avoir émergé de l'eau dans un grondement sourd, la créature bleu de nuit s'écrasa lamentablement sur le banc de sable, à quelques dizaines de mètres seulement de notre rescapé. Non peu intrigué par cette apparition et espérant voir là un signe le hâtant vers la fin de son calvaire, il s'approcha de la créature, étendue à même le sable, l'une des deux narines enfouie sous la fine pellicule d'eau recouvrant le banc et un liquide rougeâtre s'échappant d'une plaie qui courait tout le long de son flanc gauche. Pour abréger le discours qui se tint entre l'homme et la bête, nous nous contenterons de l'histoire brève que narra par la suite notre bonhomme aux badauds incrédules. Pris au piège par une gigantesque créature aquatique, le dragon fut obligé de s'engouffrer dans les abysses, par delà les limites tolérées par son corps malgré la douleur qui cisaillait son flanc et la perte de son aile gauche, avant de se laisser emporter par les courants et d'émerger à cet endroit, à des milliers de lieues d'où il a été attaqué. À la lecture de ce passage, vous vous êtes probablement demandé quelles affaires aurait pu trouver une créature marine en attaquant un dragon et la réponse se trouvait sous les griffes de celui-ci. Soulevant fébrilement une patte, le dragon — ou peut-être devrions-nous dire dragonne, car il était à présent évident que la créature était de sexe féminin — dévoila une coquille pleine, aux couleurs des éclairs, de la mer d'été, de l'océan et du ciel d'hiver, serpenté par un enchevêtrement de traits nacrés. Elle fit promettre au marin de veiller sur ce qu'elle avait de plus cher au monde, avant de l'amener sur une petite ile où faisaient toujours escale les chasseurs de calamars et de sombrer sous les flots tumultueux, renonçant très certainement à la vie.

Elton, qui s'était depuis présenté aux pêcheurs durant le récit de ses dernières heures, fut déposé à terre au terme de quelques longues heures à défier la houle et le vent glacé du nord. Il y retrouva, au confort de sa maison et d'un molleton de laine, l'ensemble de sa famille et lui présenta l'objet qui fut la cause de nombreux regards émerveillés. L'histoire ayant été ouïe par ses congénères, le père d'Elton, un vieil homme au teint foncé et aux cheveux d'argent jugea qu'il n'avait aucune raison de tenir sa promesse et qu'il ferait mieux de vendre cet œuf au marché noir afin de récolter un magot non dérisoire. Si sa femme, dont les traits suggéraient qu'elle ne devait faire que deux ou trois ans de moins que lui, semblait aussi partager cet avis, brûlant de désir de pouvoir s'acheter des nouvelles parures d'or et de jade avec l'argent obtenu, lui ne voyait pas les choses de cet œil. Il était un homme d'honneur et l'or n'était pas suffisant pour payer le prix du regret et des remords qui le rongeraient pour le restant de ses jours s'il décidait de se défausser de son trésor; d'autant plus que sa fille unique, Opaline, âgée de quatre ans au moment des faits semblait s'être prise d'affection pour cette chose ovoïde aussi haute qu'elle. Après des débats qui s'avérèrent encore plus houleux que la mer dehors, sa décision fut sans appel : il conserverait l'œuf et prendrait soin du dragon qui en éclorait jusqu'à ce que celui-ci soit en mesure de demander son indépendance.

--

Je me souviens encore de l'émerveillement dans ses yeux, lorsque quelques jours seulement après son cinquième anniversaire, quelques secousses firent trembler la surface de la coquille, qui avait perdu un peu ses couleurs avec le temps et l'érosion provoquée par l'air salé. Elle ne voulait plus sortir de la maison, s'attardant devant son trésor du matin au soir sans aucune lassitude. Elle n'attendait désormais plus que le moment où la coquille se fendrait et au terme de plusieurs heures durant lesquelles elle assisterait impuissante au spectacle, éclorait enfin l'œuf, révélant un petit être draconique. Je n'étais pas présent au moment où cela arriva, car j'étais en mer à pêcher le repas du soir et du lendemain, mais aux dires de ma femme Opaline se serait jetée sur le petit dragon dès le moment où il se serait entièrement extrait du berceau dans lequel il avait sommeillé et grandi durant de longs mois. Je dois avouer avoir été surpris ce soir là, en rentrant à la maison les bras chargés d'une caisse de poissons, et que dès l'instant où j'eus franchi le seuil, ma fille se jeta sur moi en essayant de soulever son nouveau compagnon, plus petit d'une trentaine de centimètres mais probablement aussi lourd qu'elle. Elle l'avait surnommé Mjrn, qui était le second prénom de sa grand-mère, qui avait partagé le même toit que nous avant de s'éteindre il y a de cela deux ans. Si Opaline était à l'époque trop jeune pour souffrir de la disparition de sa grand-mère, elle n'en avait pas moins été déboussollée, ne trouvant plus celle qui tous les jours l'amenait découvrir le monde. Mais maintenant, tout cela semble loin. Elle a désormais sept ans et se lance tous les jours dans l'exploration de notre ile en compagnie de Mjrn, qui est comme un sœur à ses yeux. Mrjn avait par ailleurs beaucoup grandi durant ces deux années et sa morphologie commençait à s'affirmer. D'une couleur bleu de cobalte, sa robe était recouverte d'écailles molles profondément colorées sur les flancs et de larges écailles calcaires par dessous son ventre et le long de ses vertèbres. Elle serait l'un de ces longs dragons qui, à défaut d'être gros et puissants, serait agile et rapide. Il m'arrivait souvent de m'inquiéter pour ma fille, à la savoir en train de vadrouiller, bien qu'elle m'affirmait ne pas faire de choses dangereuses, mais en même temps, je savais que Mjrn la considérait aussi comme sa sœur et la protègerait en toutes circonstances, malgré leur jeune âge.

--

J'aurais une multitude d'histoires à vous raconter, comme la fois où Opaline a manqué de se tuer en grimpant à un palmier afin d'y décrocher une poignée de fruits sucrés qui ne poussaient qu'à son sommet, ou encore la fois où Mjrn et elle avaient fugué une nuit afin d'aller à la recherche de je ne sais quelle créature mystique après que leur mère ne leur ait raconté une histoire fantastique. Il me semble cependant judicieux de démêler l'important du superficiel et de ne vous conter que sommairement les neuf années qui suivirent. Durant ces neuf années, la fille et le dragon nouèrent des liens encore plus intense, leur destin étant étrangement entremêlés. Il semblait qu'elles grandissaient à la même allure, qui était celle d'Opaline. Lorsqu'elles eurent respectivement quinze et dix ans, plus rien ne pouvait désormais les séparer, si bien qu'Elton fut obligé d'aménager un lit géant afin qu'elles dorment toutes deux ensemble. Cela avait d'ailleurs le don d'exaspérer les deux parents, qui souhaiteraient qu'elles ne vivent pas exclusivement l'un pour l'autre et apprennent à découvrir chacun de leur côté le monde qui les entouraient, mais malgré leurs efforts pour que cela ne se passe, ils échouaient inexorablement chacune de leurs tentatives. A seize ans, après avoir brillamment accompli l'épreuve d'alliance avec Mjrn, elle fut acceptée à l'Académie Lindorm afin d'y être formée à l'art de la guerre, qu'elle sentait imminente depuis que d'étranges rumeurs couraient les ruelles de son village insulaire.

--

Je me souviens de la dernière fois où nous avons plongé dans les eaux sarcelle et turquoise de l'archipel, bravant les avertissement de maman et les recommandations de papa. Nous n'en avions que faire, car après tout nous passions notre dernière journée ici et nous ne les reverrions pas avant un bon moment. Ils ne pourraient nous punir, si ce n'était en nous enlevant notre avenir et il me semblait que cette idée n'irait jamais effleurer leurs esprits. Je m'agrippais solidement à ses deux cornes maxilliaires et m'allongeais le long de son dos écaillée, prenant appui entre deux excroissances calciques. Elle connaissait tout de moi et dès qu'elle sentit que je m'étais solidement arrimée, elle plongea à une vitesse fulgurante par deça la surface plate de la mer d'été. Nous avions déjà accompli cette danse sous-marine des centaines de fois, mais pourtant je sentais en ce jour une boule s'emparer de mon ventre et comprimer mes poumons : je réalisais que nos routines seraient désormais brisées et qu'une nouvelle vie nous attendrait. Plus jamais je ne pourrais plonger dans ces mêmes eaux en compagnie de Mjrn, insouciante des dangers qui guettent, tapis dans le monde qui m'entoure. Si j'avais hâte de rejoindre l'académie, je ne voulais pas quitter mon village, je m'y sentais si bien. Et puis, les remontrances quotidiennes de maman me manqueraient, une fois que j'aurais rejoint l'ambiance froide et sévère des dortoirs de Lindorm... Tandis que Mjrn me guidait le long des récifs, je fermais les yeux et versais quelques larmes, que l'océan avalait aussitôt et c'était tant mieux. Je ne souhaitais pas que quelqu'un remarque ma tristesse, parce que je ne désirais pas que l'on me propose de rester, car je l'aurai très certainement fait...

Et puis vint l'épreuve d'alliance, où le destin a décidé de nous faire envoyer sur le continent de Keven. Les deux premiers jours avaient pris l'allure d'une véritable ordalie. Nous ne connaissions rien à ce continent qui nous semblait en tout point hostile et ne cessions de nous faire courser par d'immenses créatures quadrupèdes qui n'avaient qu'une chose en tête : faire de nous leur casse-croûte. Je ne parlais pas non plus de la myriade d'insectes et de plantes tous aussi vénéneux les uns que les autres et qui possédaient des dards aussi aiguisés et crochus que la pointe de mon kris. Je me suis d'ailleurs faite piquer le second jour, m'obligeant à vivre pendant une semaine avec un œdème, qui me démangeait diaboliquement, sur le bras. D'ailleurs, Mjrn et moi étions sur le point d'abandonner l'épreuve et de renoncer durant un an à intégrer l'académie, malgré ce qu'aurait pu nous dire notre famille, mais il sembla que la providence nous tende les bras lorsque, alors que nous nous étions égaré dans une jungle à l'étendue laputienne, nous tombâmes sur un immense fleuve profond de quelques mètres. Bien que la population aquatique se voulait beaucoup plus sauvage et que notre visibilité soit réduite par la quantité de boue qui y circulait, Mjrn et moi nous sentions dans notre élément. Et si les premiers jours avaient été infernaux, les cinq jours qui suivirent furent beaucoup plus calme, même si je n'oserai affirmer qu'ils étaient de tout repos. J'ai par ailleurs failli me faire tuer au sixième jour, n'ayant pas vu durant ma toilette qu'une bête que la population locale nommait crocodile, et qui ressemblait d'ailleurs en beaucoup de points à un dragon miniature aplati, avait jeté son dévolu sur moi. Si Mjrn n'était pas revenu à cet instant de la pêche, je pense à juste titre que je n'aurais pas été à en mesure de vous conter cette histoire à l'heure actuelle. Après avoir poussé un grondement, elle planta ses pattes arrière dans la vase et prit appui dessus pour bondir sur la bête qui avait à présent la gueule grande ouverte, prête à m'arracher un membre d'un seul coup de mâchoire. Mes souvenirs sont trop embrouillés pour vous raconter ce qui s'est passé par la suite, mais je sais simplement que j'en étais venue à heurter un tronc tombé à l'eau et à me faire planter la cuisse par ce qu'il restait d'une branche au niveau de la cuisse. Mjrn s'était quant à elle faite mordre la patte droite par un troisième crocodile qui se trouvait dans l'eau à cet instant. Et ainsi, notre pacte de sang avait été scellé. Il ne restait désormais plus qu'une journée à tenir, avant de réussir cette épreuve. Nous avons donc décidé de rester au bord de ce point d'eau, désormais qu'il avait été nettoyé de ses habitants peu accueillants.



Et toi, oui toi, derrière l'écran


Prénom/surnomWarren| Ton âge21 | Que penses-tu du forum ?Le contexte est des plus riches et intéressant, sans omettre le fait qu'il soit bien écrit, ce qui donne envie de s'inscrire sur le forum. Quant au reste, je ne saurai encore me prononcer. | Tu es arrivé là comment ?Avec de la poudre de cheminette après qu'un ami m'en ait parlé. | Code règlementOK par Liam | C'est ton dernier mot Jean-Pierre ?Il me semble n'avoir aucune autre ineptie à formuler.
Revenir en haut Aller en bas
AnonymousInvité
Opaline Lynch Empty
Message Opaline Lynch I_icon_minitimeLun 14 Jan - 20:32

Bonjour et Bienvenue parmi nous

Ta fiche est validée Validé
Félicitations !

Pense à remplir tes champs de profil (sous ton avatar) et éventuellement ta feuille de personnage. Tu peux dès à présent aller demander des liens ici, créer ta fiche de topics ici, et ta boîte à lettres ici. Pense à les mettre à jour régulièrement.

En tant qu'étudiante, tu peux aller demander une chambre dans le dortoir approprié (pas de mixité :17: ).

Tu es vivement invité aussi dans le flood et les jeux, on ne mord pas et même qu'on est rigolos :23:

Merci encore de ton intérêt pour Lindorm et bon jeu parmi nous :95:
Revenir en haut Aller en bas
AnonymousInvité
Opaline Lynch Empty
Message Opaline Lynch I_icon_minitimeLun 14 Jan - 23:58

Merci beaucoup pour l'accueil! Tout a été modifié en conséquent.

Je vais me charger des autres formalités un peu plus tard.

Encore merci pour la validation!
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Opaline Lynch Empty
Message Opaline Lynch I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

Opaline Lynch

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lindorm :: La Taverne du Flood :: Le Grenier de Lindorm :: Les Archives de Fiches-