Je suis née sans nom et sans famille, dans un monde trop vaste et inconnu pour les yeux d'un nouveau né. Je fus recueilli et élevée, nourri et logé en échange de services, devenant esclave des autres, du temps et de moi-même. Je ne connaissais que les ordres teintés de belles paroles pour adoucir les mœurs mais jamais je ne connu de tendresse ou d'amour. Innocente et stérile enfant dans un monde de grand, de luxure et de vice; je n'y avais pas ma place et ne trouverai bonheur parmi ses fourbes riches et ses malotrus voyageurs.
Je grandissais et parcouraient le monde à la manière des rêveurs, piétinant de taverne en taverne avec les personnes qui constituaient ma famille devenu trop nombreuse à nourrir, je m'efforçais d travailler pour ne penser à rien, pour simplement continuer à survivre parmi la nature et les déserts. Fille nomade toujours sans nom et sans but.
Mais douze longues années à errer et à écouter à travers les terres, voguants parfois sur les océans pour étendre encore plus le commerce d'épice et d'herbe souvent illicite; douze années à apprendre à communiquer avec les terres reculées; dans quel but? Par plaisir et par besoin de dépasser les frontières, je me plongeai dans l'apprentissage des différentes langues que constituait le monde. Ce fut long et laborieux mais en un peu moins de trois ans je connaissais tous les thermes en rapport avec la communication simple et la vente; ce qui fit sourire grandement mes parents devenus mes patrons qui voyaient en moi une nouvelle ouverture à leurs commerce, franchissant désormais les barrières des peuples reculés.
Malheureusement j'observais toute la misère et les atrocités que le monde renfermait. C'est en Lostrego, à Prima que je fis la plus étonnante et la plus abominable des découvertes, l'esclavage, le détournement et surtout l'abus et l'enfermement. Ce fut la goutte en trop, l'horreur en plus dans mes visions de cauchemars et la fuite devenait ma meilleur et seule option mais la question restait à déterminer où aller et surtout comment ... Je dus patienter trois jours avant de trouver mes deux réponses simultanément. L'une devint une évidence quand je reçu une lettre d'un Roroa dont j'avais fait connaissance un an plus tôt. Et la deuxième tomba comme un cheveu libérateur dans une soupe infecte: un jeune dragon mal en point que je trouvai caché dans une ruelle, ruelle qui m'avait permis à moi aussi d'échapper à mes poursuivants dépendants de la marchandise devenu trop cher. Les bruits et le scintillement étrange m'avaient alertés de la présence de quelqu'un ou de quelque chose et en fouillant, car la curiosité l'emporta sur la peur, je me retrouvai nez à museau avec ce dragon aux écailles vert d'eau et à la forme si particulière. Il semblait affaiblie et malade...
Je détaillai comme un lapin en direction du marché et dépensai l'intégralité de la somme obtenu par le troc pour choisir viande et poisson avant de revenir auprès du malade qui semblait avoir fui... Déçu mais comprenant, je laissai mes achats à la place qu'il avait occupé, décidant de revenir le lendemain mais un espèce de jappement et une pression contre mon dos me firent sourire et m'arrêtèrent dans mon élan. Faisant volte face, j'observais le reptile blessé profiter de son diner, trouvant assise sur les caisses entassés pelé-mêle dans ce coin isolé. Je sombrai doucement dans mes songes et la fatigue tandis que les défilées sur le cadran de l'horloge de la ville et bientôt la nuit tomba en même temps que je m'endormis sur ses caisses de stockage, ressassant ma journée de labeur et de surprise.
Au lendemain, dès que les premières lueurs du pâle soleil filtrèrent a travers la ruelle, je m'éveillai encore songeuse et les yeux embués; je pensais tout de suite à mon retard sur mes ventes et livraisons et ensuite à mon rêve éveillé de la veille. Je voulu me lever mais je réalisai soudain qu'une chose vert d'eau au reflet lumineux et irisés m'entourait de ses ailes, de sa tête... Le dragon existait belle et bien et pour me tenir chaud, se blottissait contre moi; je m'étais endormi sans m'en rendre compte. Il était vraiment différent de tout ce qu'on pouvait lire dans les livres ou de ceux que j'avais croisé avec leur dragonnier. Assez petit et chétif, ses écailles ressemblait -de vue- plus à celle d'un poisson que d'un dragon, ensuite ses ailes très particulière et étrange; je lui effleurai le museau et me pris une legere décharge en émettant un petit bruit plaintif, ce qui réveilla ma couverture vivante et je vis des yeux rubis intense étonné. Il s'étira tel un chat et je vis une patte lacérée, une parti de son flan ensanglanté et sa queue cassée; je ne savais si il pouvait lire en moi mais le reptile se recroquevilla, cachant ainsi ses blessures...
Je filai en ville, retournai à l'auberge au on logeait avec 'la famille' mais mon absence et surtout la perte injustifié de l'argent me valurent un renvoi définitif; j'eu juste le temps de monte dans la chambre et de prendre ce qui m'appartenait, lettre, objets sans importance avant de quitter définitivement les lieux; passant au préalable par les cuisines où je pis un peu de pain et surtout de l'alcool et des torchons pour ensuite me carapater dans la ruelle du dragon à nouveau déserte. Mon ventre gargouillai, et pour mes oreilles le bruit devenait insoutenable...
-"chut!" Murmurais-je pour moi même et c'est ce moment précis que le reptile sortir de son répète.
-"Tu es revenu finalement humaine, n'as-tu pas peur de moi?"Je secouai la tête en négation.
-"Au contraire tu me fascine..."Après ce cours échange, je forçai le blessé à recevoir mes soins; et après quelque refus et grognement, je pus désinfecter les plaies et tenter un garrot pour sa queue. Le torchon ainsi noué ne tiendrait pas éternellement et je ne serait pas le meilleur des pansements mais il méritait d'exister...
Une semaine passa en compagnie du malade qui se remettait très vite de ses blessures, j'effectuai quelques vente mineurs pour obtenir de quoi le nourrir et me nourrir et bien entendu personne ne savait qu'un dragon séjournait à Prima.
-"Je te suis redevable demoiselle. Que veux tu que je fasse en échange?Sans réfléchir la réponse fusa:
"Emmène moi ailleurs, dans un endroit ou je pourrais être moi-même... Je veux un avenir..."Le reptile siffla entre ses crocs et fit le dos rond
-"Tu avais planifié cela au moment où tu m'as vu n'est ce pas...." Je fis les yeux étonnés
"Bien puisque c'est ce que tu souhaites, je fait t'emmener"En une fraction de seconde je me retrouvai agrippée par les épaules, les pieds dans le vide à contempler la ville depuis le ciel. Sensation grisante et désagréable que de sentir sa vie dépendre d'un dragon et qu'à tout moment je pouvais faire une chute vertigineuse pour l'écraser sur les toits ou au sol...
Il me conduisit dans une ville à l'écart, dans les montzgnes et non loin de la mer; et une fois mes pieds au sol il disparut, me laissant là sans autre indication. Je m'intégrai assez facilement parmi la population, aidant à droite à gauche de diverse manière; j'avais un toit, de quoi manger et des vêtements neufs. L'école d'Aoun -puisque c'est le nom de ma maison- m'accueilli en son sein et je pus me former à l'art de la défense et de l'attaque avec les autres Lostreg présent. Je me sentais vivante et libre de mes choix depuis douze ans. Un mois s'écoulait avant la première réapparition du dragon devenu doré par son rétablissement, je ne savais les raisons de sa visites à ce moment mais quelques temps après il m'affirma tenir à moi, 'simple petite humaine' et m'avait obtenu un prénom 'Ilea, enfant Espoir'. Je souriais à sa déclarations sans tellement comprendre mais j'avais un prénom bien à moi...
Je restai ainsi deux ans dans ce village Lostreg, à vivre simplement sans contrainte et sans complexe; j'avais obtenu la vie qui me correspondais et j'avais des personnes proches mais le vent tourna et je sentis que ma place n'était définitivement pas ici. Je pris congés de mes pairs, remerciant tout le monde, rassemblant mes affaires pour une nouvelle destinations : Narthan. Le voyage durant longtemps, trop à mon goût; je devais admettre que mon ami supporta mon poids durant les cibq semaines qui nous séparait du petit village portuaire. Quelques tempêtes éclatèrent et tandis que certaines nous ralentissez par la pluie et le vent, d'autre permirent à Blesk -puisque c'était son nom- de se téléporter d'éclair en éclair; astuce pratique à bien mémoriser. Enfin les terres sauvages étaient en vu et les habitant retissant au début finirent par accepter ma présence non dangereuse.
Je retrouvai mon ami sur place, celui-là même qui m'écrivit depuis notre rencontre quatre ans avant, lors d'un dépôt de marchandises. Cela me fit étrange et paradoxalement un soulagement de trouver refuge dans un endroit que je connaissait à peu près; au moins je ne serais plus seule et j'avais une véritable place ici. Les habitants m'apprirent leurs coutumes, leur langue que je perfectionnai et je leur racontais l'extérieur, l'étendue des océans,les paysage et les dragons. Les enfants s'émerveillaient des histoires et les parents profitaient... Je leur apprenait le Seam et ils m'apprirent la dextérité avec une arme. Ma différence et mon manque d'expérience à la pêche ou la chasse me valurent un jolie surnom 'blanche colombe'. Je n'étais absolument pas faites pour les armes mortels ni pour la guerre, cependant dans leurs élan je me forçai au bâton. Combiné au savoir d'Aoun, je devint vite une adepte de cette allonge du corps...
Apres huit ans auprès des Aodvapara-Te-Umaga, j 'étais devenu experte au maniement de la lance, mais pas assez pour espérer battre les guerriers du village ni même mon reptile en joute amicale. Apres tant de complicité, Blesk et moi passions de simple 'je te suis redevable' à 'j'ai besoin de toi' lui parce que j'étais l'Espoir qu'il attendait depuis longtemps et moi parce qu'il était ma Luciole me guidant dans les ténèbres de ma vie. Il connaissait tout de mon passé et m'avait affirmé avoir une solution pour que j'aille de l'avant mais j'attendais encore que mon cher Blesk me le dise....
Je ressentis le malaise qui grandissait entre les Roroas jusqu'au porte du village pourtant en paix, la prise des terres par les Narth me dépitais et je savais que rien n'y changerai mais entre déclarer la guerre à une nation étalée sur plusieurs pays et décimer les survivant Roroa la différence était nettement importante et les victimes beaucoup trop nombreuses... Je savais que ma place serait ailleurs, ma solution se trouvait loin de Narthan, loin des Aodvapara-Te-Umaga mais malgré tout je comptais les aider du mieux possible; je me battrais avec les mots pour défendre leurs convictions et leurs terres; ce serait la moindre des choses après tout ce qu'ils m'apprirent...
Après deux mois de réflexion, je décidais de quitter les terres qui m'avaient formé, éduqué, vu grandir pour suivre les lubie de mon dragon qui s'impatientait de plus en plus depuis ma décision de départ... Voyager libre et heureuse à la découverte des terres inconnus, je voulu respecter la loi de Limlug et passer l'alliance -sans réellement en comprendre le concept- afin d'être uni à mon cher dragon mais en discutant avec lui, je sus exactement ce qu'était l'alliance et en dépit de mon insistance, le réponse fut catégorique:
-"Tu ne réussiras pas, tu n'es pas prête pour ça!"Je soupirai, [color:ebfe=00cc66]-"Alors je devrais simplement t'oublier? Te laisser partir après tout ce qu'on a vécu??
-"Je t'ai déjà dit que j'avais une solution, des que tu es prête je t'emmène... Quelques jours passèrent avant que je ne quitte définitivement le village si accueillant en bord de mer; mes affaires bien empaquetés et la lance que j'avais reçu à la fin de mon apprentissage bien scellée sur le dos de ma 'Luciole' qui m'emmenait vers une destination inconnu. Je le questionnai du regard mais il ne me répondit par la pensée qu'une fois en vol:
**Je vais te guider vers ton rêve Princesse, tu vas parcourir le monde aussi libre et vivante que moi**C'est ainsi que nous partîmes durant un an de terre en terre, d'îles en îles sur la quête de l'apprentissage et du savoir, de l'observation et de la découverte et de la culture et du dépaysement. Nous vivions simplement, dépendant l'un de l'autre; trouvant le nécessaire dans notre environnement : chasse, pêche... jusqu'au jour où nous survolâmes à nouveau Narthan. Je forçai Blesk à se poser non loin d'un village san les terres désertiques. Une fois au sol je m'avançais vers les habitants qui réagirent plutôt mal en me voyant, je ne réalisai que trop tard qu'il s'agissait d'un des peuples voulant déclarer la guerre aux Pakehas. Blesk se rua comme une furie pour se jeter sur les guerriers à la peau sombre, mais je m'interposai afin que nul ne blesse l'autre mais je reçu l'arme de mon ennemi dans l'abdomen tandis que les crocs du dragon se refermèrent sur mon bras gauche. Je n'eus même pas le réflexe de hurler, je sentais le sang couler et la vie m'échapper; fixant une dernière fois l'homme au regard sombre empli de haine avant de m'écrouler, rattrapé de justesse par mon dragon avant le néant...
Je me réveillai cinq semaines plus tard à Keven, près des chutes de Nerii; mes blessures soignées dont il ne restait qu'une infime marque, cicatrice qui me rappellerai ce jour tragique... Je mis un pied dehors et fus étonné par le changement d'environnement; perdre connaissance en Narthan et se réveiller ici fut déstabilisant surtout par rapport au climat qui y régnait, m'indiquant à peu près la douce saison automnale. Je ne vis pas trace de mon ami, ni même d'activité dans les environs aussi je cherchais mon sac afin de me poser dans un coin tranquille pour lire... Cela faisait bien trop longtemps que je pensais plus à me détendre alors je profitai du silence naturel pour plonger dans ma lecture, mais je sentis quelque chose en mouvement derrière moi et à peine je me retournai que Blesk vint à ma hauteur pour un tendre câlin, ses écailles était redevenu verte d'eau signe de fatigue et d'inquiétude pour moi...
-"Merci... Tout va bien maintenant, je vais bien..." Il me serra un peu plus et je pus entendre pour la première fois son cœur battre
"Je te suivrait où que tu ailles Luciole, je te serai redevable à vie pour le périple que tu as subis..."Je le sentis se détacher puis il me fixa de ses yeux rubis:
-"Alors en route pour trouver rejoindre les Wyrms Il' , nous pourront être ensemble..."En route pour Terreclair, endroit le plus proche pour retrouver les Wyrms sans conviction qu'ils nous acceptent, je ne connaissaient pas ces dragonniers à part de ce qu'on en disait et je doutait que l'on puisse s'intégrer ainsi dans leur habitude... Le vol duralongtemps, survolant des zones inconnues, évitant une tempête qui nous obligea à poser pieds et pattes au sol, allongea notre parcours de deux jours. Au dessus de la Dorsale Nord, non loin de Noiroc, je sentis mon ami tendu et sans cesse en alerte et je compris enfin quand on croisa la route d'un dragon de poison, rare mais dangereux, qui nous confondit avec son gibier habituel. Après quelques heures de lutte, le reptile ennemi prit la fuite, nous laissant épuisé et blessés; Blesk avait des traces de morsures et de griffures bénignes et moi je ne sentant plus mon avant bras droit, hors j'étais droitière. Pris de panique mon ami fit route vers le port Wyrm le plus proche, après nombreuses explications et deux semaines je récupérai l'usage réduit de mon membre marqué par de nombreuses crevasses -identique au sol d'un désert chaud et sec- gravant à jamais cette rencontre malheureuse. Depuis je garde caché sous bandage et sous vêtement cet avant bras victime d'une erreur de parcours.
Quelques temps après la division des factions, j'ai décidé d'oeuvrer pour les aider en retour; ayant une bonne connaissance des différents languages et voulant être utile je décidai d'être Embassadrice Isolationniste afin de suivre mes convictions et de défendre les droits des personnes qui constituent ma nouvelle famille et à cette même période, afin que je ne sois plus blessé par sa faute, Blesk mêla son sang au mien; je découvris mon don extraordinairement offenssif qui résulte de mon sang-dragon et je pouvais enfin voir et ressentir mon ami par la pensée partagée. Nous étions lié par l'âme... Mon coeur lié au ciel, mon âme à mon dragon et ma vie à ma famille...
Et Vous ?
✘ Pseudo Internet : Amani principalement
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Surprise ;p
✘ Le Code : Validé.
Nom de votre Dragon
"Le courage est un éclair; l'amitié une tempète"✘ Nom : Blesk
✘ Surnom : Luciole et Etoile (très rare).
✘ Âge : 500 ans
✘ Type : Foudre
✘ Don qu'il vous a légué : Fulmine (création d'une ou de plusieurs sphères chargées d'électricité, produisant électricité statique et contenant un voltage concentré de 1700 volt. Les sphères peuvent être immobiles ou actives au grès de la pensée d'Ilea et le diamètre varier entre 7 centimètre et 5 m de diamètre selon la contenance du sol en sillice. Plus le diamètre est imposant moins la sphère sera stable en temps (de 5 secondes à 2 minutes) et moins Ilea pourra en produire. Moyenne de 20 sphères par jour d'environ 60 centimètre, tenue environ 1 minutes. Pouvoir inutilisable ou trop dangereux prés d'une source d'eau, sur un sol gelé ou en l'absence de poussière de sillice.)
✘ Nation d'origine : Lostrego
Sa Description
Il doit faire dans les 2m ou peut-être 2m50 grand maximum, son poids doit avoisinner les 195 kilo seulement. Il a des écailles brunes tirant sur l'or aux reflets verts d'eau, en parfait accord avec mes yeux, qui deviennenet totalement translucide quand Bresk est blessé ou malade. Ses ailes constituées de multiples fanions ainsi que des sortes d'oreilles, un plumeau à la queue et des pic dorsale de couleur identique.
Il a un caractère très trempé mais surtout obtiendra tout ce qu'il veut de gré ou de force, c'est dans ses convictions et sa nature d'avoir ce qu'il veut tout de suite et maintenant. Cependant, il ne ferait jamais de mal à ceux qui me sont cher et précieux, il ira même jusqu'à les protéger et les couver. Attention tout de même, il est assez possessif avec moi et risque de devenir électrisant en cas de menace... Comme par le passé...
Bresk tolère les autres dragons alliés mais reste en retrait le plus possible, ne voulant pas se mêler des affaires qui ne le concerne pas. Il est très instruit et impliqué dans le projet des Isolationnistes pour aquérir un pied d'égalité avec les dragonnier reconnu par Limlug. Ce n'est par choix mais par conviction qu'il décida de se lier définitivement à moi et aussi pour me donner un moyen de me protéger après la catastrophe que j'ai enduré.
C'est depuis ce jour qu'il est surprotecteur, de peur que je ne sois blessé à nouveau par sa faute, il me doit la vie et fera tout pour honorer sa promesse de me rendre heureuse et m'assurer un avenir radieux; en échange de quoi je lui assure un espoir pour les Wyrms et pour lui-même.
On s'est rencontré à Prima, Blesk étant blessé et moi étant intrigué et voyant une porte de sortie à ma vie inexistante, je l'aidai du mieux possible en apportant nourriture et de quoi le soigner en échange de quoi il me conduit à Aoun où je pus enfin exister. Il me trouva mon Prénom et je pus grandir comme tout le monde, apprenant l'art des arme et continuant mon apprentissage des langues de notre monde.
Après quelque temps à errer sur les territoire, il me conduisit auprès des Wyrms afin que je sois soignée et que l 'on soit toujours ensemble; c'est là que notre nouvelle vie commença...