✘ Nom :Cainworth
✘ Prénom :Christopher
✘ Surnom : Chris ou Cliff par mon dragon
✘ Âge :29 ans
✘ Groupe :Personnel de Lindorm : Professeur
✘ Nation d'origine :Watherfield
✘ Métier : Professeur de dialectes et d'idiomes
✘ Arme :Une épée longue

Vraiment ? Vous souhaitez que je me décrive ? Seriez vous simplement intrigués ou est ce la curiosité mal placée à mon égard ? Quoi qu'il en soit, je m'exécute. Commençons d'abord par mon physique : je ne sors pas vraiment de l'ordinaire dans le sens où ma taille est légèrement plus grande que la moyenne de mes collègues masculins. Si l'on dit de moi que je suis quelqu'un de fort, ce n'est pas une qualité physique car je ne suis que finement musclé. Je possède de courts et toujours bien soignés, cheveux couleur noir corbeau, qui s'accordent bien avec la couleur de mes yeux qui est également noir même si, depuis quelques temps, cette couleur change pour passer au rouge à cause d'une bien étrange maladie que j'ai contracté et qui, petit à petit, m'empêche d'avoir une vision précise. Cette maladie touche aussi ma peau, la rendant un peu plus pâle que la normale. C'est d'ailleurs pour cela que je porte des lunettes qui, je dois vous l'avouer, me gênais au départ mais je dirais ensuite qu'avec l'habitude, j'ai finis par ne plus ressentir de l'embarras.
Question habillement à présent et bien... Je pourrais dire que j'ai un style particulier. Toujours soigné, je fais en sorte d'aller au travail avec un élégant costume cravate noir, sur une chemise blanche. Le style se rapprocherait presque plus de celui d'un majordome que celui d'un professeur mais après tout ces deux métiers ne se rapprocheraient ils pas entre eux ? Un professeur ne doit il pas se mettre au service de ses étudiants comme un majordome au service de son maître ? Cependant, il m'arrive de mettre des vêtements plus simples dans lesquels je suis plus à l'aise, surtout le soir quand je corrige tranquillement mes copies ou que je me prépare pour mes cours suivants.

Pour ce qui est de mon caractère maintenant, cela pourrait être simple malheureusement les êtres humains ont le chic pour compliquer leur existence. On dit souvent que nos caractères changent mais je ne suis pas sûr que cela soit vrai pour ma part. J'ai toujours préféré rester seul tout simplement parce que je n'arrivais pas à nouer le contact avec qui que ce soit. Heureusement,tout cela a un peu changé. Maintenant, en tant que professeur, j'essaie de me montrer plus responsable même s'il m'arrive de faire quelques erreurs mais ne dit on pas que l'erreur est humaine ? Je pense ne pas être très sévère envers les étudiants parce que j'essaie de leur inculquer la maîtrise des idiomes et des dialectes sans vouloir qu'ils échouent. Après, si je devais me décrire comme pédagogique... Je ne sais pas peut être oui parce qu'il m'arrive aussi d'écrire des lettres à ceux qui me demandent des conseils pour les cours.
Pourtant, il m'arrive d'avoir des moments dans lesquels je suis absent dans le sens où je suis totalement plongé dans mes pensées au point où j'oublie tout ce qui m'entoure et m'enferme dans une sorte de cage dans laquelle je suis le seul – avec mon dragon – à avoir la clé et, lorsque je suis dans cet état là, ceux qui me cotoyent ont l'impression d'avoir a faire à une autre personne. La vérité est que je suis quelqu'un de constamment effrayé par l'étrange maladie qui me ronge. Paradoxalement, lorsqu'on s'intéresse à moi, j'essaie de nouer le contact le plus longtemps possible.

Depuis quand remontent mes souvenirs ? Je vais essayer de m'en rappeler mais je ne vous promet rien malheureusement.
Je me souviens donc être originaire de Waterfield, agréable territoire de pêcheurs et de commerçants. D'ailleurs, mes parents étaient commerçants pour tout dire et je n'avais pas une enfance qu'on pouvait appeler malheureuse même si je suis né avec une vision faible et une très possible probabilité d'être aveugle rapidement.
Lorsque j'avais cinq ans, mes parents ont remarqués la couleur anormale de mes yeux et ils s'en inquiétèrent. Malheureusement, ils ne purent agir tout de suite dans le sens où nous étions une famille modeste et nous n'avions pas assez d'argent pour m'acheter un remède efficace.
A part ça, mes parents disaient de moi que j'étais un enfant souriant et, lorsqu'ils parlaient du fait que je pouvais reprendre le commerce familial à Waterfield, je me souviens avoir été heureux. A l'âge de treize ans donc, j'accompagnais mes parents sur les routes, jusqu'à Aeria, le territoire des dragons d'air car ils avaient à faire commerce là bas.
Cependant, lorsque nous fûmes arrivés, je ne sais pas pourquoi mais je perdis la trace de mes parents en Aéria. J'avais peur et je ne connaissais rien de l'endroit dans lequel j'étais lorsque j'entendis une voix qui semblait venir de nul part :

« Serait ce toi, Cliff ? »

Je tournais la tête en direction de la voix et j'aperçus un espèce de long serpent – pas tellement grand – qui semblait voler dans les airs. J'eus le réflexe de crier de frayeur mais aussitôt je sentis une brise délicate me caresser la joue un peu comme la caresse de la main de ma mère pour me rassurer.
J'arrêtais donc de pleurer et regardais le dragon d'air qui se présenta : Aramando. Quelques instants de silence plus tard, il reprit la parole :

« Je t'ai enfin trouvé. Depuis le temps que je recherche un humain avec lequel me lier... »
« Mais je... Excusez moi mais... Je ne m'appelle pas Cliff... »
« Ferme donc les yeux et ressens le pouvoir du vent »

Apparemment, ce dragon aérien était persuadé que je m'appelais Cliff et malgré mes tentatives de lui faire reconnaître mon vrai nom « Christopher » je n'y arrivais pas. Soupirant, à treize ans on était toujours curieux donc je fermais les yeux. Aussitôt, je pouvais ressentir les mouvements du vent tout autour de moi qui se faisait étrangement saccadé.
Je ressentais également comme un début de tempête et j'eus peur. Je commençais donc à paniquer mais Mikaze tenta de me calmer :

« Tu es en possession du « Don d'Eole » qui te permet, pendant un temps, de pouvoir maîtriser le vent qui agira en fonction de ton humeur. Je suis conscient que cela puisse être effrayant mais essaie de te calmer, tu verras que, aussitôt, ce début de tempête se transformera en douce brise »

La maîtrise du vent, pour quelqu'un comme moi ? Suivant alors les conseils de Mikaze je forçais mon corps à se calmer et, en effet, quelques instants plus tard, la tempête qui allait commencer se transforma en une douce brise inoffensive. Depuis lors, tout s'accéléra : mes parents réussirent leur commerce en Aeria et eurent assez d'argent pour m'acheter des lunettes pour préserver ma faible vision. Puis, vint le moment de mon entrée à l'académie Lindorm, en tant qu'étudiant Ventus.
Pendant ces années et grâce aux professeurs également, j'ai appris à maîtriser le « Don d'Eole » même s'il y eut un jour, quelque chose qui s'est brisé en moi. Je connaissais un de mes camarades qui était étudiant Fulgure et avec lequel j'avais des liens d'amitiés qui ont augmentés avec le temps. Cependant, cette situation fut tellement insupportable pour lui qu'il se suicida.
Il avait laissé un mot dans lequel il s'excusait mais je me rendis aussitôt coupable de sa mort, tellement coupable que lorsque je fermais les yeux, j'avais une telle envie de mourir que le vent se déchaîna contre moi au point de m'affliger de graves blessures qui m'envoyèrent à l'infirmerie :

« Monsieur Cainworth, nous avons été obligés de vous mener à l'infirmerie »
« Je... Que s'est il... Passé ?... »
« Ton don s'est déchaîné Cliff... Tu avais totalement perdu toute maîtrise et le vent allait t'engloutir »

A partir de cet épisode, je fus un étudiant morose, assistant au cours même si je n'avais aucun intérêt d'y aller. Heureusement, un professeur me redonna confiance : il s'agissait de mon professeur de dialectes et d'idiomes. Petit à petit, il me fis oublier ce triste épisode et je pus reprendre les cours avec plus d'envie.
Aramando en était également heureux si bien qu'il m'assistais dans mes devoirs lorsque je ne comprenais pas. Il essayait de me donner des conseils et ce fut notamment grâce à ses efforts et à ceux de ce professeur que je réussis à être diplômé de Lindorm. Quelques années après j'eus une discussion avec Aramando qui commença, une fois notre retour à Watherfield :

« Pourquoi ne pas retourner à Lindorm pour enseigner ? »
« Mais j'ai promis à mes parents de reprendre le commerce familial... »
« Cela n'empêche pas. Tu peux toujours revenir les weekend lorsque tu n'enseigneras pas, non ? Cela rendrait fier ton ancien professeur »

Ce ne fut qu'il y a deux ans, lors de mes 27 ans, que je décidais de postuler à l'académie en tant que professeur d'idiomes et de dialectes. Cela fait maintenant deux ans que je suis un jeune enseignant avec un « vieux » dragon qui s'amuse toujours autant à jouer les gamins

✘ Pseudo Internet : Yumi
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? DC de Baal Sebak
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom :Aramando
✘ Surnom :Ara quelques fois
✘ Âge : environ 300 ans
✘ Type : Dragon d'Air
✘ Don qu'il vous a légué : le don d'Eole, don me permettant de pouvoir contrôler le vent, à chaque fois que je ferme les yeux et que j'imagine la situation. Cela peut se traduire par une petite brise ou une grande bourrasque selon mon humeur. Ce don s'arrête lorsque j'ouvre les yeux
✘ Nation d'origine : Aeria

Bonjour les amis, moi c'est Aramando !
Je viens de la contrée d'Aeria et je suis un dragon plutôt imposant dans le sens où l'on me voit de loin. Souvent même, Cliff - ou Christopher comme vous préférez - adore voler sur mon dos car il est vrai que la sensation du vent, lorsqu'on est dans les airs et quelque chose d'extraordinaire. Je ne possède pas d'ailes, puisque je suis ce qu'on peut appeler un "dragon oriental" mais j'arrive tout de même à voler, en ondulant avec mon corps reptilien, en me servant du vent.
Question caractère à présent, j'essaie d'être un dragon sage mais il arrive, souvent pour aider Cliff même si généralement cela ne se passe pas aussi bien, d'être un peu plus dynamique concernant ses cours, même si celui ci ne voit pas ça d'un très bon oeil sachant que je met le bazar à chaque fois mais... Sans faire exprès je tiens à le préciser ! Quoi qu'il en soit, je ne suis pas un mauvais dragon et je veille sur mon humain, même lorsque celui ci ne me voit pas.
Concernant mon attitude envers les autres ? Et bien, généralement, je suis un dragon qui aime aller vers les autres contrairement à Cliff qui est trop souvent ailleurs selon moi parce qu'il est effrayé par la « maladie » qui résulte de l'utilisation trop importante de son don alors, souvent les soirs de pleine lune, il m'arrive de chanter pour lui, pour le rassurer et, quelques fois, il arrive qu'il m'accompagne au piano car oui, derrière ce personnage solitaire se cache un pianiste inavoué.
J'ai rencontré pour la première fois Cliff lorsque celui ci avait 13 lorsque cet enfant humain était passé par Aeria avec ses parents. Enfin parce que ça faisait pas mal de temps que je cherchais un humain avec qui me lier
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