✘ Nom : Sebak. « Celui qui règne sur la Terre ». Un nom de famille pompeux, non ?
✘ Prénom : Kamuzu. « Celui qui vit dans deux éléments »…Je me demande encore ce que mes parents ont fumé en me nommant, je vous rassure.
✘ Surnom : Mes proches me nomment « Kamu ». D’autre se contente de m’appeler « Doc’ » ou encore « L’Empoisonneur »…Cela dépend ce qu’on attend de moi, tout simplement.
✘ Âge : Je n’ai que 29 années vous savez. Je suis né en douce saison estivale…
✘ Groupe : Wyrm. Plus précisément, j’appartiens aux progressistes. Les isolationnistes sont bien trop idéalistes à mes yeux. Et les ailes sont des crétins dominés par leur Dragon. Navré mais, j’estime être celui qui dirige dans mon « couple » avec Apopis. Je ne finirais pas comme ces fous draconiques…
✘ Nation d'origine : Je suis originaire de l’ancienne Khi’saab. Pardon ? Mes origines saabi vous dérangent ? Vous pouvez aller crever, vous savez, je ne vais pas m’en émouvoir.
✘ Métier : En cas de pépain je peux en venir aux armes. Je sais quand même me battre hein…Mais, même si je suis relié à l’armée Wyrm, je suis surtout le Médecin des troupes. Bon, je m’occupe aussi de quelques civils…Mais c’est surtout des soldats Wyrms dont je me charge. Les garder en forme en termes de corps, mais aussi d’esprit. Misère…je ne suis pas assez bien payé pour ce job pourri. Suffit de voir l’état du précédent Chef, enfin général. Ils se mettent tous dans de tels états. Les fous…
✘ Arme : Je manie l’épée courbe. Vous savez, ce sabre purement saabi. Bah, c’est la seule arme en dehors d’un scalpel que je sais manier sans danger. Quoique, je suis redoutable au lancé de Apopis. Mais je ne sais pas si cela compte comme une arme…

Pardon ? Ce que l’on dit de moi ? Je ne suis pas certain que vous voulez le savoir. Non car bon, si vous devez ensuite passer dans mon cabinet pour des soins…je crois que vous ne vous sentiriez pas à l’aise. D’accord, je conçois que c’est peu engageant. Mais bon, tout le monde sait que j’ai un dragon miniature qui empoissonne tous ce qu’il lèche ou ce sur quoi il salive. Alors, forcément déjà, ça ne met pas en confiance. Un empoisonneur en toubib, vous m’excusez, j’ai déjà la pire des étiquettes. Mais j’avoue faire une redoutable consommation du narguilé. C’est dangereux et toxique ? Euh…je triche, ok ?

Je ne suis pas un sale type, enfin, pas plus que ça. Je dis ce que je pense, quand je le pense. Je ne réfléchis pas à ce qui ne doit pas être dit, et je n’enrobe que rarement. Bon, même si je manque de délicatesse, je ne vais pas non plus envoyer à la mort un suicidaire hein ! Je ne suis pas un connard, excepté avec mon dragon !
Je ne sais pas quant il faut mentir, ou faire des semi-vérités. Je ne cherche pas à me compliquer la vie. J’ai un truc à dire, je le dis. Ni plus, ni moins. Quitte à me prendre un poing dans la gueule. Bah, j’ai un beau visage alors…je peux bien accepter qu’on me casse une ou deux fois le nez, pour me faire redescendre dans un standard normal de beauté.

Ok, j’ai une haute estime de mon corps. Je le préserve aussi avec nombre de crème et tout. Je suis peut-être pire qu’une femme sur le sujet. Mais je n’aime pas me voir vieillir. J’ai peur des rides. C’est con, je sais, mais vous pouvez bien vous la fermer ok !
Je fais du sport pour entretenir un bon corps, et pouvoir dire « un esprit sain dans un corps sain ». Ouais car bon, si je me retrouve à user du « faites ce que je dis, pas ce que je fais »…je vais me sentir con moi.

Vous l’avez compris, je ne suis pas un homme compliqué. Un peu tordu et parfois un peu radical ou violent…mais sans plus. Y’a pas eu mort d’hommes jusqu’ici. Et je n’ai pas encore réussi à tuer Ap', même quand je l’ai presque noyé. Non, je suis juste un type normal. Un docteur simple, vraiment.
Bon, avec la peau mate, les yeux dorés envoûtant, la musculature travaillée…Oh et, vous n’allez pas rire, hein ? Ok…sachez que je ne suis pas imberbe, et bien de naissance, comme certains éphèbes.

Je hais les poils autant que les rides alors bon…Je fais une importante consommation de cire froide pour éradiquer tout ça. Vous n’imaginez pas ma souplesse pour atteindre certaines zones ! Ok, Ap’ m’aide de temps en temps…mais c’est un sauvage avec la cire ce dragon.
Enfin voilà, je prends soin de mon physique. Je ne suis pas né « beau », mais je travaille à le rester ! Et qu’on me trouve superficiel, en plus d’une franchise écœurante, et bien : ça me convient ! Tout le monde à ses péchés mignons zut !

Avant de commencer à vous parler de moi, permettez que je vous parle de « l’illustre » famille Sebak. Bon, malgré le nom pompeux de ma famille, sachez que non elle n’a pas de lien avec un glorieux passé de roi. Par contre, je mentirais en disant qu’elle est loin d’avoir le moindre lien avec une quelconque forme de « royauté ». La famille Sebak est, depuis prés d’une quinzaine de génération, une lignée de talentueux médecins. Le premier des Sebak étaient un guérisseur qui entra dans les bonnes grâces du sultanat de l’époque. Depuis lors, personne n’a jamais remis en considération le don médical de notre lignage. Des rumeurs veulent que le premier Sebak fût un dragonnier…mais rien n’a jamais été vérifié.

En tout cas, c’est dans une telle famille que je suis né. Fils aîné, je fus formé depuis le plus jeune âge aux mélanges de plantes permettant de soigner, au fonctionnement du corps humain, à la compréhension des troubles pour analyser des maladies ou des empoissonnements…et aussi, à tout ce qui était couture et « rafistolage ».

J’avais dix ans lorsque le destin se mit en marche pour moi. Prometteur, j’accompagnais parfois mon père au Palais, étant son apprenti. Mais la majorité du temps, je le passais dans des papyrus manuscrits transmis dans la famille depuis toujours. Nous habitions, pour le gros du « Clan », dans une oasis à moins d’une journée de chameau de la capitale Khi’Saab. Et c’est lorsque l’oasis commença étrangement à dépérir et son eau à rendre malade les gens que la panique s’empara du clan. Que je scellais définitivement mon destin.

Je m’inquiétais de la cause soudaine de cet empoissonnement. Certains pensaient que nous avions offensé un dieu de la nature, ou un esprit, et qu’il fallait lui offrir des sacrifices pour le calmer et rendre sa splendeur à l’oasis. Et puis, ce poison avait coûté la vie à plusieurs de la famille, combien même était-ce des personnes des branches secondaires. Le prestige de notre nom ne devait être souillé avec un poison que nous ne pouvions déterminer et soigner ! Il en allait de la fierté familiale : la fierté que je partageais de part mon jeune âge. J’étais vraiment un docile mouton bordel.
C’est ainsi que je l’ai trouvé…Ricanant, et fier de se repaitre des chèvres sacrifiées par les habitants de l’oasis. Cette minuscule petite chose de 25cm du museau au bout de la queue. Ce sale petit lézard, ce dragon de poche, c’était la cause de tous nos maux !

Je devais être un véritable inconscient, car je l’avais attrapé par la peau du cou et mis à hauteur de mon visage. Mes yeux brûlant de colère alors que je lui disais qu’il ne manquait pas de toupet, et que s’il avait eu si faim, il n’aurait eu qu’à demander ou chasser ! Je crois qu’il fut pantois, aujourd’hui, il m’aurait simplement empoissonné pour lui avoir tenu tête. D’ailleurs, je me demande s’il ne regrette pas son choix de cet instant…
Le dragon eut un éclat étrange dans le regard, et me demanda mon nom…Tout en utilisant une phrase pompeuse dont j’ai souvenir :

« Moi, Apopis, accepte d’offrir à l’humain Kamuzu Sebak le prestigieux honneur de devenir mon allié. Qu’il en soit ainsi ! »

Non mais vraiment, il ne pète pas plus haut que son cul celui-là ! A l’époque, on ignorait l’existence des essences secondaires, comme lui. Car Apopis est un fichu poison. Littéralement.
De ce jour, il ne me quitta pas d’une seule semelle. S’amusant à faire peur à mon entourage, en empoissonnant la nourriture de leurs animaux de compagnie, ou en les menaçant de les empoisonner eux. C’était un animal intenable, demandant à être traité en grand seigneur. Le comble ? Si je l’envoyais paitre, la famille Sebak s’exécutait comblant ses désirs et volonté. Car il était le premier dragon à vouloir se lier à un Sebak ! Enfin, en dehors de notre ancêtre supposait mais comme c’est une légende…j’étais le premier véritable.
Avec le temps, je compris qu’Apopis essayait habilement de me manipuler. De faire de moi son « esclave » ou encore son « serviteur ». Et cela m’énervait clairement. Mais, en même temps, je m’étais attaché à cette boule d’écaille. Et à l’âge de seize ans, je tentais l’épreuve d’alliance. Voulant faire honneur à la famille. Stupidité que d’avoir crut en Apopis !

Notre première épreuve, il s’échappa et alla se planquer dans un trou pour piquer un somme…Ceci, durant les sept jours. Je me suis démerdé seul, j’ai survécut indemne comme si j’avais seulement campé. Un échec : total.
Mais n’ayant rien subit, je retentais une autre épreuve, à peine six mois plus tard. Et là, un désastre, pire que le premier. J’étais acculé par des loups, sur les terres d’une forêt d’une île de Waterfield. Et Apopis se tenait sur une branche d’arbre, se marrant et se bidonnant alors que j’étais en danger de mort ! Je fus mordu et griffé, rien de profonds…mais des tiers sont intervenus pour me sauver. Mon second échec…il fallut un an avant que mon corps s’en remette.

Durant cette année, je dû subir les critiques de la famille. On vint à me faire étudier toujours plus, comme si c’était de ma faute. Apopis, lui, me regardait d’un air narquois. Il essayait de me faire céder, que j’arrête d’avoir ma personnalité pour faire comme il le voulait. Mais dommage pour lui, si je suis un homme normal, mon esprit est robuste lui !
En tout cas, il me fut interdit d’accompagner mon parent durant toute mon année de convalescence. Je ne pus donc mettre un orteil au palais. Et j’ignorais alors que ma visite avec mon père, avant ma seconde épreuve, été ma dernière.
Car j’avais 17 ans, et qu’on m’obligea à retenter l’alliance. Je ne le voulais pas, je sentais qu’Apopis ne voulait pas faire cette épreuve. Comme s’il attendait autre chose de moi, en me déclamant comme son allié. Et quand je ratais, une troisième fois, car il était resté dans ma poche…je compris ce qu’il avait toujours voulu.

Son éclat dans le regard, sa gueule s’ourlant d’un semblant de sourire satisfait…je compris qu’Apopis n’avait jamais voulu que d’une alliance irrégulière. Et je me retrouvais là, à devoir faire un choix. Ne plus jamais revoir Apopis, et vivre avec ma famille me regardant de haut pour avoir salit notre nom avec un « faux espoir ». Pour m’être ridiculiser et fait arnaquer par un dragon arriviste. Ou alors, suivre Apopis et devenir son allié : envers et contre toutes les lois.
J’ai finalement choisit de partir, de le suivre. Pourquoi ? Car dans un choix comme dans l’autre, je devenais un paria de ma famille. J’étais un renié. La honte que j’ai apportée étant suffisante par mon simple échec, le fait de devenir un hors-la-loi, cela ferait que je deviendrai un nom oublié, perdu, effacé de l’histoire. Plutôt que de vivre avec le souvenir constant de mon échec renvoyé au visage, sous le regard de mépris…et avec l’interdit de pratiquer ce que j’ai durement appris.

Quittant les terres où j’ai grandit, je suivais les indications de cette minuscule chose. Je l’ai suivit, me suis lié à lui volontairement comme il le désirait depuis le commencement…et j’ai été trouvé par les Wyrms. Rejoignant leur campement, j’y mis mes services à disposition. Apprenant à contrôler mon don…tenant tête à Apopis qui essayait de s’insinuer dans mon esprit, d’embrouiller mon cerveau, de m’assujettir à travers le lien. Il ne pensait pas que je résisterai, ni que je serais celui à l’esprit le plus dominant entre lui et moi. Car je me suis clairement placé comme le « Maître » dans notre relation.
Apopis n’est que mon lézard de compagnie, et accessoirement, l’origine de mon don. Et, de temps en temps, un ami ou allié. Mais ça, c’est rare. Même si je sais que j’ai gagné son respect…En lui résistant, et en continuant.

Cela faisait une bonne année que j’étais arrivé, ayant fêté mes 18 ans dans cette nouvelle famille, et je découvrais des gens. Philip Sratton et Douglas McCallan, par exemple, éléments prometteurs de ma génération. Puis, l’arrivé de Kais. Il était en sang, avec une large plaie en forme de croix sur le torse. J’aidais le médecin du camp dans cette intervention…Et surtout, je reconnaissais un jeune du palais de la Khi’Saab. Il était l’apprenti du Chef de la Garde, et un bâtard du Sultan.
Son état était lamentable…Et sans mon don, sa plaie se serait infecté et la mort l’aurait probablement emporté. Lorsqu’il se réveilla enfin, son corps affaiblit fit que nous le forcions à une convalescence. M’occupant de lui, je l’aidais dans sa rééducation. Et je m’attelais à ses soins.

Je lui ai toujours parlé avec franchise, et je pense qu’il est celui ayant esquivé le plus de lancer d’Apopis…Lorsqu’il tomba en dépression, ou quand sa dragonne commença avec plus de force à lui faire ce qu’Apopis avait essayait de me faire…je fus présent, en soutien. Fumant le narguilé avec lui, lorsqu’il voulait bien me tenir compagnie. Essayant de le faire parler, nous trouvant des points communs.

La vie continuait chez nous, les Wyrms. Je me faisais ma place comme médecin. Je me suis occupé des blessures d’un grand nombre d’entre nous, surtout lors de la guerre. Mais je fus aussi présent pour l’accouchement de Scatha, enfin son premier hein. J’étais là pour m’occuper de l’état lamentable de ce crétin de Douglas. Non mais oh, les Chefs Wyrms sont-ils tous destiné à se faire piétiner par un troupeau d’éléphants ma parole ?!
Car quand ce n’était pas Douglas…Je pus voir Philip revenu vivant dans un état lamentable. Ryan dépressif. Kais dépressif. D’autres en charpies. Des femmes enceintes. Non mais oh ! Je suis médecin de notre armée les gars ! Pas bureau des pleures ou des types en morceau !

Bon, j’abrège pas mal…Mais ces années avec les Wyrms, elles sont mes plus précieuses années. Je n’avais plus la pression de la réussite familiale. J’étais libre d’être moi, j’étais moi.
Lors de ces années, j’ai ris. J’ai pleuré. Je me suis mis en colère. J’ai gueulé. J’ai souffert. J’ai eu des amis. J’ai aimé. Oui, vous avez bien lu. J’ai aimé…Et j’aime toujours ce crétin de Saabi. Probablement que c’est pour cela qu’au fond, je m’inquiète de la suite.
Quand les Wyrms se sont déchirés, je suis resté chez les Progressistes. Les Isolationistes…cela ne me disait trop rien. Je n’ai pas envie de vivre en autarcie complète, je veux être reconnu. Mon statut de paria qui fait naître ce sentiment je pense…Quant aux ailes, je fronce les sourcils à leur sujet.

Quand j’observe les Wyrms ayant rejoint ce groupuscule…je ne peux que m’inquiéter que Kais n’y sombre. Ou me dire que ce qui arrive à ces dragonniers, c’est ce qu’Apopis désirait voir en moi. Il a tout fait pour attisait ma haine des humains, me pousser à la violence et à la mort. Ancrer son esprit en moi pour faire de moi sa marionnette, son instrument de morts et de destructions. Et je ne peux que m’inquiéter de voir un tel regroupement de folie draconique…ou de me dire que Sanka arrivera à faire plonger Kais si j’échoue avec lui.
J’aimerai me réjouir du retour des Stratton, ou de la naissance du fils McCallan. J’aimerai voir positivement les choses, avec cette paix qui perdure…mais tout à mon rôle de soigneur des Wyrms, je me dis que le sang ne tardera plus à couler de nouveau. Et j’ose espérer ne pas perdre plus de frères et sœurs d’armes. Et encore moins ceux qui me sont chers et précieux…

✘ Pseudo Internet : Siouplait, regarder mon profil comment à trop y en avoir ^^' lol
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Je vous n'aime très, très fort ?
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom : Apopis.
✘ Surnom : Morveux. P’tit Lézard. Saleté de *bip* ! Langue pendante. Ap’…Les surnoms sont nombreux et ne manque pas réellement.
✘ Âge : Sous son air de bébé dragon, cette saleté est tenace…vu qu’Ap' a prés de 800 ans maintenant ! On sait tous que les crevards sont ceux qui s’accrochent.
✘ Type : Poison…Quant on dit que c’est un chieur, on ne déconne pas.
✘ Don qu'il vous a légué : Contrôle des Toxines
Mon don, habilement utilisé, peu servir tant à empoissonner qu'à soigner. Cette saleté de chose m'a offert le moyen, d'un contact physique, de manipuler la concentration d'une toxine dans le corps de l'être vivant. En somme, extraire un poison en annulant sa toxicité. Ou alors, accroitre la quantité d'émission carbonique pour lui causer des dysfonctionnement par surdose de ce que, normalement, nous expirons. Ou tout simplement accélérer l'efficacité d'un poison qu'on a fait ingérer. Utile pour permettre à des poisons lents d'agir rapidement. Je contrôle donc les toxines d'un corps vivant...Mais cela ne marche que sur la faune et les êtres humains. C'est inefficace sur les Dragons et les Végétaux.
Mon don n'a rien de purement combattif, mais couplé à mes connaissances et mon devoir chez les Wyrms : il est suffisant. De loin. Même si avoir un médecin capable de vous empoissonner avec aisance, c'est suffisant à rendre les gens inquiet !
✘ Nation d'origine : Bof, quant on lui demande, il dit que c’est vers Noiroc. Mais comme il s’en fout, rien n’est sûr…

Apopis mesure tout juste la taille d’un ouistiti pygmée. Oui, cette race vraiment petite. Il mesure 15cm pour ce qui est de son corps. Ses ailes le rende un brin plus grand, et comme sa queue fait 10 bon centimètre sa le rallonge…Mais voilà, ce n’est vraiment pas un géant ! Je peux le mettre dans ma poche, ça ne changerai rien. J’ai un dragon de poche, comme c’est merveilleux. Non mais, je suis ironique je vous rassure.

Outre sa taille peu commune, et ses couleurs vraiment vives…C’est son caractère qui est gonflant. Apopis fait ce qu’il veut, quant il le veut. Et si mon épreuve a foiré trois fois, c’est car à chaque fois…Monsieur est allé ailleurs dormir dans un trou. Ou n’a pas quitté ma poche. Ou encore, m’a laissé en plan pour se marrer un bon coup pendant que j’en chiais. Car voilà, monsieur est une chochotte. Même une petite piqure pour notre alliance non-conventionnelle, ça a fait pleurnicher le mister.

Douillet. Apopis est douillet. Et attention, on doit le traiter en Roi. Sans quoi, soyez certain de ne rien consommer comme aliments. Le pourcentage que ce fut empoissonné est très important. Pourquoi c’est mon allié ? Car je n’ai jamais craint de lui tenir tête et de lui dire de se taire à cet idiot. Bon, au moins, ce n’est pas un bavard. Mais quant il l’ouvre, c’est pour réclamer. Un Prince, un Roi, un Empereur…Mais clairement un Chieur oui ! Un morveux pourri gâté de 800 piges ! Vous imaginez l’horreur ? Et bien, c’est mon quotidien.

Oh, petite information…Monsieur a peur de l’eau et nage mal. Punition extrême restant donc de le balancer dans un bain. Redoutable, radicale. Et une semaine sans manger de représailles mais voilà. Non, c'est un petit vicelard. Un vengeur fourbe et plein de malice. Rancunier à souhait. Mais une fois cette liste de défaut évacué, il est amusant hein. Enfin, je crois. Je cherche encore en fait. Merde, je suis la bonne poire de l’affaire.