✘ Nom :Ó Maoilriain née Changjo
✘ Prénom :XiangLiang (éclatante, lumineuse) Baozhai ( trésors précieux)
✘ Surnom : Ciara ( brune ) par mon mari , Xia
✘ Âge : 33 ans
✘ Groupe : Personnelle
✘ Nation d'origine : Lostregon, archipel de Wuweishu
✘ Métier : Professeur , premier secours.
✘ Arme :Alors je possède une très belle dague de trente centimètres, elle m'a été offerte par mon beau-père à mon mariage. Je possède également un Wakizashi , dont la lame mesure 55cm celui-là est un cadeau de mon père. Mais j'ai plus de facilité à me battre avec des armes comme le fouet et les éventails de combats, les tenseis, les miens étant brisé je n'en possède pas pour l'instant..

On dit de ma jeune humaine qu'elle est... Excentrique. Je les comprends la jeune femme n'aime pas qu'on lui dicte ce qu'elle doit faire. Elle aime avoir ses propres idées, elle aime qu'on la laisse choisir, même si le chemin est difficile. Même si elle se trompe. Ne dis t-on pas que l'erreur est humaine et que chaque personne doit faire ses propres expériences... Fonceuse et un peu tête en l'air, elle se met souvent dans d'étrange situation. C'est le genre de fille à se retrouver les fesses en l'air parce qu'elle aurait voulu jongler avec des assiettes...

Et puis je l'avoue ma chère Xia à un peu de mal à se taire, elle parle souvent sans réfléchir... De l'honnêteté qui lui cause des fois problème. Imaginez qu'elle dise à l'une de ces riches cousines que cette robe la boudine ? La crise n'est pas ? Mais qu'importe notre jeune amie à son franc parlé.

On pourrait croire qu'elle est laxiste, qu'elle laisse les choses se faire, mais attention, sans en avoir l'air ma chère amie est du genre têtu, elle aime qu'on l'écoute quand elle parle. Elle a eu l'habitude de diriger de petites équipes de soignant, et dans ces moments les ordres doivent être respectés, ceux qui ne le faisaient pas étaient punis. Et bien punis. Lors de ces cours et son travail, elle estime que la discipline est la chose la plus importante.

Chaleureuse et ouverte, elle ne dédaigne pas parler aux élèves après les cours, elle aime les recevoir s'ils ont besoin de parler. C'est qu'elle sait écouter sans vous juger, l'esprit ouvert, elle sait aussi garder le secret, une petite déformation professionnelle qui ne fait pas de mal. En effet, ce que lui dit un patient restera secret.

Si le plus souvent Xia est sérieuse, elle est aussi le genre de fille qui fonce sans réfléchir quand la situation l'exige, d'ailleurs quand elle combat, elle ne réfléchit pas vraiment, ce que je lui ai souvent reproché. Pour tout avouer, elle aime la vie et les gens, bien que certaine personnes l'ont blessée, bien que son coeur saigne en silence.

Bref, ma Xia est une fille entière, sensible, chaleureuse, un peu égoïste, fonceuse, un peu maladroite aussi. Mais tellement douée. Sachez également que l'éducation de la jeune femme lui a donné certaine habitude qu'elle continue à respecter, quand elle vous reçoit chez elle, elle porte les tenues traditionnelles de son pays, elle vous recevra avec un thé et un sourire. Chaque jours, aussi elle se force à pratiquer les arts martiaux qu'elle a apprit depuis toute jeune... Tout comme elle pratique régulièrement l'art du pliage et de la flûte.

Mais surtout ma jeune humaine est belle quand elle bouge, avec toute la grâce d'un chat, quand elle met son corps en mouvement des fois, je ne peux m'empêcher de la regarder. Son corps est souple comme une liane, et si beau, musclé comme celui d'une guerrière, et pourtant sa peau semble si douce. Je regrette un peu les cicatrices qui couvrent quelque zone de son corps, quelque chose de léger, mais que moi, je perçois...

Et puis Ses longs cheveux noirs qui ondulent quand elle danse, je me laisse à chaque fois submerger, ma compagne avait-elle aussi ce genre de chevelure. Il est vrai qu'elle les attache souvent en chignon ou en tresse, il parait que c'est plus facile pour se battre.

Xia est coquette comme beaucoup de femmes, elle aime quand son corps est couvert d'un doux parfum, elle prend souvent de longs bains, préférant les sources chaudes pour se reposer, et puis elle aime bien s'habiller avec soin certaine fois. Bien que les robes soient souvent gardées pour recevoir ces invités ou aller dans des soirées. Le reste du temps, elle porte des tenues plus masculines. Qui lui permettes de mieux bouger.

J'ai aussi remarqué que mon amie avec un joli grain de beauté sur le sein droit, des seins qu'elle a petits et bien ferme... Si seulement j'étais humain.

Cher Frère,

Je me permets de vous écrire aujourd'hui pour vous annoncer la naissance de mes derniers enfants, de beaux jumeaux, une fille et un garçon. Cette bonne nouvelle est gâchée par la douleur de devoir annoncer la mort de ma femme. Il est vrai que nous ne nous entendions plus vraiment bien. Mais elle a toujours été fidèle et forte. Elle a toujours fait ce que l'on attendait d'elle. Je devrais être plus triste, mais cela fait plusieurs années que je ne la désirais plus.
Cela fait plusieurs mois d'ailleurs que je courtise une belle femme...
J'espère vous voir pour ces funérailles.
Vous êtes mon plus proche confident celui qui ne me juge sur rien.
Avec toute ma considération votre dévoué frère.
Kuan Ti Changjo, Premier avocat.
Septembre 1535

La veillée funèbre se passa en silence, les fleurs préférées de la morte trônaient partout alors que deux bébés joufflus criait dans une chambre. Deux nouvelles vies aux dépens d'une autre vie. Pendant les mois qui suivirent la vie s'organisa autour des enfants, les troisièmes de l'homme... Une nouvelle vie qui tournait autour des enfants, enfin, ce fut surtout la nourrice qui tourna autour d'elle.

Les enfants grandirent doucement, dans l'affection de leur nourrice et les gestes hésitants de leur père, il semblait avoir du mal à les aimer... Cinq ans après la mort de sa femme, Kuan Ti écrivit une nouvelle lettre à son frère.

Cher Frère,
J'ai la joie de vous inviter à mon mariage, ma future femme se nomme Feng-Po-Po, elle n'est plus toute jeune et je l'avoue à déjà été mariée, son mari suite à une maladie aussi brutal qu'inattendues. Malgré tous, cette femme est sublime et je compte même adopter son fils, et lui donner une part de mon héritage. Cette femme est une perle qui n'hésite pas à mettre la main à la pâte. Elle est si merveilleuse... Si belle. J'en suis complétement fou, je suis sûre qu'elle te plaira aussi. Elle aime beaucoup mes enfants et les gâte. Son fils est de quelques années plus vieux que les jumeaux, mais plus jeunes que mon premier fils. J'espère te voir le 22 juillet 1540. Avec toute ma considération votre dévoué frère.
Kuan Ti Changjo, Premier avocat.
Mars 1540

Un mariage, des enfants habillés avec soin, adorable dans leur robe de soie, des enfants qui ne comprenaient pas les envies des parents. Des enfants qui se tiennent la main, les jumeaux de Kuan Ti ont toujours eu du mal avec leur belle-mère, si gentille quand leur père est dans les parages, mais si froides quand il est au travail. Et que penser de son fils qui est aussi agressif qu'un roquet. Il crie plus qu'il ne parle, il frappe les animaux. Ce que ne supportent pas les jumeaux, plus d'une fois déjà, ils se sont battus contre le plus grand faisant front contre l'ennemi commun. Shen Nung et XiangLiang seule contre le reste du monde.

Heureusement que leurs serviteurs les appréciaient beaucoup. Le mariage ne réjouissait pas les enfants qui pourtant acceptèrent la chose et reprirent leur vie, en grandissant, ils devinrent beaux et forts... Leur beau-frère continuant à les taquiner, à les pousser à la faute. Combien de bêtises dit-il avant d'en accuser les jumeaux ? Tellement de punitions.. Telle de remontrance... Et que dire de leur belle-mère ? Toujours à râler à demander à la jeune femme de faire telle ou telle chose. Alors qu'elle préférait de loin courir avec son frère. Avec la bénédiction de son père, la jeune Xia reçut une éducation un peu étrange, bien sûr, elle suivait les cours qui feraient d'elle une femme bien élevée, mais lors de ces moments de congé, on lui permettait de courir pied nu, de monter à cheval, et même d'apprendre à combattre. Elle eut même droit à un professeur féminin qu'elle adorait.


Cher Oncle,
Père se meurt, je voudrais que vous veniez pour nous aider dans notre deuil, je n'ai aucune confiance aux manigances de notre belle-mère. Je suspecte qu'elle veuille prendre la partie de l'héritage de ma sœur, cette propriété sur l'île de Ming, cette île minuscule où l'on tisse de magnifiques kimonos de soie, cette iles qui se transmette de premières filles en première fille dans la famille de ma Mère. Je ne veux fuir mes responsabilités, et désire reprendre l'étude de mon père servir le peuple de mon mieux.

Je crains pourtant que mon beau-frère que père a adopter ne veuille revendre l'endroit où nous avons toujours vécut pour aller vivre à la capital et essaiera de se rapprocher de la cours.
J'ai peur de ce que ce jeune homme pourra donner comme images de notre famille, nous faisons partie d'une branche mineure de la famille, mais notre nom ne doit être souillé.
Je n'ai que quinze ans oncles et j'ai besoin de vos conseils...
Shen Nung Changjo, votre dévoué neveu.
Octobre 1550

Heureusement pour le jeune homme son oncle arriva à temps avant que la femme ne change le testament, avant qu'elle ne spolie l'héritage. Pourtant, l'homme repartit, envoyant le jeune Shen Nung à la capitale laissant sa sœur seule avec les serviteurs et sa belle-famille. Et l'enfer commença. Sa belle-mère renvoi la moitié des serviteurs pour mettre les siens a sa place, peu à peu la jeune Xia se retrouva seule, solitaire. Elle fit aussi en sorte que la jeune femme ne fasse plus que des choses de fille, ou qu'elle estimait être de bonne chose. Plus question de chevaucher, plus question de courir dans les bois. Plus question de s'entrainer avec les garcon, pourtant la jeune femme continua a répéter en secret les mouvements qu'on lui avait apprit , profitant de ces cours de danse pour entrainé la souplesse de son corps.

Mais le pire fut le comportement de son beau-frère, qui ne cessait d'observer le corps juvénile de la jeune femme, qui apparaissait à présent à chaque fois qu'elle se baignait ou s'entraînait le corps juste vêtu d'un fin tissue. Il la regardait avec des airs pleins d'envie qui faisait peur à la jeune femme... Qui la glaçait jusqu'au sang... Mais a qui en parler, sa belle-famille la menaça de lancer un tueur à gages sur son frère si elle disait quoi que ce soit. Si elle osait se rebeller que dire ? Que faire ? À part de se taire ? Comment lutter ? La jeune femme ne le savait pas, c'est pour cela qu'elle ne dit rien même quand les mains gluantes et perverses de l'homme se posèrent sur son corps.

Que dire quand il prit l'une des choses les plus précieuses qu'elle connaissait... Cette chose précieuse que toute fille de bonne famille garde habituellement pour son mariage.


Ma sœur chérie,
J'espère que tout va bien tes lettres me semble un peu étrange, j'aimerais tellement te faire venir avec moi. Je dois aussi t'annoncer une nouvelle. Un dragon m'a choisi, et nous avons passé l'épreuve, je ne saurais te dire combien je suis heureux. J'espère que tu l'es aussi. Je pars aujourd'hui à l'académie.
Cela fait deux ans que je suis les cours, tu me manques toujours autant.
Je t'aime
Ton frère dévoué
Aout 1552

À cette nouvelle, la jeune fille sentit son cœur sombrer, elle ne put qu'écrire une lettre à son frère. Lui exprimant tout son amour... Et surtout elle retourna à sa vie, luttant contre le dégout de plus en plus fort. Elle subissait presque chaque soir, chaque jours les assauts d'un mâle en rut...

Jusqu'au jour où elle remarqua quelque chose de changer en elle... Plus de règles depuis un mois... Plus de règles? Son esprit sombra un instant dans la folie et elle s'enfuit de la maison.. Courir droit devant elle, sans aucune pensée... Elle courait simplement pour trouver cette falaise ou elle pourrait se jeter. Ce qu'elle aurait surement faire si elle n'avait rencontré Embarr. Elle aurait sauté si elle n'avait pas plongé son regard dans celui du cheval dragon... S'il ne lui avait pas donné sa force.


Cher oncle,
J'ai besoin de vous, ma belle-mère désire que j'épouse son fils. Mais il n'est pas question que j'épouse cet homme, cela fait une semaine que je suis enfermée dans une chambre avec juste une petite fenêtre, elle ne me donne que le strict minimum pour me nourrir. Je ne sais si je tiendrais longtemps...
Il y a autre chose, je vais m'enfuir et aller porter plainte pour viol... Bôn va payer pour ce qu'il m'a fait, il va payer pour ce qu'il a fait à mon corps. Je ne peux plus me taire, je ne peux plus rester silencieuse. Il menace mon frère, mais à présent qu'il est à l'académie, il est protégé.
Je vous prie de me croire mon oncle, moi et non cette femme maléfique, elle séduit les hommes sans aucune difficulté se faisant passer par une victime, mais c'est une sadique...
Je ne laisserais plus cette femme faire ce qu'elle veut, ni son fils me toucher...
XiangLiang , votre nièce désespérée.
Octobre 1552

Et l'homme paya, cette nuit quand il entra dans les cellules de la jeune femme, elle ne se laissa pas faire. Je ne vous raconterais pas comment elle s'est servie de la bouche cette nuit-là. Mais une chose est sur Bôn aurait du mal a encore faire un enfant à une autre femme.
Une fois son beau-frère hors d'état de nuire, la jeune femme fit rapidement ces bagages avant de sauter sur le dos d'Embarr, elle prit également un petit cahier que tenait Bôn, un carnet où il racontait ce qu'il faisait subir à ces victimes. Armée de cela, elle se rendit dans sa famille...

Seule elle les traina dans la boue et parvins à ce qu'on lui rende la maison et son héritage, renvoyant sa belle-mère et son fils dans leurs anciennes vies. Quant à elle, et bien, elle passa son épreuve, sans dire à personne qu'un enfant grandissait en son sein. Elle n'en parla à personne, et parvint à survivre à sa semaine au milieu de la jungle. Cette semaine lui permit de se sentir plus forte.

Cher frère,
Je te rejoins. Embarr m’a choisi, j’arrive à l’académie dans deux semaines.
Je t’aime
Xia.
Janviers 1553.

Et en effet, la jeune femme arriva à l'académie, sauf qu'elle ne suivit pas longtemps les cours juste quelque mois, avant que sa grossesse ne se rappelle à elle. La douleur qui ravageait son ventre la cloua sur le sol. L'enfant se rebellait contre ce qu'elle faisait à son corps, trop d'exercices...
La jeune femme avait fait de son mieux pour ignorer cet enfant qui grandissait en elle, sauf qu'à présent, elle ne pouvait plus nier. Elle dut aussi raconter ce qu'elle avait vécu à son frère jumeau. Le jeune homme entra dans une colère noire, mais resta à côté de sa sœur.

Venant lui rendre visite chaque jour. En effet, les médecins lui avaient ordonné de ne pas bouger, pour ne pas perdre l'enfant et ne pas se mettre en danger. On ne lui permit que d'étudier la théorie et de rendre visite à son dragon tous les jours... Mais restait le problème de l'enfant, elle ne se sentait pas capable de l'aimer, ni de l'élever...

Mon oncle,
J'ai aujourd'hui dix-huit ans, l'enfant que je porte va naitre dans deux mois, au mois de juin. Je ne pourrais l'élever, je suis célibataire et surtout... Je ne supporte pas l'idée qu'il soit son fils. J'ai peur de le détester. Je voudrais savoir si notre cousine cherche toujours à avoir un enfant. Je voudrais savoir si je peux lui confier. Malgré ce que m'a fait son père, je voudrais que l'enfant soit heureux dans une famille chaleureuse. Je voudrais qu'il soit aimé comme un enfant doit l'être. Je voudrais qu'on oublie ce que l'on m'a fait subir.
Oui, mon oncle, j'aimerais qu'ils soient élevés loin de moi, que je sois juste sa tante qui viens le voir de temps en temps pour lui faire un cadeau. Je voudrais qu'il soit élevé dans notre famille que j'aime tant.
Je vous demande ceci mon oncle, car je sais que vous ne trahirez pas mon secret, je veux que personne ne soient au courant, juste vous et mon frère... Je ne veux pas que mon enfant soit jugé comme le fils d'un violeur, je veux qu'il aille toute la chance de vivre une belle vie.
Votre nièce Xia.
Avril 1553

Et l'enfant naquit à terme, ce fut un accouchement difficile, extrêmement difficile, la jeune femme frôla la mort... S'il n'y avait pas eu près d'elle la présence de son dragon, elle serait morte... Oui, il la soutient et la guérit, c'est pratique un dragon avec ce don... La jeune femme ne voulut pas voir l'enfant le confiant à son oncle. Et à la rentrée de septembre 1553, elle put reprendre ces cours.

Ce fut un véritable plaisir pour la jeune femme que d'apprendre à se battre, à se défendre, elle adorait les cours, elle adorait les dragons. Et elle adorait sa nouvelle vie. Douée en cours, elle n'était ni la meilleure ni la moins bonne, toujours dans la moyenne, elle étudiait avec soin. Et elle passa haut la main ces cinq années d'études. Très rapidement, elle se décida de se spécialiser dans les soins, elle adorait prendre soin des gens. Soigner les gens. Elle adorait la science du corps humain. Comprendre comment le corps fonctionnait était plus que plaisant ;

C'est pour cela que pour son année obligatoire à l'armée, elle fut placée dans une des équipes de soin de la section des dragons de terre. La jeune femme adorait cet endroit... Et étrangement, elle tomba amoureuse d'un de ces supérieurs. À la fin de l'année obligatoire, elle décida de continuer dans l'armée, c'était un endroit où elle se sentait bien. À chaque fois qu'elle avait une permission, elle se rendait dans sa famille, revoyant celui qu'elle avait mis au monde et qu'elle aimait comme un neveu qu'elle pouvait gâter. Elle en avait parlé à son mari, un homme de Keven qu'elle adorait littéralement. Tous deux faisait une bonne équipe et pendant quatre ans, elle vécut un paradis.


Cher frère,
J'ai besoin de toi, de ta présence, comme tu le sais Keven des attentats, on eut lieu un peu partout. Mon équipe et moi avons agi rapidement... J'ai lutté pendant plusieurs heures, quand un messager est venu me chercher, on m'appelait à la tente des premiers secours. Je pensais avoir simplement à faire à un cas difficile. Mais ce n'était pas un cas difficile qui m'attendait, mais mon mari le corps ensanglanter, toute ma science ne pouvait rien pour lui, il se mourait...
J'ai besoin de toi, pour m'aider à le soutenir lors de ces derniers jours, j'ai besoin de toi... J'ai besoin de ta force, car je ne sais comment je pourrais continuer à vivre comme cela.
Je t'en prie viens vite...
Viens avant qu'ils ne soient trop tard.
Ta sœur.
Année 1563

Son frère bien sure arriva trop tard. Il trouva la jeune femme amaigrie et le regard éteint. Il lui fallut quelque mois pour se remettre de la mort de son mari, quelque mois avant qu'elle ne se reprenne et qu'elle reparte dans la bataille. A présent, elle luttait pour ne plus perdre de patient... Mais être toujours sur le qui-vive est épuisant pour les nerfs. Il y a quelque mois la jeune femme tomba malade... Et décida de changer de vie... Loin des champs de bataille, c'est pour cela qu'elle postula à l'académie pour prendre sa retraite.

✘ Pseudo Internet : MissBliss
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Ceci est un dc.
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom : Embarr
✘ Surnom : Em , Miki ( seulement par Eir, cela signifie bel arbre ou furtur)
✘ Âge : 333 ans
✘ Type : Dragons Vegetal.
✘ Don qu'il vous a légué :
Phythoteraphie : Le don de la jeune femme est un peu étrange. En effet, elle agit sur les cellules du corps humain, elle peut les régénérer, accélère ou ralentir leurs mouvements, vous vous demander surement a quoi cela sert ? Et bien c'est assez simple, le fait d'accélérer le fonctionnement cellulaire fait que la jeune femme peux soigner les gens, la même chose pour le fait de les régénérer... Imaginer, vous avez un bras casser, la jeune femme accélérera la guérison de votre bras en accélérant et multipliant vos cellules osseuses... Vous voyez, pour tout le monde la jeune femme soigne les gens en les effleurant, mais cela lui prend beaucoup d'énergie, plus la blessure est grave plus elle se sent fatiguée. D'ailleurs, elle ne peut absolument pas guérir des maladies dégénératives, pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne peut suivre le mouvement. Trop de cellules qui se détruisent. Son don est un peu semblable à celui que son dragon possède

Autre petit problème de son don, c'est qu'elle ne vieillit plus, comme si ces propres cellules s'étaient figées. Oui pour elle, c'est un inconvénient parce qu'elle voit les siens vieillir alors qu'elle ne bouge pas. Je tiens à préciser qu'elle semble vieillir plus lentement, mais qu'elle ne vivra pas plus de cent ans... Un jour, son corps cessera de fonctionner.


Quand la jeune femme utilise son don, ces yeux deviennent d'un vert profond.
✘ Nation d'origine :Keven

Je suis né dans une immense forêt, je ne sais plus vraiment ou, des fois, je me dis même qu'elle n'existe plus. J'avoue en être partit très jeune poussée par une envie d'être libre, et surtout d'explorer le monde. J'ai beaucoup marché couru, pour arriver sur des petites îles. Où poussait de magnifiques arbres aux fleurs roses. Des cerisiers. J'y suis resté jusqu'à la rencontre elle, cette dragonne qui fut mon âme sœur. Nous avons longtemps vécu heureux et en silence. Nous ne mêlions pas aux humains et à leur futile dispute... Nous avons eu de nombreux dragonnet. Et un jour ma compagne se blessa, un rocher avait céder sous ces sabots, elle se brisa la nuque...

Depuis j'ai perdus l'envie de vivre, comme un ermite, je n'ai plus eu de contacts avec d'autre dragon, ni avec des humains. Jusqu'au jour où j'ai entendu les pleurs de cette enfant au corps si fragile. J'ai parfaitement senti son désespoir. Mais surtout, j'ai senti cette chaleur monter dans mon corps. Cette âme, je la connaissais... Une âme qui brillait de mille feux... J'ai sauvé pour la première fois de ma vie une humaine... Un corps frêle et pourtant une âme aussi forte...

Qu'importe que je ne puisse plus l'aimer comme je l'ai aimé, je protégerais cette âme que j'ai tellement aimée. Avec elle je suis surprotecteur, même si elle ne se laisse pas vraiment faire, elle m'envoie souvent me faire voir ailleurs. J'avoue que cela m'amuse, avec elle, j'apprends à connaitre l'humanité... Pour tout avouer, je n'aime pas les humains, mais je ne les déteste pas non plus. Tant qu'il ne blesse pas ma compagne... Je l'avoue, je suis jaloux de ces hommes qui rodent des fois autour d'elle, de ces hommes qui la séduisent. J'ai pourtant beaucoup apprécié son mari, qui la traitait comme une princesse sans la privé de sa liberté... Vraiment, il est dommages que cet être humain soient mort.

Je ne sais pas voler comme d'autre dragon, mais cela ne m'empêche pas d'être aussi rapide qu'eux... Ni aussi forte, ma corne sur mon front, mes sabots sont des armes qui m'ont souvent aidé à sauver ma cavalière quand elle luttait pour sauver une vie... Plus le temps passe plus je suis admiratif de ces gens qui donnent sans attendre quelque chose en retours...

Je ne suis pas vraiment le genre de dragon qui va vers les autres, mais je ne dis pas non à une petite conversation. Cela me change du silence qui a régné longtemps sur ma vie. Je suis hautain, jaloux, fière.. Je déteste qu'on l'on me prenne de haut. Je déteste que l'on manque de respect à ceux que j'apprécie...

Comparer à d'autre dragon, je ne suis pas très grand, à peine plus que le plus grand cheval.. C'est a dire plus ou moins deux mètre au garrot.. . Mon corps est fait pour la vitesse.. On me compare souvent aux chevaux... Cela ne me dérange pas, je trouve ces animaux magnifiques... Mais aucun n'a une aussi belle crinière que moi, pas plus qu'ils n'ont cette couleur magnifique, ni ses fleurs qui y poussent souvent. Aucune n'a ses plaques d'écaille sur le poitrail. Je suis un dragon malgré mon apparence

À oui, une dernière petite chose... Attention a vous si vous blessez la nature, je vous piétinerai sans aucune pitié..