✘ Nom : Eolis
✘ Prénom : Lysias
✘ Surnom : L'orateur
✘ Âge : 25 ans
✘ Groupe : Personnel
✘ Nation d'origine : Aeria
✘ Métier : Professeur de géopolitique globale
✘ Arme : Sa Rhétorique

Lysias est un jeune homme d'un mètre quatre-vingt environ et de corpulence moyenne. Il est brun, au reflet roux, et ses cheveux sont mi-long. De derrière ses fines lunettes, ses vifs yeux gris scrutent avec insistance et profondeurs les airs.
Il s'habille simplement mais toujours élégamment ; en effet, non pas que son apparence soit un chose essentiel, il estime devoir être présentable en toute circonstance. Généralement une veste grise, par dessus une chemise de couleur, associé à un pantalon noir. Il porte, selon ses envies, tel que des chaussures en velours bleue foncée.

Lysias est une personne indépendante, à l'esprit libre et ouvert. Il souhaite la paix entre les peuples, ce qui passe par l'égalité de chacun. Son avis, et il le sait, n'est pas partagé par beaucoup de personnes mais il assume ses convictions. Il travaille dure pour les démocratiser. enseignant en tant que professeur de Géopolitique Globale à l'académie, il voyage néanmoins beaucoup pour réaliser des conférences ou rencontrer des personnes pouvant l'aider dans sa quête. Il tente d'entretenir des correspondances avec des érudits et des hauts dignitaires d'états afin de confronter son point de vues et d'en tirer toujours le meilleur.

Aimant et cherchant à servir son prochain, il défendra toujours celui qui en à légitimement le droit. Orateur, politicien et historien sont d'autres métiers qu'il pourrait exercer. Curieux, il se passionne également pour le sciences et notamment aux étoiles et à l'espace. Domaine peu connu et étrange, voilà une partie des raisons qui le pousse à trouver des réponses a ses questions. D'autre part, son dragon est un stellaire ; les liens qu'ils partagent ne sont donc pas étranger à cela.
Il est pourtant de notoriété publique que Lysias à relativement peu de patience ; raison pour laquelle il n'est pas devenu chercheur ou scientifique. Il peut paraître froid et distant aux premiers regards et même difficilement abordable, alors qu'il est tout le contraire. Souvent ironique, parfois cynique, il aime varier les tons ; au grand désarrois de ses opposants qui ne savent jamais s'il est sérieux ou non.

Très chère Maître,

Voilà longtemps que je ne vous ai pas écrit. Je repense souvent a mes jeunes années auprès de vous dans notre vieux monastère, loin des villes et de tous ces conflits. Je le regrette parfois.
Je me revois moi, orphelin, pauvre âme en peine, découvrir la vie dont on avait voulu me priver. Ma famille est vite devenu notre monastère, et vous maître, un père pour moi.
A l'ombre des montagnes, j'y ai découvert notre culture et nos savoirs ancestraux. J'appréciais tout particulièrement les récits que vous me faisiez des lointaines contrées et de leurs charmes. Qu'il me manque, cet air pur et frais, venant des hauts cols enneigés. J'y adorais faire de longue marche solitaire, à votre grand désarroi. Plus je grandissait et plus tout se calme venait porter mes pensées ; comme si la nature elle même m'aidait. C'est, je crois, ce que vous auriez pu dire. Vous m'appreniez alors le respect et la tolérance. Vous avez vu en moi, un homme capable de parler aisément aux autres. Vous me fîmes porte parole du monastère et je pouvais ainsi, battre la campagne et gravir la montagne comme je voulais.

Il n'est pas de lieu plus important que cette montagne. Préservez là. Comme vous le savez, c'est là bas que j'ai fait la rencontre d'Ourianis, mon dragon stellaire. Imaginez ma joie que de pouvoir rencontrer un tout jeune dragon. Tout deux, quinze ans chacun, de jeune âme curieuse. Nous nous observâmes la première fois, sans dire mots. Ce qui en repensant, est un exploit pour Ourianis !
En instant il avait disparu. Je mettais toujours imaginé les dragons plus volumineux et imposant. Lumineux et limpide, voilà ce que j'ai pu retenir de lui ce jour là. Je suis revenu de nombreuses dois pour le revoir et l'étudier, sans succès. Et c'est quand je désespérais, qu'il apparut. Plus sur de lui et mieux informer peut être. Il engagea la conversation par un sujet dont j'ignorais tout : les étoiles. Il me parla de ses ancêtres devenus étoiles, brillants et éclairants, quand tout est sombre.
A cet instant, je compris que je ne pourrais plus jamais me séparer de lui. Il parlait simplement, lui dragon, moi humain. Nous pensions, chacun pour nos cultures les même choses.

Avec lui, je découvrit le monde avec plus de hauteur et vit des choses incroyable. Forgeant notre caractère et notre volonté au grès de nos expériences. La pauvreté, la misère, la détresse des gens et l'impartiale justice des hommes riches sur les pauvres me fit frémir de colère. Après que j'eusse pris plusieurs fois la parole en public pour dénoncer tout cela, vous avez pris conscience que mon esprit commençait a vouloir s'exprimer trop fort pour notre petite communauté ; qui risquait les représailles de quelques seigneurs. Vous m'avez alors lié, avec son accord, à mon dragon. Nos sangs se sont mélangé et je compris ce qui l'attirait dans les étoiles. Il y avait plus qu'un simple rêve fou, quoi de plus beau que l'éternel lumière dans la nuit, qui que nous soyons.

C'est dans ce contexte que je suis partie pour l'académie, plus déterminé que jamais. J'y appris tout ce qu'il faut savoir sur les dragons, comment les montés et un peu de combat ; matière pour laquelle je montrais une incroyable inaptitude, préférant et de loin, l'histoire et la culture du monde. Si vous saviez le nombres de livres que contiennent leurs bibliothèques. Vous n'auriez pas assez d'une vie pour tous les lires. Je pouvais enfin confronter mes idées aux autres. Ainsi, je remarquais que j'étais bien seul à penser comme cela : l'égalité des mondes et des hommes. Après mes cinq années d'études, je me sentais près à partir. Néanmoins, il me fallait tout d'abord réalisé une année dans l'escadrons d'élite de défense. De blanc vêtu, nous avons été affecté au département transmission ; chargé de relayer toutes les informations importantes. Nous avons pu ainsi, être en contact avec bon nombres de personnes et avec toutes les Factions d’Élites. Sans être désagréable, cette expérience ma résolument convaincu que la violence, même préventive, et tout ce qu'elle entraîne n'est absolument pas une solution. après, cette année de service obligatoire, j'étais enfin libre.

Devais-je vous revenir ? Non, il me semblait important de goûter au monde. Ourianis, qui avait un peu grandit et développer nombre de capacité pour se défendre et impressionner son entourage d'image irréaliste, pensait comme moi.
Nous réalisâmes alors un tour du monde, nous mangions ce que nous trouvions la plupart du temps. Sinon, nous trouvions quelques emploie pour nous payer un logement ou de la nourritures. Tour à tour, livreur, copieur ou même, à l'occasion, avocat. Le pays de l'eau s'offrait a nous. Quel peuple formidable ils sont, je pense, les plus ouvert d'esprit. J'ai pu nouer quelque vague contact avec des personnes mais sans plus de nouvelle depuis. Leur marines est impressionnantes. Je préfère, et de loin, mes mots à leurs machines mais je dois reconnaître qu'elles ont le mérites d'être explicite et efficaces.
Les terres de glace, comme plus tard celle du Feu, nous sont restés hostiles et nous ne sommes pas resté longtemps. Les gens y sont rudes, peu amicales avec les étrangers qui chercher à transmettre de nouvelles idées.
Le continent de la Terre est emplis de champs et de forets. Ce paysage verdoyant est simplement magnifique. J'aurais aimé le visité plus mais ce voyage commençait à nous fatigués. Nous étions sur le chemins du retour aux monastère quand nous avons eu une visite peu commune. Notre professeur de Géopolitique Globale de l'Académie en personne. Je me souvenais de lui comme quelqu'un de peu causant, cherchant à nous montrer le monde à travers des frontières et des actions politiques peu compréhensibles. Il m'informa qu'il prenait sa retraite et qu'il retournait sur sa terre natale pour y vivre. Cependant, il était déçu et quelque peu attristé de savoir que sa matière allait tout bonnement disparaître de l'enseignement sans nouvel enseignant. A ce moment, il sourit. Ourianis et moi même avons tout de suite penser à la même chose. Notre ancien professeur se lança dans un discours acharner et vigoureux pour que je reprennes le poste. Me disant qu'il n'y avait pas meilleur poste qu'enseignant pour porté une aura sur le monde et formé les jeunes générations à une nouvelles cultures. Pendant ce temps, nos deux dragons se fixaient sans bouger. Je n'avais jamais vu Ourianis si calme depuis notre rencontre.

Que pouvais-je faire Maître ? Dire à cet homme que je ne voulais pas enseigner et partager mon savoir ? Et me dire à moi même qu’enseignant ne m'offrirais pas la possibilité de disperser mes convictions à travers le monde ?
Avec timidité, j'ai accepté la proposition. Et me voilà, deux plus tard, professeur.
Je vous écrit pour vous dire que je ne rentrerais pas tout de suite, que j'ai enfin la possibilité d'écrit un bout d'histoire.

Cordialement,

Lysias EOLIS.

✘ Pseudo Internet :
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Grâce à une amie

✘ Le Code : Validé À Chercher dans le règlement.

✘ Nom : Ourianis
✘ Surnom : L’éloquent
✘ Âge : 25 ans
✘ Type : Stellaire
✘ Don qu'il vous a légué : Mirage : Lysias est capable de manipuler la lumière pour faire apparaître un mirage et modéliser ainsi sa pensée. Il ne peut cependant pas créer des objets volumineux sans une grande concentration.
✘ Nation d'origine : Aeria

Ourianis est un jeune dragon. Par rapport à ses congénère il est plus petit que la moyenne. Il fait une fois et demi la hauteur d'un homme adulte et un peu plus d'une centaine de kilogrammes.
Il aime parlé a outrance et ne sait pas s’arrêter. Joueur et curieux de tout, il sait pourtant être calme et sérieux dans les moments de doutes ou de stress. Il ne pratique pas la violence et ne se défend uniquement qu'en cas d'attaque sérieuse.
Du fait qu'il est jeune et plus petit que la moyenne, il est un peu plus exclu des autres dragons, qui le méprisent.
Lysias et Ouranis se sont rencontrés sur les flans de la montagnes environnant le petit monastère, où vivait Lysias. Une rencontre hasardeuse ou le fruit d'une bonne étoile ?