✘ Nom : Solheim
✘ Prénom : Rakel
✘ Surnom : "Madame"
✘ Âge : 35 ans
✘ Groupe : Personnel de Lindorm
✘ Nation d'origine : Nordheim (Lostrego par sa mère)
✘ Métier : Professeur principale des Lucem, prof de combat à distance, ancien lieutenant des Ailes Célestes.
✘ Arme : un arc qui lui permet de tirer des flèches normales, et des flèches de lumières avec son don.

Spoiler:

De ses origines nordenheimir, Rakel n'a pas grand chose, si ce n'est sa peau diaphane, et ses yeux clairs. Elle ressemble beaucoup plus à sa mère Lostreg, dont elle a le physique et les cheveux, très noirs et très longs. Mesurant presque 1,85m, Rakel est très grande et son physique longiligne est trompeur quant à sa force et ses capacités au combat. Elle a d'ailleurs toujours privilégié le combat à distance, développant considérablement ses aptitudes au tir à l'arc, plutôt que le combat au corps à corps et les armes de contact, même si elle n'est toutefois pas en reste quand il faut se battre. Elle est rapide et agile, et peut relativement facilement mener un adversaire tant qu'elle ne se fait pas attraper ni toucher.

En effet, le contact physique est pour elle une réelle torture, car elle souffre depuis son enfance d'une maladie très peu répandue dont elle ne connait pas le nom et qu'aucun médecin n'a encore su soulager. Rakel, tout comme sa soeur jumelle, ne supporte pas le contact physique sur sa peau, ne serait-ce que pour un baiser ou une caresse, pas même une poignée de main. Cela lui procure des brûlures extrêmes et de là, un dégoût de l'autre. Pour tenter de contrer cela, elle porte une combinaison faite d'une matière souple et fine, douce au toucher et qui paraît fragile, qui recouvre la majeure partie de son corps, de couleur noire, une couleur qu'elle affectionne particulièrement. Pour varier un peu, les gants recouvrant ses mains et ses bras son blancs. Elle peut porter cette combinaison seule, ou bien sous son armure, notamment lorsqu'elle était dans son escadron.

Même si l'on est un soldat, cela n'empêche pas de se montrer coquette, et Rakel aime se maquiller et prouver qu'elle est une femme avant tout. Il n'est pas un jour où elle n'est pas maquillée, accentuant son allure de femme fatale, et attache ses cheveux de façon très sophistiquée, avec toujours des perles, un tissu rouge, et des chainettes en or, cliquetant à chacun de ses pas. Elle porte une paire de lunettes un peu spéciale, non pas qu'elle en ait réellement besoin dans la vie de tous les jours, mais cela accentue son acuité visuelle, notamment pour le tir à l'arc. Cette paire de lunettes lui vient de sa mère, inventeur en Lostrego.

Rakel impressionne toujours au premier abord et il est rare que les personnes viennent vers elle spontanément. Cela ne la dérange pas, car en réalité, elle a le contact facile et se montre particulièrement sociable. En effet, elle parle beaucoup, d'un langage sophistiqué presque hautain, d'une voix grave et douce, et toujours de manière contrôlée. Elle ne hausse que rarement la voix, si ce n'est pour se faire entendre quand il y a du bruit, sinon elle attend patiemment que l'"orage" passe. Elle sourit souvent, a le rire facile et aime plaisanter et taquiner gentiment ceux qui l'entourent, particulièrement ses amis proches et ses collègues, même si ce n'est pas toujours bien vu. Il n'est pas rare de la voir interrompre un cours ou une discussion pour aller voir quelqu'un qui ne lui semble pas bien, triste ou effrayé. Elle tend souvent la main aux gens mais n'est pas toujours récompensée. Elle n'abandonne cependant jamais, jusqu'à ce qu'une situation critique soit résolue et cela lui a valu le respect de ses hommes lorsqu'elle était lieutenant dans l'escadron des Ailes Célestes.

Très proche de sa mère même si elle ne l'a vu que très rarement, elle correspond très souvent avec elle par lettre, surtout depuis la mort de son père. Elle regrette de ne pas être plus proche de sa soeur jumelle, et aurait aimé la connaître mieux, mais n'ayant pas grandi ensemble, elle sait que cela sera difficile. Elle lui envoie régulièrement des lettres aussi, mais n'a encore jamais reçu de réponse pour le moment.

Rakel ne regrette pas son départ de l'armée, même si elle se sent parfois nostalgique des champs de bataille et rêve souvent de son ancienne vie. Cependant, elle respecte le choix de son dragon, car il est bien plus qu'un père pour elle et ne remettrait jamais ses décisions en question.

De part sa maladie, Rakel n'a jamais pu goûter les plaisirs de la chair, et ne s'est jamais laissée approcher par aucun homme. Elle a cependant une préférence pour la compagnie des femmes qu'elle ressent comme plus douces et plus abordables. Si elle se sent à l'aise avec tout le monde, elle est cependant mieux en compagnie de femmes que lorsqu'il y a trop d'hommes. D'ailleurs, la petite unité qu'elle dirigeait, n'était composée que de femmes pendant plusieurs années.

"Quand 2 & 2 font 4... Puis de nouveau 2"

Rakel ne garde que peu de souvenirs des premières années de sa vie, à peine quelques flashs et des ressentis, notamment avec sa sœur jumelle, Erika. Et pour une raison qu’elle ignore encore aujourd’hui, Erika et leur mère repartirent en Lostrego, la nation d’origine maternelle. Les deux petites filles n’avaient que cinq ans. Rakel ne voyait son père que lorsqu’il revenait entre deux combats, rendre visite à sa fille, lui rapporter des souvenirs de ses voyages et de ses aventures. Lieutenant dans les Ecailles de Givre, Hans Solheim était un homme grand et musclé, aux yeux et aux cheveux clairs, parfait représentant de sa nation. Leur maison semblait désormais vide à Rakel qui réclamait beaucoup sa sœur depuis son départ et semblait inconsolable. Son cocon, son noyau familial qui lui semblait jusqu’à alors complet, était disloqué, morcelé, comme si on lui avait enlevé un morceau de son âme, de son être. C’est à peu près à ce moment-là que sa maladie se déclencha. Ses nourrices, ses précepteurs et même son père, personne ne pouvait plus toucher sa peau sans l’intermédiaire d’un tissu, de gants ou de vêtements, sans quoi cela lui provoquait des douleurs atroces. Elle se réfugia dans sa chambre plus souvent qu’à son compte, refusant la visite de ses amis, de sa famille et seul son père avait le droit de passer le pas de sa porte et la prendre dans ses bras quand elle était triste.

Un jour qu’il avait eu droit à plusieurs semaines de repos après des combats particulièrement vigoureux, pour lui changer les idées, Hans décida d’emmener sa fille dans le grand désert blanc, à la recherche de traces de créatures des neiges, des grands ours, des quelters, et pourquoi pas des dragons de glace. Elle n’avait pas dix ans et Rakel se montrait très curieuse des choses de la vie, comme pour contrer son éloignement forcé à cause de sa maladie. Elle voulait apprendre à se battre, ou plutôt « se défendre » comme elle disait souvent à son père, qui se faisait fort alors d’accéder aux souhaits de sa fille. Rapidement, Hans comprit sur Rakel ne serait jamais aussi fort qu’une vraie nordenheimir, trop gracile, trop fragile, mais elle était rapide et leste, si bien qu’elle se déplaçait avec aisance sans le moindre problème, semblant filer l’air. Parfois, il avait l’impression qu’elle disparaissait à sa vue, lors de leurs duels simulés… Ses yeux parvenaient seulement à capter une trainé noire laissé par ses cheveux et ses vêtements. Le soldat continua donc à éduquer sa fille, à lui apprendre l’art du combat et le tir à l’arc, arme pour laquelle elle se révéla plutôt douée. Rakel semble faire contre mauvaise fortune bon cœur et devint une jeune fille ouverte, souriante et amoureuse de la vie, comme si aucun obstacle ne pouvait l’arrêter. Pour son quatorzième anniversaire, il lui offrit avec le concours de sa mère, une combinaison noire faite d’un tissu unique, qu’elle pouvait porter en toutes circonstances ou presque et ainsi avoir des contacts physiques avec les gens, sans souffrir des brûlures innommables. Rakel entama dès lors une correspondance plus régulière avec sa mère et sa sœur, cette dernière ne lui répondant jamais cependant.

Puis Hans dû repartir à la guerre et ne revint jamais. Mort sur le champ d’honneur. Rakel, âgée de seize ans, semblait inconsolable et c’est à ce moment qu’elle revit sa mère pour la première fois depuis leur départ onze ans plus tôt. Elle décida de quitter la demeure paternelle pour un temps, et accompagna sa mère à Prima pour y revoir sa sœur jumelle et la ville où elle avait grandit, de nouveaux visages, de nouveaux paysages…

"Toi & Moi, unis pour la vie"

Mais revoir Erika fut sa plus grande déception. Ce qui devait être une fête, une réjouissance, fut désastre et colère. Pourtant les deux jeunes filles étaient en tout point semblable, si ce n’est qu’Erika avaient les cheveux courts, alors que Rakel avait toujours refusé de les couper. Mais elles avaient la même couleur de cheveux, les mêmes yeux, le même visage et surtout, la même maladie, si bien que la combinaison salutaire que portait Rakel, Erika l’avait eu en premier, testée bien plus tôt. Rakel avait essayé de discuter avec sa sœur, de se rapprocher d’elle pour retrouver cette relation qu’elles avaient toutes petites, mais Erika ne parlait pas, ne souriait pas, et pratiquait l’ironie comme Rakel pratiquait la taquinerie innocente. Elles étaient le jour et la nuit, les deux faces d’une même pièce, le yin et le yang, comme disaient les habitants du Wuweishu. Rakel sentit quelque chose se déchirer lorsqu’Erika la repoussa, la laissant seule sur le bord de la plage, se noyant dans les larmes de son, chagrin. Elle sentit quelque chose se déchirer encore plus dans son corps et dans sa tête, si bien que ses larmes devinrent torrent, ses pleurs devinrent des sanglots incontrôlables et son visage déformé par la rage et la colère, plus que par la tristesse et le chagrin. C’est alors qu’au milieu des ténèbres, elle fut enveloppée par une boule de lumière et se sentit transportée. Un sentiment d’apaisement l’envahi et sans chercher à comprendre ce qui lui arrivait, elle décida de se laisser aller à cette étreinte qu’elle sentait autour d’elle, ses bras fort lui rappelant ceux de son père autour d’elle. Elle posa sa tête contre le torse musclé et ses sanglots cessèrent aussitôt.

Quand elle rouvrit les yeux plusieurs heures plus tard, elle se vit couchée contre une masse blanche sur le sol d’une tanière dont l’ouverture laissait entrer la pleine lumière du soleil. Et c’est dans sa tête que la créature lui parla.

-Je suis Samelrion et tu es mon élue. Tu apporteras la Lumière dans les Ténèbres et je serais là pour t’y aider.

Rakel cligna des yeux plusieurs fois, perplexe, et ne su prononcer le moindre mot. Elle se redressa et sortit en douceur de la tanière et resta plantée là, debout, les bras le long du corps, immobile. La créature la rejoignit au-dehors et resta debout devant elle, pareillement, sans bouger.

-Tu es… Tu n’es pas humain, n’est-ce pas ?

La créature se mit à rire doucement, comme touchée par l’innocence de Rakel et écarta les bras et les pieds. Dans sa main droite il tenait un long bâton au bout duquel trônait un cercle d’où s’échappait une lumière vive.

-Non… tu es un dragon. Un dragon… d’air ?

-C’est ainsi que vous classez les êtres comme moi, en effet. Mais je peux faire des choses que les dragons d’air habituels ne font pas. Peu importe. Tu dois m’écouter attentivement Rakel. J’ai un frère, un frère jumeau. Il s’est épris de ta sœur et il la perverti avec ses idées de guerre, de combat et de sang. Tu dois ramener ta sœur à la raison et l’empêcher de faire quelque chose qu’elle regrettera.

-Je ne la connais pas si bien que ça. Et en plus elle… elle ne veut pas me voir, ni me parler.

-Je sais. C’est Noirelmas, mon frère, qui lui a fait croire des choses pour qu’elle s’éloigne de ta mère et toi. Il la prépare pour Lindorm…

-Il veut qu’elle devienne soldat ? Qu’ils aillent à la guerre ?

-Ou qu’ils échouent et qu’ils deviennent des hors-la-loi. Il est obsédé par nos origines et veut partir en terres inconnues, mais il a peur, il est terrifié à l’idée de quitter son antre et d’y aller seul. Il a senti la détresse d’Erika et…

-Attends ! Pourquoi… pourquoi tu me dis tout ça ? Pourquoi tu ne vas pas les arrêter et raisonner ton frère ?

Le dragon se tut pendant plusieurs minutes, semblant réfléchir, puis il fini par faire quelques pas sur la plage, le regard perdu au loin. Pendant ce temps, Rakel ne l’avait pas lâché des yeux, subjuguée par son allure atypique, presque humaine, et la bienveillance dans sa voix. Depuis qu’elle était auprès de lui, elle se sentait bien.

-Quand nous sommes ensemble, près l’un de l’autre, la lumière est occulté par les ténèbres, et les ténèbres éblouies par la lumière, si bien que nos forces s’annulent et nous faiblissons, lui et moi.

-Vous faiblissez ? Comment ça ?

-Nous mourrons.

-Oh…

La jeune fille avait longuement réfléchi à son tour et des millions de questions avaient jailli dans son esprit. Sa curiosité naturelle reprenait le dessus et elle voulait comprendre d’où venaient ces dragons, qu’étaient-ils vraiment et quel était ce phénomène étrange qui les faisait s’affaiblir quand ils étaient en présence l’un de l’autre.

Pendant des jours et des semaines, Rakel avait tenté de parler à sa sœur, mais sans succès. Si bien qu’un jour elle avait annoncé à Samelrion son désir de rentrer à Lindorm et tenter l’épreuve d’alliance aussi, car c’était la seule solution pour garder un œil sur sa sœur. Sa mère s’y opposa fortement, prétextant que voir s’éloigner une de ses filles étaient déjà bien assez difficile, qu’elle ne voulait plus perdre ses enfants à nouveau. Mais aussi fort que soit l’amour d’une mère, ses arguments ne furent pas suffisant pour convaincre Rakel. Samelrion accepta à contrecœur la proposition de Rakel, prétextant qu’il ne voulait pas s’allier à un humain… mais Rakel savait que ce n’était pas vrai et que son âme avait touché celle du dragon, un jour, quelque part.

"Et de l’ombre à la lumière, il n’y a qu’un pas. "

Erika rentra dans une fureur noire quand elle apprit que Rakel allait tenter l’épreuve d’alliance en même temps qu’elle et sembla la maudire pour qu’elle échoue et soit tuée. Ces mots firent mal à la douce et joyeuse Rakel qui préféra ignorer sa sœur pendant un temps. Un temps qui s’avéra plus long que ce qu’elle croyait car depuis ce jour, et même si elles côtoyèrent le même lieu pendant cinq ans, les deux sœurs ne s’adressèrent plus jamais la parole de vive voix, au grand damne de leur mère, qui reprit son travail au collège des inventeurs de Prima.

Erika et Noirelsam furent envoyés en Narthan. Rakel et Samelrion en Nordheim et les deux couples affrontèrent curieusement sensiblement les mêmes dangers, furent blessés en même temps au même endroit, et mêlèrent leur sang au même moment, à des milliers de kilomètres les uns des autres. Rakel versa des larmes salées ce jour-là, car elle savait que sa sœur ne serait plus jamais la même, et qu’elle l’avait probablement perdu pour toujours. Mais elle gardait le secret espoir de pouvoir un jour la ramener à la raison, même si cela signifiait de devoir se séparer de leurs dragons.

Rakel entra à Lindorm l’année de ses dix-sept ans et en sortit diplômée cinq ans plus tard pour entrer dans l’escadron des Ailes Célestes. Elle savait qu’Erika fuirait et serait considérée comme déserteur, et qu’il serait de son devoir de la retrouver, mais contre toute attente, sa jumelle et son dragon ne partirent pas, et entrèrent dans le même escadron. Mais alors que Rakel se rapprochait des gens et gravissait les échelons grâce avec le soutien de son mystérieux dragon ressemblant à nul autre, Erika se perdait dans des combats dont elle peinait à se sortir sans dommage, son dragon prenant toujours plus de risque, comme s’il cherchait à tuer son alliée. Comme elle ne pouvait pas adresser la parole à sa sœur, Rakel décida d’écrire à sa sœur par lettre, comme si elles étaient toujours éloignées de milliers de kilomètres… mais elle ne reçut jamais de réponse à aucune de ses missives.

Pendant douze ans, Rakel se battit aux côtés de soldats plus courageux les uns que les autres. Elle vit mourir des frères et des sœurs d’armes. Puis elle eut le plaisir de goûter à une paix toute relative et qu’elle savait instable, mais elle se sentait de plus en plus forte. Elle voulait continuer à se battre, pour la justice, pour la sécurité des territoires, mais Samelrion en décida autrement.

-Je te sens t’éloigner de moi, de mon âme.
-Ce n’est pas vrai, Sam, que dis-tu ?
-Je dis juste que la guerre et le sang, la mort et la haine, tout cela t’éloigne de moi. Le conflit avec sa sœur te rend amère…
-Ce n’est pas vrai. Pas du tout ! M’as-tu vu une seule fois me plaindre ou pleurer depuis que nous sommes des soldats ?
-Non. C’est vrai. Mais ça ne veut pas dire que tu ne souffres pas. Et ton âme souffre. Je le sens.

Après une longue discussion entre les deux alliés, Rakel accepta de se ranger à l’avis de son dragon et de ranger son arme pour rentrer à la maison. C’est alors qu’elle reçut une lettre de Lindorm, la sollicitant pour reprendre un poste de professeur à Lindorm. Dans le même temps, elle reçut une lettre de sa mère, ainsi qu’un parchemin traitant des dernières nouveautés trouvées à propos des dragons. Elle su alors que Samelrion était un dragon de Lumière, et son jumeau un dragon de ténèbres, et qu’ils n’étaient pas une anomalie de la nature, deux dragons d’air nés d’un seul et même oeuf.

C’est ainsi que Rakel revint à Lindorm à l’âge de 35 ans au poste de professeur principale des Lucem, la nouvelle classe créée pour ces nouveaux dragonniers. On lui confia également le poste de professeur de combat à distance, et Samelrion lui sembla plus secret que jamais, perdu dans des manuscrits anciens, comparant les nouveaux textes avec les écrits trouvés dans des lieux reculés, comme à la recherche de réponses qu’il a toujours sut, au fond de lui.

✘ Pseudo Internet : Rebelz
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? C'est remoi (Sloan O'Leary, Douglas McCallan)
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom : Samelrion
✘ Surnom : Sam, ou Samel
✘ Âge : Il ne sait plus exactement, mais il a connu la Déchirure
✘ Type : Lumière
✘ Don qu'il vous a légué : Archère de Lumière :
Rakel est capable de créer un arc de lumière avec lequel elle peut lancer des flèches de lumière dont elle peut contrôler la vitesse et la trajectoire jusqu'à plus de 100m. Plus les fllèches s'éloignent d'elle et moins elle peut les contrôler. Elle peut également créer seulement des flèches de lumière qu'elle peut aussi utiliser avec son arc traditionnel, mais elles sont légèrement moins précises qu'avec l'arc de lumière, et aime moins utiliser cet aspect de son don. Elle ne l'utilise qu'en dernier recours pour économiser son énergie.

✘ Nation d'origine : Wuweishu

Samelrion est un dragon particulier, tant au niveau physique que mental. En effet, physiquement, il n'est pas très grand, à peine plus grand que le plus grand des humains, dépassant à peine les deux mètres de haut, des pieds à la tête. Mais il se tient debout comme une humain, et jamais à quatre pattes. Ses articulations sont positionnées comme celles des humains, ses pattes avant étant plutôt des bras pourvus de griffes, tout comme ses jambes. Il a un torse plutôt qu'un poitrail. En revanche, il a un cou plus long et une tête reptilienne qui ne trompent pas. Il a des cornes sur la tête et des épines sur le dos, et des écailles recouvrant sa peau. Deux ailes recouvertes de plumes immaculées sont bien campées dans son dos mais incapable de porter une lourde charge. Samel ne peut pas porter son alliée trop longtemps, et uniquement dans ses bras, pas sur son dos.

Il a en permanence avec lui, dans sa main droite, une sorte de sceptre, qui lui permet de canaliser ses capacités naturelles, comme pour les empêcher de blesser les autres à ses côtés.

Dragon très ancien, plus ancien que la Déchirure, Samelrion parle peu de son passé, voire pas du tout et même Rakel ne sait rien de ce qu'il a vécu avant de la rencontrer.

Il ne peut pas rester en présence de son jumeau, Noirelsam, l'allié d'Erika, la soeur jumelle de Rakel, sans quoi les deux dragons perdent leur force vitale et leurs capacités. Samelrion affirme même qu'ils en mourraient.

Avec les autres dragons, il se positionne en sage. Certains vont l'écouter et boire ses paroles tandis que d'autres vont l'ignorer voire le provoquer. Mais Samelrion n'est pas du genre à perdre patience ni le contrôle et se montre rarement violent. Il n'aime pas la guerre mais aime encore moins cette paix actuelle qu'il ressent comme fausse.