Adresse Professionnelle

Caeruleus Ubieto
Académie Lindorm
Laragon

Adresse Personnelle

Caeruleus Ubieto
Collège des Inventeurs
Prima

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<div class="titre2">A l'attention de Mr Ubieto Caeruleus</div><blockquote><div class="cadreinfos2"><div class="titre3">Message : </div>Remplir ici
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Message :

Caeruleus,
Crois-tu que nous pourrions parler de cette nuit là ? J'aimerais savoir ton ressentit. J'ai besoin de savoir. J'ai trop de questions en tête et je ne sais pas par où commencer.
Tu fais ça souvent avec d'autres hommes ? C'est un peu indélicat. J'ai juste besoin de savoir. Tu es encore l'amant de Fergus ou bien tout est fini entre vous ?

Tu accepterais qu'on puisse se revoir ? Pour discuter un peu ?
Ne me répond pas si tu me trouves idiot.
Ivar.

Message :

Caeruleus,

Des choses comme ça arrivent, est-ce un mal? Tu devrais en profiter au contraire, au lieu de te morfondre. Je suis cependant un piètre conseil sur le sujet, comme tu sais.

Je te le promet donc. Ce n'est pas un problème pour moi et je respecte ton courage et tes entreprises.

Aussi, courage.

Ad astra per aspera: « Vers les étoiles à travers les difficultés. »
Fergus Wilmot Mac Lochlainn
Capitaine des Comètes de Feu.

Message :

Caeruleus,

Faire une promesse, à un proche ou à un inconnu, c'est tout aussi fort. Aussi ne t'en formalises pas. Tout le monde a le droit à l'amour, Caeruleus. Tu n'es pas quelqu'un de différent des autres parce que tu es malade. Tout les humains y ont droit.

Soie fort, si tu veux tenir un engagement avec lui. Je t'aiderai, je ne te toucherai plus. Nous sommes amis, ne l'oublie pas. Tu étais un parmi tant d'autres comme j'étais un parmi tant d'autres et nous faisons nos affaires. Pour le reste, nous sommes amis et c'est différent. Les gens on définitivement besoin d'être rassurés, tu n'es pas vraiment différent de mon ami Ivar sur ce point de vue.

Ne t'excuse pas, je suis ton ami et je suis là pour t'aider.

Tu peux me rejoindre, mais je ne poserai pas un doigt sur toi.

Ad astra per aspera: « Vers les étoiles à travers les difficultés. »
Fergus Wilmot Mac Lochlainn
Capitaine des Comètes de Feu.

Message :

Caerus,
Je ne t'en voudrais pas, tu sais. Les choses du sexe sont bien différentes des choses du cœur. Et idiot celui qui prétendrait que cela est lié. Un besoin primaire ne saurait s'encombrer de sentiments. C'est un peu comme l'on a pas besoin d'aimer les chiottes pour aller pisser.

Tant qu'ils ne sont que ça, moi je m'en fiche. Je ne dis pas que nous serions autre chose,que ce serait différent, à moins que tu le veuilles... peut-être ?

Ivy.

Message :

Caerus,
Peut-être que l'écrire rend les choses terriblement plus "réelles"... C'est idiot.
En fait, je suis à Laragon, je viens de rompre avec Céleste. Et je n'ose même pas aller te voir. C'est pathétique.
Mais c'est la vérité.

Je voudrais être avec toi.
Ivy.

Message :

Machin,

Tu dors bien la nuit? Je suis venue te déposer un petit mot doux de moi-même, pour te prouver que j'arrive à sortir quand Bryne a le dos tourné. Donc, tu dors bien la nuit? Ça va pas durer.

Je vais venir te craquer tes petites noisettes. J'ai bien envie de te voir. Tu sais ce que je dis toujours... quand j'ai besoin d'un pot de chambre, je te sors de sous le lit.

Morwen.

Message :

Ciry,

Reste dormir chez moi quelques temps, d'accord ? Je préférerais regrouper ceux sur qui je dois veiller pas trop loin pendant un temps. Je t'expliquerais.

Ivy

Message :

Ciry,

Gros malin. J'ai trouvé une de tes chaussettes aussi...
Plus sérieusement, soit discret et prudent car une criminelle recherchée rôde dans les parages. Elle sera heureusement interceptée par Fergus. Mais garde un œil ouvert.

(Et dors chez moi, je préfère t'avoir à portée de main en cas de problèmes.)

Ivy

Message :

Machin,

Qu'est-ce qui se passe, tu m'aimes plus? Tu veux pas glisser un petit mot doux sous la porte de la directrice pour moi? Comme tu vois je suis déjà sortie deux fois, sans aucune victime. Mais je pourrais changer d'avis si je me sens négligée...

PS: t'as vu, ma syntaxe est correcte maintenant.

Morwen.

Message :

Professeur Ubieto

J'ignore de quand datent vos immondes perversions, mais Morwen m'a tout raconté. Je ne tolère qu'à grand peine un individu dans votre genre dans l'académie et uniquement parce que vous avez sur moi ce moyen de pression répugnant. Mais je vous interdit formellement que recontacter Morwen. Si je surprends encore le moindres mot l'encourageant - car vous l'encouragez d'une certaine façon, Monsieur - je vous passerais par l'épée pour toute forme de procès.

Je veillerais bien sûr à ce qu'elle ne touche à aucune de nos élèves, à aucun innocent, au prix de ma vie s'il est nécessaire. Je vous conseille de rester occupé à vos batifolages avec Monsieur Bjornülf - ce dernier m'a bien assez seriné avec la nécessité de ne pas vous séparer et ses discours insupportablement mielleux me tapent sur les nerfs.

Je vous ordonne de brûler ce message, sans quoi comptez sur moi pour que le monde entier sache quel individu méprisable et répugnant vous êtes. Si vous souhaitez continuer à enseigner et ne voulez pas avoir à vous exiler dans les Confins pour échapper à l’opprobre, je vous conseille de suivre mes directives.

Nous nous sommes tout dit.

Semper Fidelis.
Bryne O'Cuinn
Directrice de Lindorm
Professeur de Maîtrise du Don.

Message :

Professeur Ubieto

Je ne peux vous laissez sous entendre quoi que ce soit concernant mes sentiments ou ma relation avec Morwen. Vous ne savez rien et je vous interdis de juger ce que vous ne pouvez même pas comprendre !

La mort de Morwen sera une délivrance pour ce monde ! Ne vous en mêlez pas, où vous la rejoindrez dans la tombe de ma propre main. Moi et moi seule décide de son sort car sa vie m'appartient inexorablement. Ne pensez pas que j'ai oublié mes devoirs envers l'académie et les êtres qui y vivent. Cette dangereuse criminelle paiera pour ses crimes passés, et présents.

Ne comptez pas sur moi pour absoudre vos perversions, votre relation avec l'ancien Capitaine Bjornülf m'est indifférente et vos sentiments me navrent plus qu'ils ne m'attendrissent.

Vous prétendez connaître Morwen mais vous n'êtes rien, rien qu'un nuisible agaçant. Je ne la laisserais pas aller vous toucher, elle le sait, sans quoi plus jamais je ne la laisserais venir à mes côtés. De toute façon, cette sinistre farce est bientôt close. Le rideau tombe, de même que les têtes des responsables de cette Tragedia del Arte. Veillez à ce que l'on ne vous coupe pas le cou non plus pour vos vice et vos crimes.

Semper Fidelis.
Bryne O'Cuinn
Directrice de Lindorm
Professeur de Maîtrise du Don.

Message :

Essai sur l’Amour
Par Mi-Cha Jung [2ème Année Terra]

Avant même de débuter cet écrit, permettez moi de définir ce qu’est l’amour. Ce terme possède nombre de signification et d’usage. L’amour peut-être un mouvement de dévotion qui porte un être vers une divinité, vers une entité idéalisée ; adhésion à une idée, à un idéal. Ce que j’éprouve pour mes croyances, pour les traditions de mon pays, pour mon lignage et notre religion, cela s’apparente à de l’amour. Il s’agit d’amour. Une forme d’amour qui entraîne une dévotion pure et véritable.

Cet essai étant rédigé à votre attention, professeur Ubieto, je me permettrais de m’adresser à vous directement. Je vous prie de pardonner ce manquement, mais la rédaction m’en sera faciliter. Au vu du délicat du sujet.

J’ai bien compris que vous n’attendiez pas que je définisse l’amour que l’on éprouve pour des croyances ou ses dieux. Ni-même l’amour filial qui régit une grande part de l’existence d’un être. Ou l’amour des Arts qui peut animer certains, à l’image d’une passion portée à son extrême. Vous désirez mes réflexions quant à l’Amour que vous définissez de ce A majuscule. Un sentiment puissant, d’une personne pour une autre. Et de sa façon de se concrétiser.

Professeur, je ne peux partager avec vous une compréhension de quelque chose qui n’a lieu d’être. Ce sentiment est une lame. Une lame qui plane tel un danger perpétuel. A quoi bon « aimer », si seule la souffrance en résulte. Ou si cela entre en conflit avec l’amour religieux ?
Je ne vous demande pas de comprendre ma prise de position, je vous demande de ne pas la juger. L’amour est inutile, car si je m’y consacrais : je ne pourrais aimer ma famille. L’amour se concrétise par l’union de deux êtres, et il est de mon devoir d’accepter l’être que ma famille m’aura destiné. Pour le bien être futur de notre sang, nos traditions, notre culture, notre influence.

J’accepte avec ferveur ce devoir, qui est le plus important de tous. Je ne saurais tolérer d’apporter l’opprobre à la branche principale des Kazehiro, par des actes insensés, né de sentiments frivoles peu déterminé. Si réellement, mon « cœur » s’émeut pour un autre…alors, je le tairais. Et si par chance, ou car les éléments le permettent, cette personne est jugée digne par ma Famille : les protocoles seraient enclenchés pour une demande adéquate.

Ma surprise m’a fait user des mots de la langue Seam les plus proches que je pouvais trouver sous le choc, pour paraître mon trouble. En Wushei, je n’aurais guère eut les mêmes termes. Car ma phrase n’était qu’une question. Une question pour essayer de déchiffrer cette autre culture.
Sachez-le, vous m’auriez dit que dans votre pays, deux hommes peuvent se marier…vous, figure d’autorité et d’enseignement : je vous aurais crut et me serait excuser de ma surprise, avant de simplement partir. Je regrette que les mots qui m’ont semblaient plus « naturelle » de part ma connaissance linguistique plus limité du Seam est causé ce tord. Mais combien même ai-je manqué des bons mots, je ne puis accepter d’être jugé sur ma façon de penser.

L’Amour n’est qu’une lame que l’on glisse soit même sur un point vital, prenant le risque de laisser un tiers l’utilisait contre soi. En une arme mortelle. L’amour empêche le devoir, mais du respect du devoir l’amour peut naître. Le mariage n’est pas indispensable à l’amour. Le mariage n’est nullement amour, il est union de forme…il est ce Devoir. Aussi, votre question d’un mariage sans amour me semble naïve.

Je doute d’avoir plus à expliquer, à présent. Je vous prie de considérer ces lignes comme ma vision de ce que je ne veux connaître. Voyez-moi en lâche qui refuse de souffrir, je l’accepterais. Car là est ma vérité. Car je ne peux jurer fidélité qu’à ma lignée. Car je suis le second fils, celui qui ne vit que dans le but de servir la famille, et non de la commander ou représenter.

Message :

Professeur...

Hagiwara Tarukan-dono à rédiger ce qui sert de rêves aux jeunes damoiselles. Ce qu’elles attendent et espèrent de leur mariage. Eduquée dans le but d’aimer son promis. Il est donc de mon devoir de ne pas déshonorer l’attente qui m’est faites. Il est de nombreux rêves qu’elles affectionnent, en accord avec ces poèmes :

^[1]Kimi ga tame
Haru no no ni idete
Wakana tsumu
Waga koromode ni
Yuki wa furi tsutsu

Je suis homme de Devoir. D’autant plus aujourd’hui, où il a été décidé que je ne servirais ma passion des dieux, mais la ferveur du Corps et du Feu : la bataille. Car je ne serais jamais qu’un Jung, et non un Kazehiro. Il m’est déjà impossible de suivre la Voie Aimée. Je ne veux souffrir car ma faiblesse m’aura laissé aimer un tiers.

Je ne peux prétendre comprendre ou accepter vos idées. Et combien même mettez-vous que je pourrais « juger », je ne suis juge de rien.
Comme vous l’avez dit vous-même, nous ne pouvons avoir la même vision du concept. Nos vécus divergent. Mon jeune âge me fera peut-être connaître, un jour, ce qui anime les hommes tel que vous professeurs…Mais c’est une tentation à laquelle je désire échapper. Car son poids n’en serait que plus lourd à porter.

Jugez-moi triste, terne, soumis…J’en ai l’habitude dans vos contrées. Dans l’habitacle qu’est l’Académie. Car je diffère de mes camarades…porté par une Famille, avant d’être porté par un Amour. Si je ne peux me permettre l’Amour, je me permettrai l’Amitié. Celle où l’on confie son honneur, sa vie, son tout. Mais je garderai cette limite, car je ne désire pousser quiconque à subir la Cour de Ri Shi. Et car je ne peux et ne veux quitter mon rang et devoir.

Je reste à votre disposition, si là est votre volonté.
Sachez que je saurais pardonner vos mots et actes, de ce jour fatidique…Mais que l’admiration que j’avais à votre égard ne reviendra qu’avec un important flot du temps. Il m’est difficile de pardonner, là va mon plus grand défaut. Vestige d’une admiration et d’une confiance que je n’octroie qu’à peu de gens.

Mi-Cha, Second fils de la lignée secondaire des Jung.
Symbole d'union du Corps et de l'Âme.

Message :

Morwen va mourir et c'est de ma faute. Elle va être fusillée pour ses crimes par l'armée. C'était mon devoir de la livrer. Mais je ne peux plus. Je ne peux plus faire semblant. Je voulais sa mort, je voulais qu'elle sorte de ma vie.
Je voulais qu'elle cesse d'empoisonner mon monde. Mais elle était là. Elle a toujours été là. Et je ne le savais même pas. Vous étiez sa victime ou son ami ? Ou les deux ?

Je vous en supplie, dites-moi si vous le saviez, pour ses sentiments pour moi ? Pourquoi n'avait-elle même pas tenté à l'époque de me parler ? Pourquoi fallait-il que ce soit ainsi, beaucoup trop tard ?

Je vous en supplie, aidez-moi à la sauver.
Je crois que je ne supporterais pas de la perdre pour toujours...

Message :

Machin,

J'ai eu le droit d'écrire une dernière lettre alors je te l'adresse. Tu vois, je sais écrire correctement maintenant. Bon okay j'écris pas joli, mais je fais moins de fautes, hein? Je me suis bien amusée grâce à toi et j'ai appris des trucs pas trop cons. J'ai pas cents trucs à dire, juste à te dire bye maintenant.

Et j’espère t'avoir suffisamment amoché pour que tu ne m'oublies jamais.

Morwen.

Message :

Je vous méprise. Du plus profond de mon être.
Je vais aller la trouver, une toute dernière fois cette nuit. Et achever de la seule manière possible cette folie.

En dépit de tout, veillez sur les élèves, et sur l'école.

Message :

Monsieur Ubieto.

Je tenais à vous remercier pour ce soir fatidique. Combien même suis-je alitée pour encore un temps, vos soins d'urgence m'ont permis de subsister en ce monde. Et de ne pas laisser ma fille, et ma dragonne, seules.
Pour cela, sachez que vous avez ma plus profonde gratitude.

J'ai désormais une dette à votre égard, une dette de vie.
Je suis votre obligée, et ne saurais vous remercier en compensation suffisante pour le temps qui m'est donné de vivre.

Si un jour, vous avez un problème, n'hésitez pas à venir m'en parler.
Je suis actuellement sous les sous infirmiers, ne pouvant parler ou écrire. Katastroféa dictant mes pensées à l'infirmier, pour qu'il rédige ces mots.

Mais je serais ravie de vous prêter oreille, si vous en sentez le besoin. Tout comme, je serais honoré de pouvoir vous invitez à boire un thé et à discuter, lorsque ma santé sera meilleure.

Avec tout mon respect, et mes remerciements les plus sincères.
Killian Vanora MacElurst.

Message :

Chez le médecin près de la Tour Perlée, au plus VITE.

Message :

Monsieur Ubieto.

Merci à vous.
Je devrais reprendre la route de mes appartements vers la fin du mois de Mars. Et reprendre les cours début Avril. N'hésitez nullement à venir me voir, ou à m'écrire, concernant votre ou vos besoins.

Respectueusement,
Killian Vanora MacElurst.

Message :

Machin,

Me provoque pas, pauvre couille molle. Obéir est dans ta nature et je me fous bien que tu aies failli crever ou pas du moment que tu as ramené Bryne à Lindorm. Ne la touches plus jamais, ne la tourmentes plus sinon je devrais m'occuper de quelqu'un...

On m'a en effet confié que tu avais un petit chéri en sucre que tu aimais beaucoup et avec qui vous faites gentiment les tarlouzes. Ça te dirais que je lui rende un peu la politesse avant de le tuer? Alors arrête de me casser les noix, machin. Je sais que t'aimes avoir mon attention. Tu as toujours aimé ça. Ça te défrises, hein, que te te fasses plus rien? Il te frappe pas assez ton Ivar?

Mal baisé.

Mo.

Message :

Machin,

Je cherches pas à te faire obéir, même pas à te tourmenter parce que t'es rien pour moi. Je me suis juste bien amusée plus jeune à te défoncer la tronche et autre chose. Donc va te faire foutre. Mord-toi la langue et meurs.

Va te faire foutre! Grandir et devenir un adulte chiant à mourir, plutôt crever! Et j'ai eu ce que je voulais, mais j'ai pas de raison de rester avec Bryne. Elle et moi sommes ennemies et je suis recherchée par l'armée. Hello? Tu pensais que j'allais faire quoi, l'épouser et lui faire huit gosses? Mais réveille-toi machin, tout le monde ne kikinoute pas comme toi et ton étalon blond.

Ouais, trois semaines. C'était le bon temps. En plus t'avais rien à boire ni manger pendant trois jours, ça m'a bien fait marrer.

Mono-truc... m'en fous. T'es juste une salope quoi. Mord-toi la langue et meurs, personne ne t'aime de toute façon.

Mo.

Message :

Machin,

Bah laisse-moi, c'est toi qui m'envoie du courrier et qui me fais chier. Tu as ramené Bryne et c'est tout ce qui m'importe. C'est la seule fois où je t'ai demandé un truc et tu l'as fais, t'es une brave bête. Point final. Je sais que je suis une femme, c'était de l'humour, tronche de cake. Je connais un minimum la biologie; hein.

Ouais, elle m'obsède depuis que je l'ai croisé en première année à Lindorm. Elle hante toutes mes pensées. Je pense à elle jours et nuits et quand je bute quelqu'un, je pense à elle, quand je besogne quelqu'un, je pense à elle. Quand je vais aux chiottes, je pense à elle. Quand je te touchai, je ne pensais qu'à elle. Je débloque depuis longtemps et si je me suis rendue à l'armée, c'était parce que j'ai le sentiment de n'avoir plus rien à obtenir et que la partie est finie. Mais visiblement c'est pas le cas.

Alors oui, je voudrai pouvoir la tuer, la mutiler, la passer par le feu et je l'aime autant que je la haï depuis toutes ces années. Je n'ai jamais aimé que Bryne et je n'aimerai jamais qu'elle mais je sais aussi qu'elle ne m'aimera jamais et que tout ce que j'ai pu obtenir d'elle c'est sa haine. Ça me va. Je l'ai poursuivie et martyrisée toutes ces années pour qu'elle me remarque et me déteste. Ça me va. J'aime quand elle me haï et me fait du mal comme le faisait grand-père. C'est comme ça qu'on me remarque. Voilà si tu voulais que je précises. On est destinées à se détruire, pas à être ensembles.

Je suis complètement tapée.

Nah rassure-toi je m'en fous réellement de vos petites histoires de pédales qui me file juste la gerbe. Les tarlouzes me filent la gerbe alors garde tes histoire de folle pour toi. Et je précises encore, machin : c'est toi qui ne cesse de me contacter, moi j'ai même oublié ton prénom.

Lâche-moi les getas maintenant, si vraiment tu ne veux plus entendre parler de moi.

Mo.

Message :

Estimé collègue, Ubieto-san,

Je me permet, ayant entendu dire que vous aviez eu des frictions avec un jeune élève de mon pays natal, de vous faire passer un exemplaire du recueil de mon précis sur Wuweishi et sa culture. Non que je vous adresse quelques conseils - ce n'est pas mon genre - mais avec les Wushei il vaut mieux s'armer de savoir pour comprendre la culture afin de comprendre les réactions.

Avec mes sentiments les meilleurs, en espérant que vous vous portez bien.

Iwanu ga hana (Les mots qu'on n'a pas prononcés sont les fleurs du silence),
Hatsumomo Toriyama,
Professeur Principal des Terra et de Premiers secours.

Message :

Mr Ubieto.

Je vous envoi cette missive concernant le nouveau Capitaine des Mirages Aquatiques : Caesar Lope de Vega y Quinto.
Je sais que vous aviez réussi, vous et le Capitaine Björnulf, à le motiver et le pousser à dévoiler la portée de son talent. Néanmoins, désormais qu'il n'a plus d'autres chaperons que lui-même, il semblerait qu'il en oubli ses devoirs les plus...rébarbatifs.

Pas un seul document, depuis son investiture, n'a été envoyé à nos bureaux ou dans les services annexes. Toutes les demandes qui passent par sa signature semble ne jamais revenir de son bureau.
Nous n'avons pas encore définit le Lieutenant qui aura les épaules pour lui tenir tête, et surtout, le cadrer, mais déjà : nous venons à vous pour trouver une solution à ce problème de paralysie administrative de nos services.

Faîtes travailler Caesar Quinto au plus vite !
Pas une seule sanction ne semble l'inquiéter, et votre ruse a déjà prouvé sa réussite sur cet individu.

Cordialement.
Général des Armées de Waterfield.